Premier épisode | Épisode précédent
Après l’épisode de mon livreur rebeu, de son copain et de mon voisin, j’avais enrichi ainsi mes expériences de sexe en groupe. J’avais décidé de faire une pause de quelques semaines pour permettre la réparation de mes orifices, au bout du compte j’étais vénère de m’être fait maltraiter comme ça. Mes passages aux toilettes étaient toujours douloureux, « une pause s’impose » m’a lâché mon médecin traitant.
J’ai refusé les avances de mon rebeu macho viril préféré. Son copain est venu un soir à la maison, je ne lui ai pas ouvert la porte, il râlait comme un putois dans le couloir, et il a fini par partir. J’ai rompu avec mon chéri, il n’était pas à la hauteur, j’avais vécu bien mieux que ses baises plan-plan.
3 mois ont passé, ma période de sevrage, était terminée, mon intégrité physique retrouvée, j’invitais mon voisin à boire un coup devant un match de handball un soir.
« Oui ça me fait plaise, ça tombe bien, parce que le livreur arabe, vient à la maison ce soir, je peux venir avec lui, tu comprends tu ne voulais plus le voir, on a pris l’habitude de ken ensemble… »
Le ciel me tombait sur la tête, cet enfoiré de petit bourgeois bon chic bon genre se faisait sauter par mon rebeu préféré, celui qui a changé ma vie et ma manière de concevoir le sexe ! Ce petit mâle actif, prétentieux comme tout, baisait avec mon régulier !
« Oui bien sûr no problémo, viens avec lui… » Lui dis-je la gorge nouée.
Trois coups discrets à la porte d’entrée, et je me retrouve face à mon voisin sourire aux lèvres et derrière « mon livreur rebeu » un peu gêné, beaucoup moins assuré que d’habitude, beaucoup moins orgueilleux, dans ses petits souliers…
« Allez y entrez, installez-vous, le match va commencer, il y a les hymnes nationaux, je vous sers quoi à boire ? »
Mon voisin demande un whisky et mon rebeu un coca zéro. Je réservais une surprise à ce dernier, et on allait voir ce qu’on allait voir. Mes deux « amis » s’installent sur le canapé, dégustent leurs boissons, les chips et cacahuètes craquent sous la dent, ils ont tous les deux un coup de chaud et me disent…
« Bastien, on peut se mettre à l’aise ? Il fait chaud chez toi ! »
Joignant le geste à la parole, ils se mettent torse nu, mon rebeu est toujours aussi craquant, ses pectoraux sont bien dessinés, ses abdos, un petit filet de poils sexy bien noirs, ses biceps traversés par une grosse veine m’affolent. Mon voisin a pris du bide, sa surcharge adipeuse me dégoute un peu, il fait gros beauf comme ça. La boisson les a désinhibés, je m’assoie à côté du rebeu, je lui mets la main sur la cuisse, il me regarde surpris, comme si on n’avait jamais rien fait ensemble.
Je lui dis d’un ton ferme : « je veux ton cul, fous-toi à poil et à 4 pattes » il s’exécute dans l’instant, j’ai un bon boule musclé à disposition. J’essaye de rentrer un doigt, il est extrêmement serré, vierge de ce côté-là, il beugle comme une vache, mais ne tente rien. Je me dis que je vais pouvoir me venger. Mon voisin fixe le match sans bouger, il est comme paralysé.
Mon livreur rebeu tourne la tête et me fixe très inquiet. Je le regarde en rigolant et lui balance
« t’inquiètes mon chéri, tu vas manger ta mère ! » une grosse noisette de gel sur son trou, je chausse une capote, je badigeonne ma queue et je prends mon élan et le pénètre d’un coup, à la manière arabe, jusqu’à la garde. Ma grosse teube est hyper serrée par son anus et son colon, il doit déguster. Sa queue et ses couilles pendent lamentablement. J’attends un peu qu’il s’habitue un peu, il me regarde toujours à en avoir un torticolis, je l’entends souffler, c’est pour moi le signal du besognement, je la ressors complètement et le pénètre à claquer son cul. il gémit, puis il souffle. C’est le moment que choisit mon voisin pour lui faire sucer son membre. Voilà mon rebeu préféré laminé comme une petite pute affamée, ma vengeance est complète. Lui si viril, si autoritaire, si actif, réduit à une folle passive en manque de sexe. Son anus se contracte régulièrement, il travaille ma queue, comme s’il voulait me traire…
« Mais qu’est-ce que tu me fais, arrête, tu me fais mal putain, arrête sale fils de pute ! » mon voisin le maintien par les épaules, je jouis à ce moment-là. Je remplis la capote. Il beugle « arrête ne je suis pas une femelle » il sent bien ma queue réagir en expulsant ma liqueur d’homme. Je décule d’un coup, il hurle à nouveau, mon voisin prend la place, il essaye de se débattre, je maintiens ses épaules au sol, il baisse la résistance et accepte de se faire démonter par la longue teube fine. Il gémit maintenant, il saisit les couilles du voisin et les colle contre lui, il vient de basculer d’actif à versa salope. Mon voisin crie plus fort, il vient de se vider. Du jus coule au sol, mon livreur rebeu, tombe sur le côté, il touche son anus qui est encore béant. Grand seigneur je branle un peu la teube de mon rebeu qui gicle 7 gros jets blancs. Je le lève, l’emmène à la douche, il a la tête baissée, anéanti.
« je regrette ce que je t’ai fait l’autre fois, Bastien, j’ai été stupide… » Je le lave au gant, il est encore plus beau, avec le tuyau de la douche, je lui prodigue un petit lavement, il me fixe reconnaissant, je le sèche et l’emmène sur le canapé, le couvre et il s’endort de suite. Mon voisin rentre chez lui sans rien dire, à la télé la France vient de perdre le match contre l’Algérie… je décide de le coucher dans mon lit, il se blottit contre moi, son corps très chaud, ses muscles sont durs. Sa queue est en demie molle, comme la mienne, mais j’ai trouvé que la leçon suffisait. On a dormi sagement. Il est parti vers 5h30, il m’a laissé le mot suivant.
« Tu m’as mis la misère avec ton gros zob, tu m’as humilié, je ne suis plus un mâle alpha, salop, et j’ai aimé. Je ne veux plus voir l’autre c… (le voisin) par contre toi je te kiffe, j’ai mal au cul ce matin, j’ai du mal à marcher, ça devrait aller… bises à ce soir mon chéri, Salem khouya »
Dans la vie, protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
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