Jean Claude est un jeune garçon de dix-huit ans, aux cheveux foncés bouclés, au regard rieur, mais un peu vicieux, victime d'une éducation traditionnelle et religieuse. Dans sa famille on ne parle jamais de sexe, ces relations sont considérées comme des péchés et l'homosexualité est le pire péché entraînant la damnation éternelle.
Pas de chance pour Jean Claude qui est attiré par les garçons ! Depuis son enfance, il se sent coupable chaque fois qu'il pense à un copain qui l'attire. Il se sent coupable chaque fois qu'il se branle en pensant à un copain, et plus il se sent coupable, plus souvent il se fait jouir. Dans son lit, il se branle parfois toute la nuit et pour que sa mère ne s'en doute pas en voyant ses draps tachés de sperme, quand il est sur le point de juter, il le fait dans un mouchoir qu'il cache dans une poche, le tissu du mouchoir est de plus en plus raide au fil des jours !
Il éprouve des désirs pour l'un de ses copains, mais il n'a jamais osé en parler, il n'a jamais touché un autre garçon, il serait coupable du plus grave des péchés !
Un jour dans sa chambre il cherche des sites gays sur son ordinateur et il tombe sur la photo d'un magnifique garçon de son âge, son coeur bat, il ne peut en détacher les yeux ! Ce garçon est nu sur son lit, cheveux courts, il regarde le photographe avec des yeux rieurs, ses lèvres esquissent un petit sourire prometteur, il a un corps bronzé parfait et une bite, ah ! Une bite raide, épaisse, formidable ! En contemplant la photo, Jean Claude bande à mort ! Il ouvre sa braguette et en sort sa bite raide.
Mais la photo suivante montre le même garçon en compagnie d'un autre garçon du même âge, nu lui aussi, qui a saisi la belle bite du premier, et qui bande dur aussi !
- Quelle chance il a de tenir dans son poing la bite de ce splendide garçon ! Se dit Jean Claude en serrant fermement sa propre bite de plus en plus dure !
Jean Claude n'en a pas fini de bander : la photo suivante montre l'autre garçon en train de sucer la bite du beau garçon ! - Comme j'aimerais être à sa place ! Pense Jean Claude, d'autant plus que le splendide gars montre un visage extatique. - Il va jouir ! Se dit Jean Claude dont la main commence à aller et venir sur son épieu brûlant. Mais la dernière photo montre une quantité de sperme sur le ventre et les cuisses du jeune garçon que l'autre vient de branler, Jean Claude a la tête en feu, il a le vertige ! Comme il voudrait juter sur ce beau gars ! Il se branle maintenant à toute vitesse, il n'en peut plus, il sort son mouchoir précipitamment, il était temps ! En regardant la photo, son sperme gicle sur son mouchoir, sa main est emplie de sperme comme le mouchoir que ne donnerait-il pas pour connaître le garçon de la photo ! Et qu'a fait le photographe en voyant tout ça ? Il s'est branlé ou, sûrement, a rejoint les deux garçons sur le lit et a juté sur les garçons ! Quelle chance il a ce salaud !
Quand il s'est calmé, il sauvegarde les quatre images avec l'intention de se branler souvent dessus. Il se dit alors - Pourquoi ne pas le faire avec mon copain, j'en ai très envie ! Tant pis pour la damnation éternelle, à laquelle, en fait, il ne croit pas.
Quelques jours plus tard, en l'absence de ses parents il invite son copain François, un beau blond de son âge qu'il soupçonne d'aimer lui aussi les garçons bien qu'il n'ait jamais osé lui en parler. Dans sa chambre il allume son ordinateur, les photos apparaissent sur l'écran il dit à François : - Regarde, j'ai trouvé ça, qu'en dis-tu ? Surpris, François fixe son regard sur une des photos, celle où le garçon sourit avec sa bite raide qui vient de juter. François ne dit rien, mais Jean Claude voit se tendre la barre de François dans son pantalon. Il pose sa main sur l'érection de son copain en disant : - Ah, moi aussi ça me fait bien bander !
François, les yeux toujours braqués sur les photos, dit :-Oui, ils me font bander dur !...Je suis terriblement excité ! Dis, on fait comme eux ? Et pour la première fois, Jean Claude qui bande comme un cerf se prépare à jouir avec un autre garçon ! Tous deux ôtent tous leurs vêtements en vitesse et se jettent sur le lit, bites dressées. Jean Claude respire avec délice pour la première fois l'odeur du corps de François qui remarque en saisissant sa bite : - Ben, qu'est ce que tu bandes dur, toi ! Et présentant sa bite dure : - Terrible le garçon de ces photos ! Branle-moi, fais-moi juter ! J'ai envie de toi depuis longtemps !
Jean Claude est aux anges, son coeur bat, il commence à aller et venir sur la bite très dure de son copain qui fait de même sur la sienne - C'est... C'est booon ! dit l'un, - Plus viiite ! Vas-y à fond ! fait François, collés l'un à l'autre ils se branlent à fond la caisse en transpirant et haletant de plaisir : - H !....AH... FRANCOIS !...H !...QUEST CE QUE T'EST BOOON ! PLUS VIIITE !....H !...OUIII !... JE... VIEEEENS ! Et Jean Claude lance plusieurs jets puissants dans des spasmes incontrôlables aussitôt suivis pas les jets de François, couverts de sperme et de sueur, ils finissent par se calmer et François fait : - T'as bien fait de me montrer ces photos ! Qu'est-ce que j'ai joui ! Dis, remontre-les-moi !
Ah oui, ce garçon m'excite encore ! T'as vu comme je bande encore ? Viens, on remet ça ! fait-il en entraînant Jean Claude sur le lit... Et il ajoute en dressant sa bite devant le visage de Jean Claude : - Tiens, suce-moi la bite ! Et son gland caresse les lèvres de Jean Claude puis d'un coup de reins François pousse son pal dans la bouche de son copain,
Il pousse des gémissements de plaisir, dans la bouche de Jean Claude son piston dur comme fer va et vient de plus en plus vite sur ses coups de reins frénétiques, il saisit la tête de Jean Claude par les cheveux en disant : - Ah Jean Claude, je vais jouir dans ta bouche ! Depuis le temps que je rêve de jouir dans ta gueule de petit vicieux ! Il halète de plus en plus rapidement : - H !...H !...H ! H ! H ! Jean Claude sentant aller et venir le piston de son copain dans sa bouche n'en peut plus de bander, sa main va et vient à toute vitesse sur sa bite raide, sentir qu'il donne tant de plaisir à son copain lui donne un immense bonheur. Dans sa bouche le piston se gonfle brusquement, François pousse un cri : - H !...AH OUIII !...MMMMM !...C'EST....BOOOOON ! JE JUUUUTE ! La gorge de Jean Claude s'emplit du sperme de son copain, à cette sensation délicieuse, de la bite de Jean Claude giclent plusieurs jets violents, ils s'embrassent, leurs langues emplies de sperme se mêlent délicieusement, enlacés, ils se calment. François dit : - Tu sais, jean Claude, je me branle souvent en pensant à toi ! Jean Claude étonné, répond : - Je t'avoue que moi aussi je me branle en pensant à toi ! Cette fois, ce n'est plus un rêve ! Ils se sourient, Jean Claude pense que ce soir il rallumera son ordinateur sur les photos et, le coeur battant, se branlera encore dans son mouchoir en pensant inviter à nouveau François quand il sera seul à la maison... Pour se donner encore plus de plaisir !
Eh bien, vous savez quoi ? Ils ne seront pas damnés !
Frank
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