J’ai toujours fantasmé sur les blacks. On est ainsi fait, pourtant leur réputation est plutôt justifiée. La croyance populaire ne laisse pas passer un tel fantasme ; pour ma part, j’ai une réelle tendresse pour eux. L’aventure de l’été dernier ne va pas me contredire. Un beau soir d’été et de déprime, je me connecte sur une appli bien connue en vu de trouver un chevalier servant, actif de préférence, sachant utiliser son outil. Peu importe la taille me disais je, un homme sachant faire l’amour.
« actif TBM dispo blck » je me dis que je pouvais tenter l’aventure, garder ce mec pour la nuit et passer un bon dimanche entre bouffe, boisson et baise. Le programme lui convient, en plus il est en vacances, tout disponible. Ca tombe bien moi aussi. Pas d’échange de photos, pas de demande de mensuration, rien… le hasard total… vais-je le regretter.
30 minutes après nos échanges il est devant le portail, il est grand, assez large d’épaule, il dandine sur ses pieds. Il a une belle tignasse rasta et une barbe fofolle. Je le fais entrer, il me suit à l’intérieur, d’un pas assez agile. Il n’a rien dit encore sauf un bonjour rapide.
Je l’emmène direct dans la chambre. On se déshabille tous les deux, on s’assoit sur le lit. Son sexe est au repos, il a une très belle toison sur le torse et les abdos. Il sent l’eau de cologne bon marché à la lavande. On ne bouge pas tous les deux, vous me connaissez je prends la parole.
« tu veux faire quoi ? Moi je peux te sucer d’abord et tu m’encules ensuite » oui je reconnais c’est très direct, peu de place au romantisme, parce que mon popaul lui il est en extension totale, au maximum de sa forme, dans toute sa longueur 19 et toute sa largeur 7, et il va falloir qu’on passe à l’action. Quand j’essaye de poser ma main sur son sexe il l’écarte, en me fusillant du regard… mais que cherche t’il ce beau mâle ? Oui c’est un bel homme, bien musclé, à la belle peau chocolat, aux veines saillantes de partout, même sur sa queue. Tout à coup, il se recule dans le lit et s’allonge, en écartant bras et jambes, comme offert à ma curiosité. Cette position réveille son membre qui commence à pousser vers son nombril, se frayant un passage entre ses poils bouclés. Je suis comme fasciné par l’homme, je le contemple admiratif, ses lourdes couilles se sont resserrées, forment un grosse boule à la base de son phallus qui doit bien faire pfiou… 23cm, de la largeur de sa base… 7,5cm. Je n’en peux plus, j’avance une main et caresse ses flancs, cette caresse effleurée déclenche en lui une chair de poule, il ferme les yeux, je prends ça pour un accord tacite, je commence direct à lui lécher ses couilles ; j’adore le goût du mâle qui a marché toute la journée, et je remonte le long de l’obélisque pour enfourner un gland turgescent très odorant. Bizarrement je ne suis pas dégouté, ma bite colle contre mon ventre, elle me fait mal. Je prends sa main et la pose sur mon membre, il retire sa main et mets les deux mains derrière sa tête.
Ce mec n’est pas passif mais inactif, il fait son pacha…. Je suis un peu frustré, ça n’était pas ce qui était convenu. Je décide de profiter de lui comme avec un gode : je lui enfile une capote XXL, un bonne giclée de gel à l’eau, mon trou reçoit sa dose syndicale de gel. Il a les yeux fermés. Je l’enjambe, positionne son gland sur ma rosette et entreprends de m’asseoir sur la chose. Un grand coup de rein m’arrache un cri, il vient de faire rentrer tout son gland… mettant à rude épreuve mon sphincter. La douleur et vive, lui affiche un sourire carnassier qui me déplait. Quelques instants ont passé, la douleur aussi, je m’enfonce jusqu’à rencontrer ses grosse couilles. Lui comme moi avons ouvert la bouche, lui de satisfaction et moi de surprise. Sa queue dilate considérablement mon rectum, elle bat la chamade en moi et me provoque des sursauts de plaisir continu.
Enfin il passe à l’action, sans déculer il me renverse sur le dos, met mes jambes sur ses épaules et commence à me pilonner. Puissamment, retirant presque sa queue à chaque fois, et laissant retomber son bassin pour mieux me démonter. On ne m’a jamais baisé comme ça. Quand il ressort j’ai l’impression que mes entrailles vont sortir, et quand il rentre son glaive va jusqu’à mon estomac. J’ai déjà joui de deux fois à sec en criant mon amour pour ce mec, ma prostate va me faire un procès. Lui est très endurant, je rajoute comme je peux du gel entre deux pistons. Il me fixe dans les yeux à me faire peur, je suis en totale domination. Je suis sa chose, sa poupée gonflable. Ma vraie jouissance va éclater, je le saisis par les reins et l’enfonce davantage en moi. 4 longs jets de ma queue m’atteignent au visage, je hurle de bonheur et de douleur, sa queue ravage mon anus, mes sphincters souffrent pendant l’orgasme. Lui serre les dents, la pression sur sa queue est trop forte, il décule d’un coup, retire le préservatif et m’asperge de son jus laiteux. Sans mentir une dizaine d’éjaculations, je suis trempé mais heureux. Mes yeux se ferment réclamant un repos endorphinien…
Je me réveille à 3 heures du matin, il n’est plus là, il devait rester il est parti. Un petit mot sur la table du salon :
« je suis parti, tu ne tiendrais pas le choc, repose toi… ton cul aussi a besoin de repos. »
J’ai eu du mal à marcher jusqu’au lundi, j’ai pris la voiture pour aller au boulot. Il avait raison, j’avais le cul destroyed, je ne l’ai jamais revu, tous les autres mecs m’ont paru assez fadasses… tu penses… sauf Hervé l’anaconda… je vous raconterai ça une autre fois.
Dans la vie, faites comme moi protégez vous. Ne laissez pas cette merde prendre votre vie.
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