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Chapitre-51 | Troisième jour de travail et retour.
Le lendemain j'ai pu coincer Florian et lui demander tous les renseignements que voulait maître… J'ai essayé de lui expliquer la différence entre un procès civil et pénal, mais je ne suis pas sûr d'avoir réussi.
En tout cas j'ai su quel jour il avait de libre et où il pourrait rencontrer l'avocat.
J'ai donné tous ces renseignements au patron d'Hafid qui m'a dit qu'il prenait les choses en mains maintenant et rapidement.
Nous avons fini le travail dans les temps, en finissant quand même à plus de 19 heures. Le temps de prendre une douche, de papoter avec les serviteurs. J'ai vu que Julien était au courant de ce que Florian allait faire et Florian m'a dit qu'il viendrait lorsqu'il rencontrerait l'avocat la semaine prochaine, car ils avaient rendez-vous mercredi midi près d'Orléans, que l'avocat viendrait avec quelqu'un de son cabinet.
J'ai su que c'était Hafid qui venait avec son patron.
Tout devrait bien se terminer.
On n'avait pas revu la Comtesse qui restait cloîtrée dans ses appartements. elle n'avait pas digéré la claque que son mari avait reçu!
Je ne sais pas comment elle allait prendre la visite de l'avocat quand il viendrait leur exposer ce qu'il envisageait! J'aurais bien voulu assister à cela.
Le Comte ne nous avait guère quitter durant l'après-midi, je l'ai trouvé sympa ce dernier jour, rieur, avec les mains dans les poches cette fois. C'est lui qui est allé chercher à boire dans l'après-midi, ramené par Julien, faut pas exagérer quand même!
Il était 21 heures quand on est rentré à l'entreprise où le père d'Aurélien nous attendait pour connaître le fin mot de toute l'histoire.
J'ai raconté en détail ce que l'avocat allait faire. Je l'ai vu réfléchir.
-eh bien les gars c'était la dernière année qu'on allait là-bas! Je doute qu'il ait envie de vous revoir le Comte!
On rigole.
-Et toi mon fils, je savais pas que tu n'aimais pas qu'on te mette une claque sur les fesses, moi t'as jamais rien dit!
-mais c'était pas une claque papa! mais une caresse indélicate il m'a même caresser les couilles.. euh les..
-oui fils je sais ce que c'est! Mais j'aurais bien voulu voir sa tête à monsieur le Comte. Il m'a appelé ce soir pour me dire qu'il était content de votre travail! Je l'ai trouvé un peu bizarre mais bon!
-je vais rentrer retrouver mon chéri quand même, car il t'en veux patron !
-moi ? mais pourquoi ?
-de m'avoir fait passer mes nuits dans la même chambre que ton fils!
-quoi ? vous n'avez pas su vous tenir ? chez un Comte! ben c'est du propre!
-j'ai jamais dit ça patron dis je en rigolant, on s'est très bien entendu, je savais déjà que c'était un bon gars maintenant j'en suis certain!
Aurélien était rouge en me regardant.
-eh bien faudra pas rougir comme ça quand tu vas retrouver ton chéri Manuel. Je l'ai vu ce soir, il t'attend, il avait l'air inquiet!
-bah on a tout le week-end pour se faire pardonner dis je.
-ah bon! y'a quelque chose à pardonner ?
Je le regarde étonné :
-ben oui, notre absence, tu pensais à quoi d'autre patron ?
Mistigri m'a fait la tête disons… 10 minutes!
Et quand il a vu qu'Izmir assis sur mes genoux me faisait des bisous, il a réussi à se glisser entre nous pour en profiter.
Je savais bien ce que tu voulais mon petit chéri et je t'ai fais plaisir, laissant notre pauvre Mistigri ronronner tout seul.
Tu te souviens comme t'as fait ton voyou ce soir là ! tu n'avais pas mis de slip sous ton pantalon de survêt, pas de chaussettes, juste un tee-shirt. Tu as été vite nu et j'ai pu t'admirer avant de te déguster. Voir si tu avais changé d'odeur, de goût en commençant par tes pieds, te mordre les orteils pour t'entendre crier en riant, et continuer à te mordre en remontant vers ton sexe, mais tu as mis tes mains avant que j'attrape ta belle queue. J'ai léché tes doigts qui se sont entrouverts, laissant ma langue venir toucher la peau sensible de ton gland et tes mains ont disparues, me laissant tes couilles et ta queue à la dégustation. Lécher, avaler la queue, caresser tes couilles en les serrant dans ma main, caresser ton ventre imberbe mais à la toison fournie qui n'a même pas besoin d'être taillée! J'ai tout léché, j'ai tout avalé, je t'ai sucé comme le malade que je suis et en poussant un long gémissement, tu t'es répandu dans ma bouche. Tes mains sont venue
s me tenir la tête, dès fois que je n'aurais pas voulu tout garder!
Puis c'est toi qui a relevé tes jambes écartées m'ouvrant ce beau petit cul que j'aime, que j'adore même pour m'offrir ton petit trou turc que j'ai terminé d'ouvrir avec ma langue et ma salive. T'entendre gémir, pousser des petits cris en remontant tes petites fesses, te doigter lentement, regarder mon doigt t'investir, entrer en toi, le retirer, mettre de la salive et recommencer avec deux doigts pour te faire augmenter le son de tes petits cris et voir enfin ton petit trou rester ouvert attendant avec gourmandise sa friandise! Mon bâton de sucre d'orge!
