Je rentrais chez moi et j'étais assez pressé en ce vendredi soir de retrouver mon chéri qui m'attendait pour dîner.
Mais quand la vessie réclame et que la queue démange il faut bien s'arrêter et sur l'autoroute il vaut mieux que cela ne soit pas trop pressé.
Il était 18 heures passées et j'avais encore plus de deux heures de route quand j'ai mis mon clignotant pour entrer sur l'aire de repos de cette autoroute. Il n'y avait que deux voitures garées non loin et, quand je suis entré dans les toilettes il n'y avait personne.
Je n'ai pas cherché une cabine mais je me suis dirigé vers les urinoirs sortant rapidement le monstre pour lui faire prendre l'air et se soulager. Vous connaissez le plaisir de pisser quand l'envie est là et qu'elle urge.
Un long jet sort de ma bite et gicle sur la faïence de cet urinoir qui en a vu d'autres!
Je décalotte le gland pour uriner droit et j'ai l'impression que je ne vais pas m'arrêter tellement je pisse.
J'aime tenir ma queue comme ça et la regarder pisser, je la trouve belle bien qu'elle soit molle et je souris en pensant que dans deux heures mon chéri va pouvoir s'amuser avec et, comme si elle avait compris, elle se met à se redresser au fur et à mesure que je pisse moins.
Mais elle est impatiente j'ai pensé en souriant.
J'ai entendu des pas arriver, je continuais de pisser et j'ai tourné la tête vers l'intrus pour voir un mec blond de 35 ans environ, cheveux mi-longs, jean, tee-shirt blanc qui lui collait le torse bien dessiné, mince, se tenant l'entre-jambe d'une main.
Nos regards se croisent, j'ai le temps de voir qu'il a les yeux clairs et il se met à trois urinoirs de moi, sort son engin, regarde en l'air en soupirant et j'entends son jet sur l'urinoir.
Ben oui c'est fait pour ça les pissotières se soulager.
Je finissais de pisser, je secoue doucement ma queue qui se raidissait de plus en plus et j'allais avoir du mal à la rentrer maintenant, d'autant que j'entends une voix :
-ah ça fait du bien, dit le blond à côté de moi en soupirant d'aise.
Machinalement je tourne la tête et mes yeux sont comme attirés par sa queue car il ne cherche pas à se cacher et je vois une belle queue de blond, droite, raide sortant du jean ouvert et de profile une toison blonde également flamboyante.
C'est pas ça qui allait me faire débander. Je n'avais pas baisé depuis trois jours, nos yeux se sont croisés et j'ai failli éclater de rire, car ses yeux étaient implorants, comme s'ils demandaient "soulage moi!"
Où va se ficher l'imagination quand même, mais ma queue devait penser la même chose car elle a fait un bond dans ma main, finissant de se décalotter et se raidissant encore plus, "m'obligeant" à reculer de l'urinoir pour l'exposer au regard du blond.
J'ai vu ses yeux s'extasier et remonter vers moi, vers mon visage. Ses yeux me détaillent, font le tour de mon corps, son sourire s'agrandit sur ses lèvres minces développent de belles lèvres.
Ce qu'il a vu doit lui plaire car sa queue maintenant se tourne vers moi.
J'ai 33 ans, brun, cheveux courts, yeux marrons clairs, un visage fin aux lèvres pulpeuses, un corps de rêve dit mon chéri qui adore venir me caresser les poils du torse mais ce qu'il préfère (à part moi) c'est ma queue. Un bon 20 cm quand elle est en pleine forme, au gland bien dessiné formant comme un cœur qui semble dire à tous ceux qui s'en approche "viens je t'aime!".
On se regarde en souriant, bon c'est vrai je ne suis pas farouche et lui semble ne pas l'être non plus! Il me montre les cabines sans rien dire, je cligne des yeux et tous les deux la queue à la main, lui tenant en plus son jean il entre dans la cabine du fond n'ayant qu'un vis à vis.
Je le suis et ferme la porte derrière moi. On s'observe 10 secondes et sa main vient se saisir de ma queue. Une bonne main chaude, douce qui enveloppe la hampe glissant dessus, son corps s'approche du mien, il est un peu plus grand que moi dans le mètre quatre vingt cinq, si bien qu'il vient poser son front sur le mien.
On se fixe, il me branle doucement de sa main chaude, je prends sa queue et fais comme lui. Je sens son souffle se répandre sur ma bouche, son nez touche le mien :
-t'es beau mec dit il en soupirant.
Je sens sa queue palpiter dans ma main, je la serre plus fort, je passe mon pouce sur le gland humide, il gémit en soufflant, son visage se penche, son nez glisse sur le mien, nos lèvres se frôlent, il les entrouvre, j'avance les miennes.
On reste comme ça à se caresser la queue et en même temps nos souffles se mélangent.
