Disparitions

Chapitre 1

18ème arrondissement de Paris, un soir très tard, Mehdi A. jeune beur rentre de son travail…il est content d’avoir trouvé ce travail saisonnier qui va lui permettre de mettre un peu d’argent de côté pour ses études et aider son frère Karim A. à régler le loyer… ils habitent ensemble depuis 6 mois environ, cela se passe bien, les liens fraternels se sont encore plus resserrés depuis qu’ils ne vivent que tous les deux… il se souvient de la première fois où il a surpris son frère en train de se branler… et cela c’est fait naturellement… ils se branlent tous les deux ensemble le soir avant de dormir… il aime voir le jus gicler de la grosse queue de son frère… cela en général accélère la venue de son sperme… il est arrivé que son frère prenne sa main pour se masturber… et il ne veut pas l’avouer mais cela l’excite au plus haut point… il sait que son frère va arriver à ses fins… et qu’ils finiront par faire l’amour ensemble… pour le plaisir…

Mehdi est plongé dans ses pensées et souvenirs, il n’entend pas des pas rapides qui s’approchent lorsqu’il veut entrer dans son immeuble.. il sent une présence.. se retourne mais reçoit un coup sur la tête qui le fait chanceler… en même temps sa tête est recouverte de quelques chose…une cagoule, .. et il perd connaissance sans tomber à terre, retenu par des bras musclés et entraîné dans les ruelles sombres de la rue Myrrha….la nuit avale l’ombre d’un homme tenant dans ses bras un mec…

Fabien F. capitaine au commissariat du 18ème arrondissement et Jean Louis G. Lieutenant, son adjoint sont de permanence… quand Fabien est avisé par le planton qu’un jeune homme du nom de Karim A. le demande de toute urgence..

Fabien se rappelle de ce jeune.. un ex amant… ils sont restés en bons termes et de temps en temps Karim l’appelle pour tirer un coup, se vider les burnes comme il le dit et fait si bien…

Fabien le fait venir dans son bureau…

- salut dit Karim j’ai besoin de toi, c’est important, et c’est grave…

Karim est nerveux, il ne tient pas en place, il a des larmes dans les yeux qui ne demandent qu’à sortir..

- assis toi Karim, calme toi et raconte moi ce qui se passe! tu sais très bien que je vais t’aider… mais il faut que tu me racontes tout…

Karim soupire un grand coup, s’éclaircit la gorge…

- voilà mon petit frère n’est pas rentré hier soir..

- il a quel âge ton petit frère ?

- il vient d’avoir 18 ans, il a trouvé du travail pour les vacances et il rentre le soir vers 23 heures… ne le voyant pas rentrer hier soir.. oui on vit tous les deux… je ne me suis pas inquiété.. je me suis endormi… mais ce matin il n’était pas là… aucun message.. j’ai essayé de l’appeler mais je tombe directement sur sa messagerie… j’ai laissé des messages.. mais rien… j’ai téléphoné à son travail.. il est bien parti hier soir… et il leur a dit qu’il rentrait à la maison… j’ai peur Fabien qu’il lui soit arrivé quelque chose…

- il a une copine ton frère ?

- pas à ma connaissance..

- tu sais il est jeune, il a pu sortir avec des amis et s’endormir sur place…

- non il m’aurait laissé un message.. tu sais on s’aime beaucoup et on a l’habitude de tout se raconter… alors je suis persuader qu’il lui est arrivé quelque chose…

- bon arrête de stresser comme ça… je vais faire faire des recherches.. on va commencé par les hôpitaux… en tout cas je n’ai pas vu passer de rapport d’accident au commissariat…

Fabien donnât des ordres pour que tous les hôpitaux de l’arrondissement soient appelés.. sans résultat…

- tu as regardé dans ses affaires ? demande Fabien, il y a peut être quelque chose dont il ne t’a pas parlé…

- non je n’ai pas regardé.. mais tu sais il n’y a pas grand chose..

- si tu veux je vais venir avec toi pour regarder

- oui je veux bien.. tu sais je ne vis plus depuis ce matin.. je n’ai pas avisé les parents…

- on va attendre un peu dit Fabien allez viens on va chez toi.

Ils n’ont pas mis longtemps pour arriver au domicile de Karim… il habite dans les chambres de bonnes au 6ème étage… dans l’ascenseur… les larmes de Karim sont sorties et il est venu dans les bras de Fabien, qui l’a serré bien fort contre lui…

Ils ont fouillé dans les affaires de Mehdi… rien d’intéressant si ce n’est une revue porno avec que des mecs…

- il est gay ton frère ?

Karim rougit et baisse la tête…

- je crois qu’il est bi en fait… mais je ne lui connais aucune copine ou copain…

- comment tu sais ça alors ? demande Fabien

- ben.. euh… disons.. tu vois dans quelles conditions on vit… l’intimité c’est pas facile.. alors on se branle ensemble… et j’ai vu qu’il aimait ça de le faire avec moi…

- mais alors il a peut être trouvé un mec et il n’a pas voulu te faire de peine…

- je ne sais pas et Karim vient s’asseoir sur le lit près de Fabien, et j’ai peur… j’ai peur qu’il lui soit arrivé quelque chose..

- vous baisez tous les deux ?

