Vive le train
Il me revient en tête un voyage en train vers Marseille. Je suis en avance à la Gare de Lyon à Paris, le train est déjà à quai. Je m’installe dans un carré en 1ère en fond de voiture, je suis encore seul, à la place côté couloir, ça me permet de mater les gens qui entrent… eh eh
Peu de voyageurs en ce dimanche soir, c’est le dernier train, je rentre chez moi après un salon éreintant où j’ai excellé en volume de vente. Mon patron me promet une reconnaissance substantielle pour ma paye de juin. C’est très détendu que je vois entrer dans le wagon un beau jeune homme en short blanc qui cherche sa place. 20/25 ans, assez poilu, ses jambes sont noires de poils, une touffe de poils s’échappe de son tee-shirt et ses bras en sont noirs. Sa coupe de cheveux très courte est soignée, j’en suis heureux, il s’installe en face de moi, enfin sur le siège côté fenêtre, en me souriant charmeur et viril. Quand il range son sac à dos, son tee-shirt se soulève sur un ventre très musclé et très poilu. C’est le type même du mec que je kiffe de ouf.
Quand il marchait vers moi tout à l’heure, j’ai bien capté un volume indécent dans son short blanc, avec un membre à l’horizontale, une poutre apparente appétissante. Il se réajuste discrètement pour s’asseoir, on connait bien ça nous les hommes. Il n’empêche que son bulge fait une bosse que je ne peux pas quitter des yeux. Il m’a grillé et me sourit bienveillant. C’est le genre de mâle sûr de son charme, gay-friendly, tolérant qui se sent flatté par mes yeux baladeurs.
Ma braguette a du mal à contenir un début d’érection, mon chino est malmené. J’ouvre ma tablette, pour vérifier mes prospects. Je me rends compte que le train avait démarré et qu’on serait seuls dans ce wagon. Je pose ma tablette sur le siège d’à côté, étend mes jambes en m’étirant, ma queue est bien visible maintenant, mais je m’en fous, on est entre mecs. Lui aussi a étendu ses grosses cuisses, on fait un combat imaginaire de bulges, c’est lui qui gagne en volume… j’écarte bien mess jambes en somnolant jusqu’à toucher ses jambes, sans arrière-pensée. Lui ne bronche pas, il pourrait changer de place, mais ne le fait pas… étrange… étrange.
Régulièrement il frotte son ventre en soulevant son tee-shirt, un enfer pour moi. Le contrôleur vient de passer, un beau mec, hipster, en uniforme, en béret, avec une voix rauque. Il m’a réveillé doucement en me touchant l’épaule, j’ai aimé ce contact. Nos doigts se sont touchés quand il a pris ma carte, rien de sensuel là pour lui, mais pour moi qui suis en manque de contact depuis deux semaines, j’en ai des frissons.
Quand il repart, mon voisin passe à l’attaque et caresse mes jambes. Je sursaute mais ne me retire pas. Il effleure le tissu du chino, cette caresse déploie ma queue à m’en faire mal. Ce pantalon est trop serré…
Je me lève et baisse mon pantalon en dessous du boxer. Il baisse son beau short blanc, son boxer est distendu. Je me mets à genoux et lèche ce boxer bien rempli, je tête la partie du boxer où traverse de la mouille en abondance. Il souffle très fort. Il se lève et baisse son boxer. Je crie « Oh » une énorme queue surgit, large, avec un gland anormalement gros, de belles veines traversent ce membre viril, ses couilles sont comme des kiwis, très velues, et très serrées. Elle doit bien faire 23X7… mon anus mouille comme une chatte… c’est sûr il va m’enfiler. J’ai du mal à gober son gland, il me tient la tête, sa queue dure comme du béton se déploie encore… je vais prendre cher…
Je le branle quand je le pompe, souvent il m’arrête juste avant d’exploser, au bout d’un moment il ne peut se retenir et inonde ma bouche de jets épais. J’avale tout sans hésiter. Il ne débande pas… il fouille dans son sac à dos, sort un tube de lubrifiant et une capote XXL, il s’équipe, me retourne, enfonce le tube dans mon cul, injecte du gel, il appuie sur mon cou, me courbe au maximum, il pose son gland à mon entrée.