Je peux te dire que même avec Aurélien ma queue n'était pas si dure quand j'ai posé mon gland sur ton petit trou, te tenant en appuyant sur tes cuisses, j'ai vu mon gland finir d'ouvrir l'entrée, glisser lentement et se faire envelopper avec chaleur par le sphincter.
Tes yeux se sont rouverts quand mon gland est passé, tu as poussé un grand cri mais tu souriais voyou! Alors on s'est regardé, je me suis penché sur toi et je voyais la progression de ma queue dans tes yeux et aux grimaces que tu faisais!
Quand je t'ai tout offert, nos lèvres se sont touchées et nos langues se sont retrouvées!
Tu t'es rapidement dégagé de ma bouche juste pour me dire : baise moi fort chéri!
J'ai cligné des yeux car ta langue avait déjà rejoint la mienne.
Et je t'ai baisé comme on aime tant!
Tu venais de jouir mon voyou adoré, mais quand je me suis répandu en toi j'ai senti ton jus couler entre nos corps et tu souriais!
Heureux n'est ce pas mon chéri.
On n'avait pas oublié tu sais, tous les petits mots et gestes que l'on ne connait que tous les deux!
Ce soir là on a fait réveillon tellement il était tard quand on a dîné, nus tous les deux sous le regard de Mistigri qui semblait inquiet de nous voir traîner dans la cuisine à cette heure, alors que lui n'arrêtait pas d'aller se coucher, se lever, venir nous voir et retournait se coucher.
-il sort pas le week-end ? j'ai demandé.
-il a traîné toute la semaine, il ne venait que le matin pour son bol de lait chaud et son pain beurré, mais j'ai bien vu qu'il préfère quand c'est toi qui lui donne. Il chipotait le matin.
-mon pauvre chéri, vous avez été malheureux tous les deux!
-ben oui tu nous as manqué quand même!
-mais tu vois ça fait du bien en fait de ne pas se voir quelques jours, le retour n'était pas mal ?
-oui, mais toi t'as baisé tous les soirs si je ne me trompe.
-je dirais qu'on s'est fait plaisir entre anciens complices.
-oui mais tu m'as pas encore raconté!
-alors faut qu'on aille se coucher et je te raconte tout à l'oreille.
-c'est si long que ça ce que vous avez fait ?
Quand je t'ai regardé j'ai vu ton œil coquin, vicieux qui me fixait, et que c'était bien pour m'embêter!
J'ai eu des nouvelles d'Hafid une quinzaine de jours plus tard. Ils avaient rencontré le Comte et la Comtesse. Ils ont nié tout ce que les avocats disaient et au début ils disaient qu'ils voulaient déposer plainte contre ses serviteurs pour vouloir les diffamer ainsi.
-tu ne sais pas Fabrice comme j'aime mon patron quand il veut piéger l'ennemi! Il l'a laissé dire ce qu'il avait à dire, ils étaient tellement énervés qu'ils n'ont pas vu qu'il les enregistrait alors que le petit magnéto était sur la table. Il a réussi à faire dire au Comte qu'avec Julien il s'était passé quelque chose et cet andouille a dit que c'était à cause de sa femme qui a crié dessus en le traitant de pervers et a énuméré tout ce qu'il avait fait avec les gens de la maison. Ils se sont invectivés tous les deux pendant que mon patron souriait. Quand ils ont été calmé il leur a mis le marché en main avec l'enregistrement qu'il avait fait, civil ou pénal ? Discrétion ou publicité ? Alors ils ont choisi le civil. Comme le couple Florian et Floriane veulent partir, mon patron leur a fait remplir de suite une lettre de recommandations qu'ils ont accepté.
-alors il est content ton patron ?
-oui il te remercie d'avoir fait l'intermédiaire, mais c'est un coquin tu sais, en te voyant il a du se dire qu'ils parleront mieux avec quelqu'un du coin qu'avec lui avocat parisien renommé.
-donc ils vont tous toucher des sous ?
-oui, on fait tous les papiers pour les montrer au Comte avant d'aller en citation devant le tribunal civil.
-mais ça se fait rapidement ?
-bien sûr quand toutes les parties sont d'accord, le Juge entérine et vérifie juste que les dédommagements sont réglés!
-eh bien je suis content que tout se termine bien, mais nous on a perdu un client je pense! dis je en rigolant.
-t'as pas assez de travail ?
-oh si et comme ça je découcherais pas de la semaine!
-ah oui il parait que tu partageais la même chambre qu'un ex ? Alors ?
-alors rien voyou d'avocat qui veut tout savoir, occupe toi de ton mari au lieu de t'occuper de la vie sexuelle de pacsés solognots!
Mais toi, mon chéri voyou, c'est toi le coupable d'avoir été raconter ça à Hafid!
Je veux voir ta tête quand tu liras cela!
Mais je suis bien content que tout soit terminé et qu'on ne remette jamais les pieds chez ce couple infernal.
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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