Dans le métro lyonnais il est assis à côté de moi, en short et débardeur, il a de grosses cuisses velues, un poil bien dru, ses biceps sont bien dessinés, bien veinés, les secousses du métro collent ses jambes puissantes contre les miennes. Un coup d’œil discret sur son paquet, et je me mets à fantasmer, à voyager au pays des grosses queues.
Je suis en manque depuis 1 semaine, ce mâle ne me laisse pas indifférent… beaucoup de monde descend, du coup il part s’assoir en face de moi. Il peut écarter ses jambes au max, libérant son paquet d’une façon indécente. Mes yeux sont comme hypnotisés, je ne peux détacher mon regard de ce bulge énorme. Lui continue de jouer sur son smartphone, il m’a gaulé, il me regarde de temps à autre avec un sourire radieux craquant.
Il range son téléphone, avec son pouce il caresse sa teub qui change de volume, une énorme barre à l’horizontale qui dépasse désormais sa hanche… il m’a mis le feu.
Je me lève à contre cœur, c’est ma station, il se colle derrière moi pour descendre en me disant « emmène-moi chez toi petite pute… ». Il sent le Hugo Boss.
Il me suit depuis 10mn, quand il marche sa barre est obscène, c’est un gros tuyau qui m’attend, ses couilles déforment le côté droit de son short. Des filles le croisent et partent en éclats de rire.
Ce mec est très brun, des yeux marrons, de grosses veines parcourent ses cuisses, ses mollets sont impressionnants.
J’avais prévu d’aller chez un pote à côté de chez moi pour une après-midi gamer, là je me dirige chez moi, je tape mon code, il se faufile derrière moi, le concierge me salut « Bonjour Bastien, vous allez bien ? » Je ne réponds pas je suis rouge de honte. Ce beau trentenaire m’a déjà défoncé la techa, il a de suite capté le plan qui arrive.
Je fais entrer mon bel inconnu, il se retrouve en boxer immédiatement. Je me suis mis à poil en un clin d’œil. J’ai devant moi le rêve de tout pd en mal de sexe.
Un beau mâle, 180 cm, yeux marrons, assez sec, des pectoraux ultra bien dessinés, des abdos de rêve, des jambes puissantes. Je préfère les boxers aux caleçons, ils sont plus expressifs. Le sien est trop bien rempli. Sa barre a repris du volume, elle pointe vers le haut, elle va déchirer ce mince tissu tant elle est puissante. Il s’allonge au sol, sur le dos et il se cambre vers le haut, arqué comme cela, il me fait tourner la tête.
Lui « lèche mon slip petite pute, juste ta langue, tu ne me touches pas »
Je m’agenouille au-dessus de lui, je pose ma bouche sur sa grosse barre, je fais des bisous, une odeur de pisse, d’homme, de sueur m’envahit. Sa queue bat au rythme de son cœur, je distingue la grosse veine, je lèche sa queue sur toute le longue, je tête au bout de sa queue une mouille abondante, ce nectar ouvre mon cul, je perds toute notion du temps. Je tombe amoureux de ce mec.
Il souffle fort, en un clin d’œil il est debout, il colle ma tête contre son gros paquet, sa queue est hyper dure, je me saisis de ses cuisses velues, remonte jusqu’à son cul, je veux descendre ce tissu encombrant, libérer mon bel organe.
Ma queue est en hyper extension, mes 18cm sont ridicules vu la sienne, au moins 23cm, très large, un gland difforme.
Je descends son boxer, devant sa bite bloque la manœuvre, je la saisis pour l’extraire, ma main n’en fait pas le tour. Je n’en n’ai jamais vu d’aussi grosse, c’est une bite de cheval, un monster palpitant, parcouru de veines bleues, un gland en forme d’abricot d’où coule un liquide visqueux prêt pour l’amour.
Il me plaque au mur, il se colle derrière moi, sa queue entre mes jambes dépasse mes couilles, je suis comme assis sur une barre d’homme.
Je lui file un tube de crème hydratante, il badigeonne mon anus et sa teub, il se pose devant mon entrée, il doit reculer pas mal vu l’engin, j’écarte mes fesses, je gémis fort quand le gland franchit mon sphincter, je suis écartelé, il se recolle à moi et remonte. Il y va d’un coup, putain je la sens passer, j’ai beau me mettre sur la pointe des pieds la pénétration est inexorable. Je l’ai désiré, je l’ai eu. Quand il est au bout de sa queue, que ses grosses couilles chatouillent mon anus, que je n’ai plus de souffle.
Lui « alors bébé, tu la sens bien là, je pousse tes intestins vers le haut, le supplice du pal, ma petite pute »
Je pourrais lâcher mes mains et me laisser porter par cette queue tellement elle est solide et puissante. Lui commence à me pilonner en remontant au maximum m’arrachant des cris de douleur et de plaisir. Il me défonce comme je ne l’ai jamais été. Je m’abandonne, je ne suis que jouissance, je veux me donner à lui, lui crie à chaque poussée, il me décolle du mur sans se retirer et m’allonge au sol, couché sur moi il me pilonne, mon colon chauffe, la crème ayant disparu, je choppe ses lourdes couilles, lui me mort l’oreille, il plante sa langue dans mon oreille, je largue un gros pet quand il se retire, il me retourne sur le dos, pose une grosse noisette de crème sur mon trou hyper sensible.
Il force sur mes cuisses, mes genoux sont vers mes épaules, mon cul est béant, sa teub trouve naturellement le chemin, j’hurle mon bonheur quand il s’enfonce en moi, il m’embrasse pendant que ta teub ravage mon cul, la sueur de son corps me mouille, il me sourit, il a trouvé chaussure à son pied, j’éjacule d’un coup, d’amour pour lui, je ne peux serrer sa teub, il l’a senti, il se retire et largue sa purée sur ma gueule et dans ma bouche. En jouissant il a hurlé à la mort, vidé comme jamais. Je reste allongé contre lui, ma main tient son zob qui a du mal à débander. Il s’est endormi dans mes bras. Je caresse ses fesses poilues, j’hume son odeur de jeune mâle, c’est lui que j’attendais depuis longtemps, je suis formaté pour lui et son glaive. Je vais larguer mon mec, j’ai trouvé le mien, à moins qu’on face des plans à trois.
Le virus est encore là, prenez soin de vous et de vos proches.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire…
Merci de laisser vos impressions.
LE7
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