Premier épisode
Rachid travaille sur les toits, il s’est souvenu de moi, il a un chantier à deux pas de chez moi, il m’appelle « Bastien, prépare toi je passe à midi et demi, je vais te féconder… » J’avais pris mon vendredi, pour moi, ça tombe bien.
J’avais cassé avec mon petit copain suite à son passage « en moi », j’avais pris un tel pied, mon petit copain me paraissait tellement fadasse et mou du genou avec sa petite bite… depuis j’enchaine les plans avec des rebeus, mais seul mon Rachid me satisfait vraiment.
J’ai le cœur qui bats la chamade comme une midinette, je sens son odeur, mon anus palpite comme un mort de faim. Je bande de ouf, la mouille trempe mon boxer, j’enfile un string de lope, et j’attends…
Il rentre chez moi avec 30mn de retard, je suis à quatre pattes sur le canapé.
Rachid « bien ma petite pute, je vois que tu veux en manger de la bite d’arabe, ça s’est très bien passé mon chantier, j’espère que tu vas compléter mon bonheur. »
Il me saisit une oreille et me traine à genoux sur le tapis du salon. « allez-zi-va bosse un peu ma grosse pute»
Je suis à genou devant son combi d’ouvrier, sa braguette fait un bulge énorme, lui boit le coca que je lui ai préparé, déjà décapsulé. Il rote fort.
Je lèche sa braguette, son zeb commence à grossir, je savoure ce moment, le gourdin atteint sa hanche et le dépasse, on distingue nettement sa grosse veine, lui plaque ma tête sur son membre gigantesque. Il tombe son combi par les épaules, son torse velu musclé apparait dans toute sa force virile. Je pousse un cri de bonheur, ma queue me fait trop mal.
J’essaye de caresser ses abdos puissants, il retire mes mains, je me reconcentre sur son boxer, il s’y dégage une odeur de mâle, puissante, sueur et urine, je n’y tiens plus je descends son boxer d’un coup, son zob enfin libéré me saute au visage, il me biffle avec, je suis soumis(e) à sa loi. Il joue avec ma bouche, il m’empêche de le sucer, il me torture atrocement… j’en ai faim de sa mouille.
Il ouvre ma bouche en me pinçant le nez, il plante son sexe jusque dans ma gorge, je manque de vomir, il me force à une gorge profonde.
Lui « tiens bouffe la bien, prépare la, je vais te démonter, fatma a ses règles, j’ai trois jours de jus dans les couilles… »
Bizarrement, je n’ai envie que de la sucer, lécher, j’ai tellement peur qu’il me sodomise… elle est gigantesque maintenant, un monster, un million de veines la parcoure, elles sont aussi dures que son membre. Ses couilles pendent énormément, c’est un gros paquet, une énorme bourse poilue, très brune. Il retire à nouveau mes mains quand je veux les masser. Il ne veut que mon cul, ma techa, mon trou, je suis son vide couilles.
Mon anus dialogue avec son zeb, ils se mettent d’accord à mon insu, il s’ouvre comme une fleur, c’est l’appel du zeb.
Il est complètement nu, je sens la transpiration de ses aisselles, ça me rend dingue. Il me reprend par l’oreille et me balade jusqu’au canapé. Je me pose à genoux au bord. Il n’est pas d’accord, il me retourne comme une plume sur le dos, mes reins reposent sur l’accoudoir. Je prends mes jambes, les écarte à fond.
Je peux le regarder, il est brun, très puissant, très sec, ses abdos sont bien dessinés, ses bras sont aussi gros que mes cuisses, très veinés.
Il sort de son sac un crème à fist, enfonce le tube dans mon cul et presse. La fraicheur qui m’envahit me fait débander, il prend le manche d’un tournevis et me travaille. Je crie comme une salope, son sourire carnassier me rend dingue. Il me prépare à la bête. Un long filet de jus pend de sa queue.
Lui « tu la veux, tu es sûr ? »
Moi d’une voix tremblante « oui Rachid, baise moi, encule moi »
Il passe et repasse son long membre sur mon anus, ses couilles tapent mes fesses, il savoure le moment lui aussi. Puis il pose le gland sur ma fleur, un frisson me fait perdre la tête…
Lui « attend… »
Il me rassoie sur le canapé et me gaze 6 fois avec un poppers ultra fort, la chaleur m’envahit, je perds un peu la tête, lui me repositionne le cul en l’air.
Il pose son gland et me pénètre d’un coup jusqu’à la garde. Je pousse un hurlement, je suis déchiré. Un poteau est en moi, il fouille mes entrailles. Lui est immobile, grand seigneur, il attend que je me fasse à son membre, je suis affolé, j’ai peur de saigner, il n’a pas mis de capote ce fils de pute, je sens ses grosses couilles contre moi, le poppers atténue la douleur. Il boit indifférent une gorgée de coca, puis décule aussi vite qu’il est rentré, j’ai le souffle coupé, j’hurle à nouveau. Il me fout une baffe et me pénètre à l’arabe d’un coup. Je kiffe mieux, il me baise sur toute la longueur de son gros zob, je suis hyper dilaté, j’ai l’impression d’une double péné.
