Premier épisode
Depuis mon plaisir avec ce beau garçon dans son mobile home, quelques jours ont passé,
j’ai appris que garçon s’appelle Yves, je pense à lui sans arrêt et je me dirige vers le mobile home
Je regarde par la fenêtre : personne. Déçu, je me dirige vers le petit bois.
À travers les branches je vois Yves assis près d’une souche, vêtu de son petit short en jean, il rêve dans le soleil.
Sa main malaxe l’entrejambes de son short, il ne me voit pas À travers les branches je vois Yves assis près d’une souche, vêtu de son petit short en jean, il rêve dans le soleil.mais je l’entends soupirer en accélérant les mouvements de sa main sur son short, en l’observant, je commence à bander dans mon jean, il détache la ceinture de son short, l’ouvre, y plonge la main et sort sa bite qui raidit par à coups, ses doigts commencent à aller et venir sur sa hampe je m’excite et sors ma bite de mon jean, j’écarte les branches pour mieux voir.
En entendant ce léger bruit, il lève les yeux et me voit, il me regarde, bite raide en l’air, je suis piégé !
Il continue à se branler en me souriant, excité à mort en le voyant, je branle mon épieu, il sourit de plus belle en me voyant me branler, il me fait signe d’approcher en disant :
– Regarde.
Ses doigts vont en viennent à toute vitesse, au point de non retour, il ne peut plus s’arrêter, il halète :
– H !… Ça t’excite ! Vient plus près, regarde, H !...Je vais jouir ! Branle-toi !
Je n’en peux plus, mon visage au-dessus de son gland, il cambre les reins et ses jets jaillissent sur mon visage dans un cri : – H !...OUIIII ! JE JUTE !
Il n’en faut pas plus pour que j’éjacule sur les cuisses de Yves enchanté de me voir terriblement excité par lui.
Il se rhabille, se lève et dit :
– On va dans mon mobile home ?
– Pourquoi faire ?
– Tu vas voir.
Nous entrons dans le mobile home, une barre tend le tissu d’une jambe de son short, il bande encore ! Le voyant,
je sens me tendre ma bite, dans le mobile home, il me fait la bise qui rapidement devient un baiser fougueux. Du coup, ma bite se raidit, il s’assied sur la banquette et m’invite à m’asseoir près de lui, je regarde short, il bande
à fond de plus en plus dur, il me dit : – t’as vu ? Je bande dur !
Il ôte son t-shirt, je m’émerveille de son torse imberbe et musclé, j’ai une terrible envie de le faire jouir…
il prend dans un sac sa fameuse revue qu’il ouvre sur ses genoux, il feuillette les pages, s’arrête sur une photo
d’un jeune gars bite dressée jusqu’à son nombril, il branle sa bite, l’image montre un jet de sperme.
Yves murmure en ouvrant son short : – Il m’excite, celui-là ! Et toi ? Ouais je vois bien que ta bite devient dure dans
ton jean.
Il détache la ceinture de mon jean, l’ouvre et en sort ma bite raide en souriant, il prend ma main et pose mes doigts sur sa bite, c’est chaud, je sens ses veines gonflées sur sa hampe, il dit en serrant sa bite : –J’ai envie de jouir comme lui ! Branle-moi
– Encore ? Tu t’es fait jouir il n’y a pas un quart d’heure !
– Et alors ?
Ce garçon à de la santé ! Me dis je en le regardant se branler avec application. Il me redit : – T’as arrêté de me branler, vas-y, n’arrête pas, regarde la photo, on va se faire jouir ensemble.
Je branle sa bite en lui disant : – Tu es un cochon !
– Oui, j’aime ça ! Pas toi ?
– Tu te branles sans arrêt !
– Plusieurs fois par jour, si tu voyais mon lit chez moi, il est plein de jus !
Il prend un préservatif, l’enfile et se branle, il relève les jambes et se met un doigt dans le derrière qu’il fait aller et venir en gémissant de plaisir, je le branle vigoureusement, il halète :
– Ouiii ! Plus H !...VIIITE !...H !...PLUS FORT !
Sa tête au creux de mon cou, je respire son odeur de jeune garçon en rut, il branle mon épieu brûlant, je sens monter mon jus, c’est délicieux, le lui dis : – Ah mon cochon, tu vas me faire juter !
– Comme le garçon de la photo ?
– Oui, Va y plus fort, je vais… H !...AAAAH ! Mon salaud, Qu’est-ce que c’est bon avec toi !
Mon sperme gicle encore et encore sur mon ventre, je branle Yves à fond la caisse, et dans unAAAAAH ! OUIII !
Le garçon lance un torrent de sperme sur nos corps en sueur.
Quand nous nous sommes un peu calmés, la revue et les photos dégoulinent de sperme, témoins de nos plaisirs.
Encore agités de spasmes nous nous embrassons en nous disant que c’est drôlement bon d’être des garçons vicieux !
– T’es un sale cochon ! Dit-il.
– Toi aussi !
Il rit :
– T’as vu ? Je bande encore.
– Attendons un peu, on va recommencer…
– Reste cette nuit, on ne se rhabille pas
Après quinze jours de plaisirs, nous sommes rentrés chez nous, mais nous nous reverrons bientôt, en attendant nous nous ferons jouir en pensant l’un à l’autre.
Frank
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