Il y a quelques années, j’ai hébergé un militaire dans une chambre de ma maison pour quelques mois. Sa caserne état à deux pas, et ce gradé de l’armée, colonel, très classe, était ravi. Svelte, sportif, musculeux, il était charmant. Parfois, il rentrait avec des victuailles et on mangeait ensemble. Respectueux de tout, il faisait même la vaisselle. Un soir il se confiait à moi :
« Ma copine ne supporte plus mes absences, elle m’a quitté il y a deux mois maintenant, je l’aimais beaucoup, elle ne se faisait pas à ma vie. On n’a pas d’enfants, pas mariés, la séparation fut simple. » « Confidences pour confidences, mon mec, ce salop, est parti avec un plus jeune, un beau blond de 22 ans, il y a un mois »
« Ah, mais tu es… gay alors ? Remarque cela ne me gêne pas, chacun fait ce qu’il veut de sa vie et de son corps»
« Oui sauf que là j’ai besoin de faire l’amour si tu vois ce que je veux dire… je suis… plein… »
« Masturbe-toi ! Moi je fais ça… »
« Je ne me masturbe jamais… »
« Tu as besoin d’aide alors… »
Il rangea la dernière assiette, posa le torchon, et s’approcha de moi, après avoir éteint la lumière. Jamais je n’aurais imaginé cela, il se mit à genoux, descendit mon short, mon boxer et commença à me caresser. Popaul était au maximum de sa forme, il me faisait mal tellement la tension était forte ! Avec une délicatesse féminine, il se saisit de l’engin.
Je ferme les yeux, je sens à peine ses doigts, il a des doigts de fée, sa bouche enveloppe mon gland, je pousse un soupir de surprise… un grand gradé de l’armée, modèle de virilité, grand corps musclé qui me fait une gâterie ! Adossé à la table de la cuisine, je saisis sa tête pour guider sa fellation. Il tient mes couilles, les masse en même temps qu’il engloutit ma grosse teube. À ce rythme-là, je ne vais pas tenir longtemps. Pour un hétéro, il se débrouille bien, hétéro curieux je dirais, ou Bisexuel… D’un coup mon corps prépare mon bon jus, mes jambes flageolent, « ça vient… ça vient » il se recule et prend trois jets en pleine face, très puissants, bien laiteux ! « Salop tu ne m’as pas raté ! » je lui temps le sopalin, il est littéralement aspergé de sperme, sa chemise militaire est tâchée. Il se relève, sa queue fait une très grosse bosse, je descends la fermeture éclair, je m’approche… il ne tient pas à ce que je le suce, je me contente de le branler à toute vitesse. Il largue plusieurs éjaculations sur du sopalin, il crie sa jouissance.
« Putain c’est bon, c’est bon, merci mec ça me soulage »
« je ne pensais pas que, hétéro comme tu es, tu me sucerais… »
« Tu sais lors des campagnes militaires de plusieurs mois, des soirs dans les chambrées, tout le monde se rend ce service, il n’y a pas d’amour, juste de l’aide à son prochain… l’armée ferme les yeux là-dessus, même s’il y a des filles maintenant, des couples se forment, mais c’est toujours plus compliqué avec elles. »
Cet homme qui doit être respecté, qui occupe un grade important, vient de s’abaisser à soulager un mec comme moi…
La situation est cocasse, on est tous les deux la teube à l’air… il se déshabille complètement devant moi pour prendre une douche. Whaou son corps est magnifique, son énorme queue qui n’a pas débandée focalise mon regard… elle repose, ou plutôt rebondit sur une belle paire de boules très viriles. Entre les pectoraux une toison très fournie, brune, elle descend directement vers son pubis, ce mâle est magnifique. Je l’accompagne jusqu’à la salle de bains, me déshabille à mon tour, on entre dans la douche tous les deux. Il n’aime pas le contact de mon membre sur lui, et s’écarte le plus possible de moi, chacun sous un pommeau de douche, on se lave en se respectant.
« Ouais désolé, tu sais je suis hétéro, je préfère les femmes même si ta belle queue m’a fait bander, c’était mécanique »
Cette réflexion fait retomber aussi sec mon excitation, elle reste en mode demie molle, lui quand il frotte ses cheveux, cela fait bouger sa grosse teube et ses couilles… hum je n’en peux plus. Il a toujours refusé que je le suce, des fois quand je descends petit déjeuner en slip, et qu’elle fait une grosse bosse à l’horizontale, il me mate discrétos… je le sens, il reste à distance. Il ne m’a plus jamais sucé, il reste très professionnel avec moi, très courtois, finalement je préfère comme ça. Je me demande s’il avait apprécié que j’asperge sa belle chemise militaire et son visage de colonel.
Passez de bonne fêtes les amis, rendez-vous pour de nouvelles aventures en 2020.
Dans la vie, protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
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(si vous avez tiré sur la nouille grâce à mes histoires, dites-le-moi J)
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