François est un beau garçon de vingt ans au visage sympathique parsemé de taches de rousseur qui lui donnent un air juvénile, son seul problème : il est timide et n'a jamais osé s'adonner au plaisir avec un autre garçon, car de plus il est gay ! Il ne manque pas d'en avoir envie, surtout quand il pense à son copain Claude, il se branle en pensant à lui s'imaginant le faisant jouir et jutant sur son visage, mais il n'ose pas !
Lorsque ses parents sont absents, il s'isole dans sa chambre et sort d'un tiroir quelques revues gay qu'il a achetées lors d'un voyage scolaire l'année dernière à Amsterdam.
Il les étale sur le sol, s'agenouille pour contempler les photos qui l'excitent, détache sa ceinture, sort sa bite qui se dresse et sa main va et vient sur sa tige dure jusqu'à ce que sa main accélère, qu'il n'en peut plus d'excitation, qu'il ne peut plus se retenir et que dans un halètement délicieux il lance plusieurs jets sur les photos.
Cela durait depuis trois mois lorsque l'été venu il est engagé comme stagiaire pour des fouilles archéologiques dans les ruines d'un ancien château.
Ils sont quatre garçons de plus ou moins vingt ans qui dorment dans un petit dortoir et l'archéologue de vingt-six ans qui a sa chambre.
Dès le premier soir, avant de s'endormir, François, comme chaque soir, bande dur et branle sa bite raide sous sa couette. Il n'est pas le seul lorsqu'on entend dans le dortoir les halètements discrets des autres garçons ! Il est super excité d'entendre les halètements des garçons, il fait comme eux, sa main accélère, il ne peut plus s'arrêter il halète à son tour et, cambrant les reins, dans un râle il jouit à grands jets dans ses draps.
Durant la journée, François fouille en compagnie d'Alain, l'archéologue. Il jette des coups d'oeil à Alain, il le trouve attirant, mais, comme on le sait, il n'ose pas lui dire ! Et le soir, quand il se fait jouir, c'est en pensant au bel archéologue de vingt-six ans !
En fouillant les vieilles pierres en compagnie d'Alain, François se surprend à bander dans son short, le tissu commence à se tendre sous la poussée de sa bite qui s'allonge, ce que remarque son compagnon qui ne dit rien, mais sourit intérieurement...
Sous le prétexte de parler de l'avancement des fouilles, Alain demande à François de le rejoindre dans sa chambre ce soir. Le coeur battant, François rejoint Alain, assis côte à côte, ils parlent du vieux château, mais François a la tête ailleurs, il recommence à bander dans son léger short kaki don le tissu se tend, Alain lui dit alors :-Iil me semble, François, que tu es un chaud gamin ! Je te vois souvent bander dans ton short !
François rougit, mettant en valeur ses taches de rousseur, en souriant, Alain pose une main sur le short de François, touchant de ses doigts la barre qui se soulève et durcit dans le short.
Alain dit :
- C'est normal de bander à ton âge, d'ailleurs, regarde, tu me fais bander aussi dans mon jean ! Et Alain, mine de rien, détache sa ceinture, François, la tête en feu, fou de désir, se jette sur Alain qui ne s'attend pas à une telle réaction, le renverse sur sa chaise, passe sa main dans la ceinture détachée d'Alain en l'embrassant sur la bouche, Alain, ravi de l'occasion, détache fébrilement les boutons du short de François au point de presque le déchirer, François est fou de désir, d'autant plus que Alain lui souffle :
- Viens dans mon lit ! En ôtant sa chemise, complètement nus, ils se contemplent, la bite d'Alain est longue, épaisse et dure comme fer, celle de François est raide, arquée en arrière et attire une main secourable pour la faire juter, ils s'étendent face à face sur le lit, leurs cuisses se mêlent, François saisit la bite d'Alain et met sa bite en contact avec celle d'Alain, d'une main, il saisit ensemble ces deux barres brûlantes dont les glands se frottent l'un sur l'autre délicieusement et commence un mouvement de va-et-vient ce qui provoque les gémissements d'Alain :
- H !...OOOOH !...FR...FRANCOIS... H !...QUE C'EST BOOOON !
François est aux anges, il donne enfin du plaisir à un autre garçon ! Et quel plaisir ! Alain n'en a jamais connu de pareil, il devient fou de sentir contre
son épieu brûlant la bite dure de ce magnifique garçon qu'est François dont le plaisir est intense.
Leurs deux pals accolés se gonflent plus encore, François n'en peut plus d'entendre les halètements d'Alain, il accélère ses mouvements, Alain gémit :
- A... ARRÊTE !...TU VAS ME FAIRE... JUTER ! François, n'écoutant de son plaisir, accélère encore excité à mort à la perspective de faire juter Alain qui crie :-OUIIII !....H !...OOOOH !....
De leurs deux bites jaillissent en même temps plusieurs jets d'une incroyable puissance !
Leurs coeurs battent la chamade lorsqu'ils se calment, en transpiration dans une odeur de sperme, Alain fait :
- Eh ben, François, tu es un garçon terrible tu m'as fait jouir comme jamais ! Ton idée de mettre nos bites ensemble pour nous faire jouir, génial ! Reste un moment, tu as encore envie ?
- Pourquoi pas ? Murmure François qui recommence à bander.
Mêlant leurs langues, ils recommencent en haletant de plaisir, la main de l'un allant et venant sur l'épieu dur comme acier de l'autre, de plus en plus vite, ils murmurent :-OOOOH !...H !... QUE C'EST BOOON ! H !...PLUS... VIIITE !...OUIIII !...JE VIENS ! Et à nouveau dans un cri Alain et François jouissent ensemble couvrant les draps de leurs spermes abondants.
Lorsque François est rentré chez lui quelques jours plus tard, il avait perdu sa timidité et plus sûr de lui, il prévoit d'oser dire son désir à son copain Claude.
Frank
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