Chapitre 2 | Giacomo et moi
En visite à Châlons-en-Champagne dans la Marne, chez mon cousin Raoul, j’y ai vécu une expérience inédite, j’avais 25 ans.
Giacomo, le pote de mon cousin, poilu comme un ours, se balade à poil dans la maison ce matin au réveil. Il ne peut cacher une très grosse érection, sa queue est orientée vers le bas, elle est lourde, il a du mal à la gérer, le prépuce recouvre entièrement le gland ce qui le rend encore plus impressionnant. Il chantonne dans la maison comme un italien quand il sait qu’il aura de l’amour et du vin (…).
Je kiffe les oursons et lui en est un. Son pelage brille au soleil d’été, ses muscles virils ont du mal à se cacher, ses biceps sont très impressionnants, ses cuisses de sportif ne tiendraient pas dans mes shorts, il a un sourire craquant, une sacrée banane, des dents éblouissantes, il est versa très viril.
Raoul mon cousin, est parti pour la journée très tôt ce matin, il ne reviendra vers 22 h, on est chargé de faire les courses avec Giacomo, nous a écrit Raoul sur un Post-it avec 5 billets de 100 francs.
On déjeune tous les deux à poils, sur la terrasse, la jolie table en fer forgé ne cache rien de son anatomie…
« Dis donc Bastien tu es en pleine forme… »
« C’est de ta faute Giacomo, tu n’as qu’à t’habiller, tu m’excites grave… »
« On n’a pas baisé hier soir, mes couilles sont pleines, tu veux m’aider ? »
« Oui bien sûr à ton service beau mâle… ragazzo ! »
En disant cela, sa teube se redresse, comme je suis assis en face de lui, elle semble me désigner comme sa prochaine victime. Sans finir mon plat, en bonne lope, je me dirige vers ma chambre et me mets à genoux au bord du lit, ma tête posée, mon cul exposé, les reins bien cambrés. Le gel, les capotes sont à côté de moi, je me gaze au poppers 4 fois…
Giacomo est dans le chambranle de la porte, il est massif, il plonge ma chambre dans le noir, il s’approche de moi, de mon cul, il dépose une couche de pâte à tartiner au chocolat entre mes fesses, il éclate de rire, et entreprend de me lécher. Il se régale, sa langue ne manque pas de percer mon anus. Sa barbe de trois jours frotte mes fesses, ça m’excite au plus haut point. Je gémis en permanence, ma queue est bandée à mort, de la mouille fait un long filet qui rejoint le lit.
Sans me prévenir, il enfonce son chibre à fond, me faisant hurler de douleur ! Ses poils me collent de partout, ceux de ses cuisses sont très drus. Je sens ses bourses velues contre moi…
« Alors tu les aimes les Italiens… petite salope, je vais détruire ta chatte ! »
Il n’attend pas un peu et commence à me baiser façon bourrin, sa queue remue mes intestins violemment, heureusement que le poppers m’aide à m’ouvrir, je suis sûr que je saigne, quel salop. Sa poutre ravage mon colon fragile, son gland racle ma chatte, il souffle, il me maitrise, il ne m’insulte pas, mais claque régulièrement mes grosses fesses. Soudain il décule d’un coup et me retourne sur le dos, mes jambes sur ses épaules et me réinvestit d’un coup. Je fais couler du gel sur sa queue en action, ça me soulage un peu. Il se sert de moi comme d’une vide couilles. Il y a comme une odeur de sucré qui se dégage, je ne me touche pas sinon j’explose… le voir me besogner est un régal pour les yeux, il a cet air ténébreux conquérant que j’aime. Tous ses muscles sont en actions, il est à l’horizontale, il n’y a que sa queue qui me baise, la vision que j’en ai va me faire jouir, cet homme bien accompli en pleine possession de ses moyens. Il accélère le pilonnage, sa queue fait un bruit de gargouillis, son gland ramène plein de gel dehors de mon cul. Il souffle très fort, son membre se vide en moi, les soubresauts de sa teube déclenchent mon explosion, je serre sa queue, il hurle avec moi, et me tombe dessus en m’embrassant. Sa queue reste branchée en moi, il ne débande absolument pas, je touche ses boules et refais rentrer sa bite en moi, on s’endort comme ça, imbriqués, soudés, très amoureux. Quand je me réveille 1 heure après, il chante dans la cuisine « viens manger petite pute, viens finir ton repas, je l’ai réchauffé, viens manger, je te féconde encore une fois, après on va faire les courses. »
C’est une bête de sexe, je l’aime déjà. J’aime son odeur, sa corpulence, ses coups de reins… je le préfère à mon cousin, plus froid…
Protégez-vous, la vie est trop belle
LE7
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