« Vas-y encule moi mec, j’en ai trop envie ! »
Il saisit mes hanches, il me pénètre à fond, je serre les dents, sa queue est immense, elle prend toute la place, ses couilles collent mon cul, il gémit
« Putain c’est trop bon, j’aime ta chatte… elle serre bien ma teub, acclimate toi à mon zob, je vais commencer à te baiser »
Le train fait un à-coup, pour lui c’est le signe de départ, il retire jusqu’au gland sa queue et la replonge aussitôt. J’ai l’impression qu’il aspire mes boyaux vers l’extérieur, j’ai la bouche ouverte, les yeux fermés, un râle sort de ma bouche, je bave ; comme un train, il accélère sans pitié ses pénétrations, la douleur a disparu, je suis une femelle au service de son mâle alpha, de 10 ans de moins mais de 5cm de plus dans tous les sens. Il manipule mon corps avec force et puissance, il me tire sèchement en arrière et s’enfonce en même temps, c’est très brutal et j’adore ça. Comme il venait de jouir, il va mettre longtemps avant de me doser, il choppe ma queue et me branle à toute vitesse, je ne maitrise rien, il caresse mon cul hyper sensible, je ne suis que jouissance…
Je n’ai pas pu stopper mes éjaculations, 5 longues trainées de sperme sur le velours rouge du siège, j’ai hurlé mon bonheur, cela a déclenché la sienne, j’ai sentis sa queue grossir à chaque fois, j’ai gémis à chaque jets :
« Tiens prend ca petite lope, ça fait depuis le début que tu me mates, j’ai trois jours de jus dans les couilles… »
« Oui je suis ta chienne, tu m’as libéré de deux semaines de jus… »
Le bonheur qui m’envahit est indescriptible, des litres d’endorphine circulent en moi, je me rhabille vite fait, j’ai débandé, lui non. Une énorme barre encombre son short blanc. Il nous reste 2 heures de voyage, je m’allonge sur la banquette, les yeux rivés sur lui, sur mon mâle, sur sa queue, instrument de mon plaisir… Lui aussi s’endort doucement, les mains sur son sexe, comme pour le protéger de mon regard. Une fine sueur recouvre ses bras et colle ses poils, une forte odeur de sperme, de sueur, de testostérone flotte au-dessus de notre carré.
Quelque chose s’est posé sur ma joue, c’est lourd, chaud et un peu gluant…
« Suce moi petite pute, j’en ai encore pour toi, bouffe mon gland salope… »
Ce jeune est insatiable, il s’est mis torse nu, je me mets sur le dos, il enfonce son chibre en moi, je ne peux avaler qu’un tiers de cette queue immense, je ferme les yeux, soudain on me soulève les jambes, une queue me pénètre sans ménagement, c’est le contrôleur qui vient se vider… ça queue est plus fine, mais très longue, j’ai l’impression qu’elle déchire le fond de mon colon, je gémis sourdement la bouche pleine. Il y va fort l’agent, sur l’autre carré son collègue black se masturbe… deux mecs bien montés qui s’occupent de moi et un autre qui attend… c’est ma fête, mon abstinence est rompue et récompensée…
Le contrôleur se retire précipitamment se colle à mon mec et jute sur ma bouche et mon cou, ses jets sont rapides et crémeux. Le contrôleur métis m’investit, il a retiré sa casquette, il est chauve, il a ouvert sa chemise, ses abdos jouent pendant qu’il me baise. Il écarte mes jambes au max à m’en faire mal… lui retire sa queue tout le temps complètement et explose ma chatte jusqu’aux couilles… je n’en peux plus, je vais juter… il n’est pas endurant et remplit mon colon. Les deux contrôleurs s’en vont, mon voisin voyageur prend pitié, nettoie mon visage avec des mouchoirs, ensuite avec des lingettes parfumées au thé vert, il me relève et nettoie aussi mon cul qui coule, je suis comme un bébé, sous son emprise. Il me serre contre son torse musclé. Je sens son cœur qui bat. Je frissonne,
« Ca va bébé ? Tu as bien morflé là, quand on arrive à Marseille, tu pourras venir chez-moi si tu veux… »
Je me blottis contre ce jeune mec, il est rassurant…
(Suite au prochain épisode, dîtes-moi si vous en voulez encore)
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
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LE7
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