Je bande à exploser ma petite queue, mes couilles sont serrées, lui me pilonne en soufflant comme un bœuf. Il ravage mon colon, il le distend dans tous les sens, ma prostate est pulvérisée. Je ne suis que jouissance, j’agrippe ses fesses pour qu’il aille le plus loin possible.
Au fond de moi, il me soulève, et me plaque contre un mur, mes jambes autour de lui, je sens ses muscles, il me fait retomber sur son mât, il n’est que sueur, je m’accroche à son cou, et l’accompagne dans son entreprise de destruction, j’ai déjà joui intérieurement plusieurs fois, il explose en moi en grognant son bonheur, mais continue le pilonnage. Son jus fait des flaques au sol, mon cul si serré d’habitude est formaté à son zob, j’essaye de serrer mon anus, sans succès.
Je fais un mini malaise, tellement c’est intense, il me regaze, je repars en live, il ne débande pas et me baise a même le sol, couché sur moi, à grand coup de bassin, c’est une baise violente, je kiffe à fond, je tends mon cul pour qu’il me défonce. Je panique je vois les jambes d’un mec devant moi.
Rachid « fais toi sucer Karim, c’est une bonne lope de céfran »
Karim se désape et s’assoit devant moi, sa queue est flasque, assez large et longue. Il me la met dans la bouche, elle pue, il y a du fromage, des odeurs de pisse, elle grossit rapidement dans ma gueule, j’essaye de la sucer, Rachid derrière moi avec ses coups de rein me propulse sur le zob de Karim, il gémit de bonheur. Rachid explose en moi, sa queue débande et sort de mon cul comme un long serpent. Les traits de son visage sont tirés, il s’allonge à côté de moi, écarte mes fesses et demande à son pote de me baiser.
Karim n’a pas de travail de prépa à faire, mon colon est prêt. Il me retourne sur le dos, Rachid ramène mes jambes sur moi, Karim me pénètre, je ferme les yeux, il est sur ses genoux et me viole littéralement. Ses lourdes couilles rasées tapent mes reins, son gland a doublé de volume, il complète le travail de destruction de Rachid. Je ne peux pas crier, Rachid a mis sa grosse queue demie molle dans ma bouche. Karim fait ses abdos sur moi, il est très endurant, lui est imberbe, il a une toute petite brioche très sexe, ses coups de reins sont très puissants. Il doit avoir 25 ans, son visage est au-dessus du mien maintenant, il laisse couler de la salive dans ma bouche occupée par la queue de Rachid qui reprend de la vigueur.
Soudain il s’arrête et largue son jus en plus profond de mes intestins. Je suis explosé, fatigué, épuisé, dilaté au maximum, les jus de mes deux amants coulent sur le tapis ; je suis en plénitude. Mes deux amants se collent à moi et me caressent aux endroits les plus sensibles, je prends mon pieds, des frissons de partout. Il règne une odeur de sexe, de mâles en sueur, de sperme fort, de poppers.
Karim, me bascule sur lui, le contact de sa peau est délicieux, il positionne son zob sur mon anus et me pénètre jusqu’aux couilles. Je pose ma tête sur son épaule, je me sens en sécurité sur ce jeune mâle, Rachid tartine mon cul de gel à fist, je relève ma tête et hurle : « non non stp, non, ça suffit pour aujourd’hui »
Rachid « mais tu vas la fermer ta gueule, je vais te casser le cul, salope, ah tu kiffes les arabes, tiens prend ça »
Il me pénètre, son zob le long de celui de Karim, Karim me colle à lui, je ne peux pas m’échapper. Deux énormes bites en moi, je ne pensais pas ça possible, je pleure et gémis à chaque coup de boutoir, au final je trouve génial le frottement de ces deux membres puissants… ils ne vont pas tenir longtemps et jutent en même temps, mon cul fait floc floc.... je reste comme ça, en sandwich entre mes deux arabes puissants. On s’endort ainsi, je me retrouve ce matin dans mon lit, le cul en vrac, les couilles vides, je sens le savon, ils m’ont lavé.
C’est quand je me lève pour aller pisser, que mon cul se rappelle à moi, je boite atrocement. Heureusement j’ai le weekend pour me retaper. Rachid a laissé sur ma table de chevet une crème cicatrisante et apaisante. Je ne réponds plus au tél, laissez moi dormir, svp.
Je les aime, quand reviennent-ils ?
Depuis je rêve de Rachid et de Karim, de leurs zobs, de leurs odeur, de leurs corps tous les jours, je suis amoureux.
Le virus est encore là, prenez soin de vous et de vos proches.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire…
Merci de laisser vos impressions à histoiresle7@yahoo.com
LE7
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