Il m'excite ce mec, d'abord parce que c'est un beau mec et parce qu'il prend son temps (comme si j'en avais!) comme s'il voulait qu'on se déguste.
Je suis partant.
Nos lèvres se soudent, on lâche nos queues et nos mains passent sous les vêtements, sous les tee-shirt nous électrisant tous les deux tellement caresser ce corps me fait bander encore plus. Un corps imberbe, doux, chaud, mince. Mes mains parcourent son dos et descendent sur ses fesses, je finir de descendre son boxer pour toucher les belles petites fesses. Quand je pose mes mains dessus les enveloppant il m'offre sa langue à sucer, à lécher et je ne m'en prive pas. J'ai adoré sa salive, il avait bon goût le mec et semblait également apprécier la mienne.
Quand il a senti que j'étais poilu sur le torse, sa main s'est faufilée entre les poils pour me caresser, venir sur mes tétons et sentir qu'ils bandaient eux aussi.
Il retire sa langue, me regarde :
-t'es poilu mec, j'adore ça si tu savais!
Il avait les yeux qui brillaient. Il soulève mon tee-shirt en le faisant passer derrière ma tête libérant mon torse. Il regarde sa main passer dans mes poils, titille les tétons, se penche sur ma poitrine et, comme mon chéri, me respire pour sentir le mâle que je suis et cela semble lui plaire.
Sa bouche entre en action, il lèche, suce, mordille mes tétons et revient m'embrasser en se serrant contre moi.
On entend des pas, une toux, un mec pisse, le bruit de la chasse, l'eau qui coule le mec qui se lave les mains et c'est de nouveau le silence.
On n'a pas arrêté de s'embrasser durant ce temps, il s'assoit sur les toilettes, me prend la queue dans ses deux mains, sortant bien mes belles couilles. Il regarde, observe ce qui va lui appartenir quelques temps et la pipe commence!
Quel art il a ce mec, je n'ai jamais tant apprécié la bouche d'un mec et ses mains sur mes couilles. J'avais l'impression qu'ils étaient plusieurs, quand je gémissais trop fort il me regardait en écarquillant les yeux et me faisait "chut!" avec son doigt sur sa bouche et reprenait de me sucer.
Je sentais le plaisir qui arrivait et ce phénomène a dû le sentir également, il s'est relevé et j'ai vu sa queue qui coulait. Il a posé sa main sur ma nuque, m'a attiré à lui pour me demander à l'oreille :
-j'aimerais que tu me baises, ta grosse queue me fait tellement envie et j'ai des capotes!
En disant cela il en avait sorti une de je ne sais où, l'ouvrait et se rassoit pour me l'enfiler, sans que j'ai donné ma réponse, sûrement qu'il applique le proverbe : qui ne dit mot consent!
J'ai la queue enveloppée.
Il se redresse, je l'attire à moi pour lui parler à l'oreille :
-je peux te bouffer le cul avant ?
-si tu veux mais tu sais j'ai un mec il ne prépare pas des fois dit-il d'un air fataliste en se penchant en avant, écarte ses jambes et je n'ai qu'à me baisser.
Comme il s'était amusé avec ma queue je me suis amusé avec son cul!
J'adore les culs de blonds qui se font baiser. Avoir ce petit cul qui s'ouvrait sur mes coups de langue, ce cul chaud, l'anus doux et quel plaisir d'enfoncer de suite deux doigts et l'entendre pousser un petit cri. Je lui mets une claque sur la fesse, il rigole en disant "chut!"
Tu parles je sentais bien qu'il allait gueuler quand j'allais mettre ma queue.
Mon gros gland a quand même forcé l'entrée, il soufflait en se mordant la lèvre pour ne pas faire de bruit. J'ai donné un coup de reins et le gland est passé et il a gueulé comme un malade, finissant en rire et continuant de dire "chut!"
Alors je l'ai baisé, l'entendre couiner fût un plaisir. On s'en foutait alors de faire du bruit, on a baisé comme si on était seul au monde.
Son conduit essayait de m'écraser la queue mais elle coulissait à merveille dans ce cul profond. Ah il devait se faire baiser souvent le lascar et il aimait ça, fallait voir comment il tendait son petit cul.
Il m'a rappelé mon chéri… Je l'ai fait se redresser contre moi et j'ai saisi sa belle queue pour le branler en lui disant :
-t'es une belle salope mec, je crois que tu aimes te faire branler avec une bonne queue dans ton petit cul!
J'avais parlé normalement et on a ri tous les deux.
-oui c'est vrai, j'adore ça jouir avec une grosse queue en moi!
Oh j'ai pas mis longtemps pour qu'il jouisse! Il était tellement excité, il s'est mordu le poing pour ne pas hurler quand sa sauce a giclé sur le mur des chiottes, de longues giclées abondantes. Son corps s'est raidi, son cul écrasait ma queue heureuse!
