En ces temps de grève des transports, les RER sont archi bondés. En visite à Paris le weekend, j’ai réussi à chopper un train juste à temps. Je suis debout au fond du wagon, je dois aller à l’autre bout de la région parisienne. Une émission satirique dans mes écouteurs, je patiente en m’accrochant où je peux. Un grand mec est juste derrière moi, les secousses du train me collent souvent contre lui. Je comprends les réactions des dames contre les frotteurs, ça peut être insupportable pour elles, et ça peut s’assimiler à un viol. Donc respect à elles et pan sur le bec des frotteurs vicieux.
Peu de personnes descendent aux arrêts, on est vraiment comme des sardines collés les uns aux autres, et les coups de freins m’envoient en arrière contre ce grand mec dont je sens bien les formes de son sexe contre mes fesses, formes qui se font de plus en plus précises et énormes. Est-ce moi qui le fais bander, par mes secousses, je sens nettement une grosse barre qui agace mes fesses. En bonne salope, j’accentue le frottement, mon sexe décide de grossir comme son petit copain derrière moi. Le mâle me prend par les hanches et me colle plus fort contre lui. Maintenant plus de doutes, il kiffe mon boule bien rond. Avec ma main j’évalue la bête qui est imposante. Je sens bien la grosse veine, le machin tend au possible le chino du bomec. Il défait son pantalon, je m’empare de ce chibre qui ne demande qu’à s’exprimer. Je n’arrive pas à en faire le tour avec la main, je le sens se tendre régulièrement, le mec a fermé les yeux. Sa main droite descend vers ma rosette et la masse au travers du pantalon. Je recueille beaucoup de mouille de son gourdin que je porte à mes lèvres. Je suis en train d’arriver à un point de non-retour de concrétisation de ces contacts. Tous les voyageurs sont orientés vers la porte, ce qui fait qu’on est libre de nos gestes. Je défais le bouton de mon pantalon, il descend mon boxer, et en pliant les jambes et en remontant, profitant d’un coup de frein puissant, me pénètre d’un coup. Son gland est luisant de mouille, ma nuit avait été chaude, je devais encore être lubrifié, sa mouille importante a fait le reste. Je suis empalé sur un monster de 20x6.
J’ai perdu mon souffle, sa main devant ma bouche, j’ai fermé les yeux et laisse faire les secousses du wagon qui nous fait l’amour. Un coup long qui ferme mes yeux ou un coup court qui m’essouffle. Mon beau mâle actif a posé la tête sur mon épaule et me chuchote « je n’en peux plus, je vais te remplir, ne t’inquiète pas suis clean ». Sa queue coulisse de plus en plus vite dans ma salle de jeu, je sens bien ses grosses couilles taper mon scrotum, le veines de son gros chibre, son gros gland qui pilonne mon antre d’amour. Mon voisin de devant, se tourne vers moi avec un sourire entendu, Il me roule le patin du siècle, sa bouche est délicieuse et fraîche. Je me sens partir, mon cerveau bug, mes jambes flageolent, mon bassin explose. Je suis en train de jouir dans mon boxer, un basculement plus prononcé du wagon enfonce au maximum mon mec qui étouffe un cri. Les sursauts de son sexe dans mon cul sont divins, il me remplit d’une quantité incroyable de jus. Cet effet miel apaisant me fait juter une deuxième fois, ma chatte est meurtrie, mes jambes sont lourdes, mon âme est apaisée, une semaine sans jouir... Mon boxer est trempé. Il garde la tête posée sur moi, souffle bruyamment et profitant d’une secousse se retire. Son énorme queue débande à peine, elle tape derrière mes cuisses. Il pose de suite des mouchoirs contre mon trou pour absorber le jus qui coule telle une fontaine.
Ce mec-là est un gentleman. Il m’essuie bien, remonte mon boxer, non sans avoir calé un mouchoir dans ma raie, réajuste mon pantalon, et même rattache le bouton de mon pantalon. Je suis sur un petit nuage. Il se rhabille en un éclair, il dépose un bisou sur mon cou. Sa queue descend sur sa cuisse droite dessinant une bosse très indécente, le gland ressemblant à une clémentine. Je tombe amoureux de mon amant instantanément, toutefois son alliance me fait déchanter. On sort tous les deux au terminus «viens avec moi, je t’invite à déjeuner». J’en ai oublié mon rendez-vous d’affaire, reporté au lendemain. L’après-midi, il m’invite dans une garçonnière, non loin du restaurant, il m’a fait l’amour plusieurs fois, avec douceur et virilité. Cet homme est une perle, un mâle alpha, qui ne pense pas qu’à lui mais au plaisir des autres. Ses caresses après l’amour m’ont rendues fou, « voire folle de lui ». 3 jours après je rentrais chez moi en province, en avion, pas de trains. Je ne me suis jamais senti aussi bien, la négociation commerciale est allée au-delà de nos objectifs, félicitations de mes patrons. Jolie prime de résultats. Seul bémol cet inconnu qui va me manquer et qui n’a pas voulu me laisser son téléphone. « Je préfère comme ça » (il a menti car dans la poche de mon blouson sa carte de visite). J’ai ressenti son passage plusieurs jours durant, puis la gêne s’est estompée, pas son souvenir, son odeur, son parfum, ses coups de reins, ses bras puissants, ses cuisses énormes et velues, son ventre de marbre, ses coups de langue, sa gentillesse, sa générosité, sa pilosité aussi, un vrai ours. Il a fait de moi sa chose avec respect, sans humiliation, sans m’imposer quoi que ce soit. Toujours en SSR, capote XXL et Gel, classe cet homme. Je ne lui ai pas posé de questions sur sa famille. C’était une vraie belle personne. Si tu te reconnais, prend soin de toi. Si je remonte à la capitale…
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
LE7
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