J’entendis le grincement de la porte quand elle s’ouvrit. Je vis la lumière s’infiltrer dans ma chambre. Je vis son ombre se dessiner sur le mur avant qu’il ne referme la porte et que la chambre soit à nouveau plongée dans le noir. Couché sur le ventre, tête dans le sens opposé à la porte, il n’était plus du tout dans mon champ de vision. Est-il toujours dans ma chambre ? Est-il parti ? L’obscurité avait englouti ma chambre et le silence de la nuit ne m’aidait pas.
Ce n’est que lorsque je sentis un poids sur le bord de mon lit que je sus qu’il était toujours là. Je sentis une main se poser sur mon fessier. Évidement il a choisi le soir ou je me couchais avec un boxer dont l’élastique était tellement large qu’il ne servait plus à retenir grand-chose. Sa main faisait des petits cercles et des mouvements de pression sur chacun de mes lobes charnus. Ne réagis pas, je me dis à moi-même. Je feins dormir profondément. Ma réaction semble être une invitation, car ses mouvements se font plus amples, plus poignants. Je sentis mes deux lobes fessiers s’écarter et quelque chose d’humide vint se poser sur mon trou : sa langue.
De sa langue il léchait mon anus. Il faisait tantôt des cercles, tantôt il pointait mon trou comme pour y rentrer. Ces mouvements déclenchaient des vagues de plaisirs en moi ; et je me faisais violence pour ne pas gémir. Tous les poils de mon corps s’étaient hérissés. Je serais les draps de mes poings, je mordais mon oreiller. Mais un geste finit par me trahir : mu par le plaisir, j’avais reculé ma hanche de manière à ce qu’il s’enfonce plus profondément. Même dans le noir je pouvais sentir son sourire triomphant. Il savait qu’il avait touché le bon point. Il savait que j’étais à présent à sa merci. Il savait qu’il pourrait disposer de moi comme il le voudra sans que je ne proteste. Et c’est ce qu’il fera…
Sa bouche s’occupait toujours de mon trou. Il passa une main sous mon bassin pour palper ma verge qui à présent était toute dure et toute humide de mouille. Il étala la mouille sur toute la surface de mon gland et entrepris une branlette légère. Il s’empara ensuite de mes couilles, les fils rouler l’un après l’autre dans la paume de sa main et brusquement, il les pressa. La douleur me coupa le souffle. Il serra légèrement plus fort jusqu’à trouver se parfait équilibre entre la douleur et le plaisir. Il serra encore plus fort jusqu’à ce que je ne ressente plus rien d’autre que de la douleur. Ce n’est que lorsqu’il entendit mes plaintes qu’il relâcha mes couilles endolories.
Je n’avais pas parlé. Je n’avais pas bougé. Couché sur le ventre. Face contre l’oreiller. Je me laissais faire. Je le laissais faire. Honteux de ce que je pouvais ressentir. Paralysé par le plaisir que je pouvais ressentir.
Il finit par me mettre un doigt. Mon cul baveux l’avait accueilli sans aucune résistance. Et ce doigt coulissant librement en moi en appela un autre, et un autre. Je me sentais bien dilaté à trois doigts dans le cul. Il tenta de faire entrer un quatrième. Je le laissais faire. Je connais bien la dimension de ce qui allait suivre. Mon trou a vraiment besoin de s’assouplir si je voulais que tout se passe bien pour la suite.
Mon cul s’est retrouvé vide. Sa langue vint une dernière fois jouer sur mes sphincters, puis elle remonta le long de ma colonne vertébrale pour atterrir entre mes omoplates. Cela provoqua un frisson en moi. J’avais désormais son souffle dans mon cou. Ses lèvres s’y posèrent et il entama un suçon. Il savait que c’était ma zone sensible. Il savait que je n’y résisterais pas. Mes hanches entamèrent un mouvement de va-et-vient dans le vide. J’étais prêt physiquement et mentalement.
– Soulève ta hanche.
J’obéis à son ordre. Le cul tendu, j’attendais. Et vint se poser le bout de son gland tout dur sur ma rosette fraichement dilatée. Il se glissa tout doucement en moi. Malgré tous les soins prodigués par sa langue et ses doigts, son gland rencontra une résistance en entrant. Il dut pousser plus fort pour entrer totalement. Une vive douleur fendit mes entrailles et j’ai dû me retenir pour ne pas alerter toute la maison. Il prit un moment pour que la douleur passe, pour que je m’habitue à la présence de sa queue en moi. Ce n’était pas la première fois que je le recevais. Mais sa queue est tellement épaisse que mon cul ne s’y habitue jamais.
Une fois le calme revenu, il entama un léger va-et-vient au creux de mes reins. La douleur était revenue. Mais ses caresses dans mes cheveux, dans mon cou, sur le reste de mon corps avaient réussi à l’atténuer. Ses lourdes couilles poilues frottaient contre ma raie, et je trouvais en cela quelque chose d’excitant. La douleur avait disparu. Je pouvais sentir chaque centimètre de cette queue qui me labourait les entrailles. Il s’amusait même à l’enlever totalement pour l’entrer d’un coup sec sur toute sa longueur. Et à chaque fois qu’il le faisait, cela m’arrachait un cri. Cela l’amusait. Cela me plaisait. Le plaisir naquit entre mes reins. Son rythme de baise était devenu régulier. Il se permettait même de me claquer les fesses. Il me mordait le lobe de l’oreille. Il introduisait sa langue dans le conduit de mon oreille.
Il me souleva brusquement les reins. Je me suis retrouvé le cul en l’air et la tête enfouie dans l’oreiller. Sa position favorite. Il me maintient fermement par la hanche et se mettait à me labourer sans pitié. L’oreiller avait servi à étouffer mes gémissements. Je mordais, je griffais. Je faisais comme je pouvais pour extérioriser ce que je ressentais. Tout mon corps était devenu un territoire érogène. Et seule comptait pour moi cette queue dans mon cul. Il s’enfonçait en moi en des coups secs et réguliers. Chaque centimètre de cette bite m’arrachait un gémissement rapidement étouffé.
L’ultime moment allait bientôt arriver. Je connais son rythme et son endurance. Les cinq derniers coups de hanche dont il me gratifia furent tous forts et profonds. Il se laissa ensuite tomber sur moi et nous fûmes allongés encore une fois sur le lit. Moi, couché sur le ventre, tête enfoncée dans mon oreiller, la bouche ouverte baveuse ; lui, couché sur mon dos, le nez sur ma nuque, le souffle fort, la queue dans mon cul.
Après quelques secondes de répit, il sortit lentement en moi. Il me tapa une dernière fois les fesses et me lança.
– À la prochaine petite pute.
Une fois seul, je soulevai enfin la tête. Je me suis mis un doigt dans le cul pour vérifier ce que je savais déjà : il avait éjaculé tout son foutre dans mon cul.
D’après vous, de qui s’agissait-il ?
Dej407
dej407@yahoo.com
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