C’est l’été, on est samedi, après déjeuner, je suis affalé sur mon canapé dans la véranda, au frais, en boxer, sur le ventre, je somnole, il fait très chaud.
Dans un demi sommeil, je vois deux ombres, s’approcher de moi. Bizarrement je ne bouge pas, même pas peur, comme si j’espérais que cela arrive.
Ils sont en short satin, torse nus. Très affutés et musclés, l’un est velu comme un ourson, l’autre glabre, seul un gros filet de poils descend dans le short. Tous les deux ont des bulges inquiétants en volume. J’ai la vision trouble, réveillé dans mon sommeil, je me surprends à bander taureau.
Je m’assoie, leurs bassins sont devant mon visage, deux lourdes barres sont à portée de ma bouche. Je les caresse à travers le short, elles déforment le mince tissu noir, je descends le short du poilu, sans boxer, sa queue se présente, fière, arrogante devant moi. Je l’évalue à un bon 18x6… un bon gourdin dans une forêt de poils noirs drus. Je descends le short du mec imberbe, un boxer CK retient encore son gros zob, le boxer est mouillé. Je descends sèchement le sous-vêtement, sa queue me biffle, oh elle est énorme : 21X6. Elle suinte du pré-cum en continu.
Le poilu pénètre ma bouche jusqu’au gosier, il force ma gorge et m’étouffe, l’autre me tape avec son sexe hyper dur. Je manque de vomir, je le repousse pour respirer un grand coup, l’autre prend sa place et force mon gosier aussi, son gland ne passe pas, il ressort gluant de bave, je gobe juste le gland du velu, l’autre essaye de rentrer le sien, j’ai deux gros gland dans ma bouche pleine, ils me caressent la tête. Ils mouillent beaucoup, ça coule sur mon menton et mon torse, mon bulge est trempé de leur mouille et ma bave.
Ils me lèvent, baissent mon boxer, ma queue enfin libérée rejoint leurs glaives, leurs contacts me donne des frissons. On fait une soupe de langue en même temps… ils me positionnent à genoux sur le canapé, le velu me bouffe le cul, il prépare mon conduit, et quand son copain enfonce sa queue dans ma bouche, lui envahit mon colon d’un coup, comme les orientaux. Je veux hurler, mais j’ai la bouche pleine et c’est bien connu « dans l’espace, personne ne vous entend crier ».
Sans pitié il me pilonne à fond sans arrêt en soufflant, il n’est pas endurant et jouit en grognant dans mon cul. Une dizaine de soubresauts secouent sa queue, son copain fait le tour et m’embroche direct, elle est plus large et me refait gémir, il rentre tout jusqu’aux couilles, « oh dja dja oh dja dja » je déguste, une délicieuse douleur, je pose ma tête sur le torse du poilu posé devant moi, je tiens son zob, il a fermé les yeux et cuve son orgasme. Son copain est endurant et me destroy ma techa, ça dure 15mn.
Puis je sens sa queue gonfler encore, il se retire et asperge ma joue et le torse poilu de son copain. J’ouvre la bouche, du jus gicle sur ma langue, il a un goût sucré. Il a joui sans un mot, juste un souffle rauque.
Ils remettent leurs shorts, la barre est indécente, ils sortent comme ils sont entrés, discrètement. Moi je m’allonge sur le canapé taché. J’attrape un teeshirt pour le poser sur leur sperme, et je me rendors, épuisé.
Le virus est encore là, prenez soin de vous et de vos proches.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire…
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