Je lui ai fait reprendre la position et le tenant aux hanches je l'ai baisé à grands coups de reins, ça claquait sur son petit cul, il poussait un petit cri à chaque fois et quand j'ai déchargé dans ce bon cul en remplissant la capote, nous avons gueulé ensemble tout le temps de la décharge.
Je suis sorti lentement de lui, il s'est retourné et est venu me lécher la queue en retirant la capote.
Il m'a regardé en souriant, il allait dire quelque chose, je l'ai fait relever et j'ai sucé sa belle queue en demi molle qui a vite repris des forces dans ma bouche.
Sa main me caressait la tête, il faisait de tout petits mouvements du bassin, sa main est venue sur ma joue, l'autre également et dans un sursaut a joui une nouvelle fois sur ma langue!
Il avait l'air surpris que je fasse ça.
Il s'est assis de nouveau sur les chiottes, moi à genoux, il a pris mon visage entre ses mains, m'a embrassé tendrement comme un amoureux.
-t'étais pas obligé dit il.
-mais j'aime ça aussi tu sais, j'aime sucer un mec que je viens de baiser!
-mon mec me le fait rarement dit-il penseur, il me branle, mais c'est tout.
-c'est pour ça que tu t'arrêtes sur l'autoroute ? dis je en riant.
-là j'avais vraiment envie de pisser et je me suis fié à ma queue, quand elle t'a vu elle s'est mise à bander et j'ai eu envie de toi.
-merci toi aussi t'es un beau mec et j'adore les blonds en plus!
-et en plus t'es poilu alors là j'ai fondu, du poil et une grosse queue, fallait que ça rentre dans mon petit cul de salope!
Je rigole.
-j'adore les belles salopes comme toi, mais on en rencontre pas souvent!
-t'as pas de mec ?
-si, il m'attend d'ailleurs.
-le mien aussi, tu vas lui dire à ton mec que tu m'as baisé ?
-oui car il devine tout, il va me renifler et me dire que je sens une odeur qu'il ne connait pas!
-ah ah moi le mien, il va juste me dire en arrivant : si t'arrives si tard c'est que t'as du tomber sur une grosse queue, raconte moi et il va me baiser en même temps que je raconte, me traitant de salope!
-je vois qu'on a chacun du boulot ce soir.
On rigole et on finit par se rhabiller, mais on peine à se séparer. Il me raccompagne jusqu'à ma voiture, me montre la sienne. Il a encore plein de questions, là c'est moi qui met mon doigt sur sa bouche en disant "chut!". Il rigole.
Il n'y a personne sur l'aire d'autoroute, je l'attire à moi, il colle son corps au mien, sa tête dans mon cou, me fait un bisou qui amène des frissons.
-j'aimerais tellement passer une nuit avec toi tout seul!
Je souris, caresse sa joue.
-allez embrasse moi ma belle salope de rencontre que je garde le goût de ta salive encore durant mes deux heures de route.
Il ne s'est pas fait prier et j'avais l'impression d'avoir une pieuvre dans les bras.
-et tu bandes encore mec, baise moi sur ton capot là maintenant!
-mais t'es infernal! dis je en rigolant, allez faut que je rentre, tu sais on se reverra peut-être, je n'habite qu'à deux heures d'ici.
-oui et moi à un quart d'heure!
-et on a un chéri!
Il soupire en se penchant encore sur mon épaule.
-c'est vrai que je l'aime le mien, même s'il me traite de salope tout le temps!
Il me fixe, semble réfléchir :
-mais de toute façon c'est la vérité dit il en riant, je suis la salope des autoroutes avec les voyageurs mystérieux! T'as raison on se reverra peut-être un jour, mais sache que j'ai passé un très bon moment avec toi! Je ne suis pas prêt de t'oublier!
Et avant que je puisse dire quelque chose, il fille dans sa voiture, monte, me fait un petit signe de la main comme s'il m'envoyait un baiser, démarre et file rapidement.
J'en ai fait autant et je suis arrivé avec une heure et demie de retard en disant qu'il y avait eu des embouteillages et essayant de prendre un air décontracté.
Il m'a souri ce voyou en venant dans mes bras m'embrasser, m'a regardé, m'a reniflé :
-oh je crois que tu vas avoir quelque chose à me raconter ce soir au lit mon chéri!
-pourquoi ? dis-je en faisant l'étonné.
-parce que tu sens une autre odeur, et je suis sûr que si je vais renifler là, dit-il en posant sa main sur mon sexe, je vais retrouver cette même odeur!
Je rigole en le serrant dans mes bras :
-si je t'entraîne tu crois que t'es capable de trouver des truffes avec le flaire que tu as ?
La soirée fût excellente.
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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