- non dit Karim… à toi je peux le dire.. je voudrais bien mais je crois qu’il n’est pas prêt encore…

Karim se met à pleurer à chaudes larmes, Fabien le prend dans ses bras, sans un mot… la tête de Karim vient se loger sur son épaule..

- ça va aller dit Fabien

- baise moi dit Karim, fait moi mal que j’oublie ce moment…et que je ne me souvienne que de la première fois où tu m’as baisé…

Il se relève d’un bond, se fout à poils complètement et devant la tête éberluée de Fabien, vient se mettre à côté de lui, à quatre pattes, son petit cul bien redressé, les fesses écartées…

- viens je te dis.. viens depuis le temps que tu veux me sauter.. alors maintenant fait le dit Karim

Fabien se déshabille à son tour, et nu revient vers Karim…

- puisque tu veux faire la pute… suce moi bien à fond avant que je prenne ton petit cul de salope…

Le sourire est revenu sur ses lèvres quand il présente sa bouche devant la queue de Fabien, il pose ses lèvres sur le gland déjà décalotté, suce le gland, l’aspire et enroule sa langue dessus avant de descendre sur la hampe et la prendre toute entière dans sa bouche et que son nez soit dans les poils du pubis.. il fait de longs vas et viens sur cette belle queue qu’il a déjà sucé… mais qu’il a toujours refusé de se prendre dans le cul… il sent la main de Fabien lui caresser la tête, le cou, descendre le long de la colonne vertébrale, caresser ses belles fesses dures et imberbes… il sent un doigt se poser sur son anus, ce doigt qui gratte l’anus lisse et qui rentre dans son trou en tournant… lui laissant échapper un soupir, un gémissement de contentement… il suce la queue de Fabien encore plus, en mettant énormément de salive… car elle est grosse cette queue… il faut aider.. il sent que deux doigts, puis trois doigts lui taraudent le cul en tournant… son cul s’ouvre bien maintenant…

il se retourne et présente son cul au niveau de la queue de Fabien qui le prend par les hanches, pose son gland sur l’entrée de son anus et l’attire à lui… la queue bien raide de Fabien bloque à l’entrée… le petit cul se referme… Fabien laisse tomber de la salive sur son gland et recommence à tirer Karim par les hanches.. le gland entre lentement.. Karim respire fort.. il a collé sa tête dans les draps et son cul se redresse encore plus laissant glisser la queue de Fabien dans son intérieur… Karim se met à gémir doucement puis à chaque coups de reins, ses gémissements se font de plus en plus forts… il a passé sa main sous lui, prend sa queue et se branle à la cadence des vas et viens de Fabien… son pubis vient maintenant se coller contre ses fesses et ses grosses couilles frappent celles de Karim… ils sont à l’unisson.. le mouvement parfait d’enculage en profondeur.. sous les oui.. oui.. vas y.. de Karim…

Fabien essaie de faire durer son plaisir et celui de Karim, mais il sent que la sève monte dans sa tige… et au moment ou Karim lâche son sperme sur le lit et que son cul se resserre sur sa bite.. il inonde l’intérieur de Karim en plusieurs jets chauds et gluants… pour s’effondrer sur son dos… sa queue sort lentement du cul de Karim…il s’allonge à côté de lui… vient dans ses bras… l’embrasse du bout des lèvres…

- merci dit-il j’en avais tellement envie de le faire avec toi… les autres sont des bourrins… ils ne font pas attention… toi oui..

Ils ont repris leurs esprits, se sont rhabillés…

- je fais quoi maintenant demande Karim

- si tu as des nouvelles surtout tu me préviens tout de suite… et s’il rentre.. tu ne joues pas le frère tyrannique et jaloux.. mais, certes tu peux l’engueuler mais surtout tu lui fais comprendre que tu étais inquiet… et si moi j’ai des nouvelles tu es le premier que j’appelle…

Karim a embrassé tendrement Fabien en lui donnant sa langue à sucer….

Fabien est rentré à son bureau…

Lorsque Mehdi a commencé à revenir à lui, un mal de tête lui vrillait le cerveau..il a mis un peu de temps à se rendre compte qu’il avait quelque chose sur les yeux… il était dans le noir le plus complet, ses bras étaient en l’air attachés à un anneau qu’il pouvait sentir avec ses doigts… ses pieds nus attachés au sol, les jambes bien écartées… mais c’était dans sa bouche qu’il ne comprenait pas.. sa bouche restait ouverte… un engin lui tenait la bouche ouverte… il a essayé de crier… mais il ne pouvait dire aucune parole, qu’émettre des sons inaudibles…il s’est démené, tiré bras et jambes dans tous les sens.. mais rien n’y a fait… et c’est là qu’il a pris connaissance qu’en fait il était nu complètement… et il s’est souvenu.. il rentrait chez lui, le coup sur la tête… son évanouissement.. son souvenir d’être porté dans les bras de quelqu’un… sa tête qui heurte quelque chose.. son KO… et maintenant son réveil..

Mais qui lui voulait quoi!! il devait être tombé sur un sadique… Mehdi se mis à penser à la mort, c’est sûr qu’il allait mourir… les larmes et l’émotion ont commencé à l’envahir… quand il lui a semblé entendre du bruit.. comme une porte qui s’ouvre… Mehdi a retenu son souffle.. et écouté… oui il y avait quelqu’un dans la pièce… qui marchait lentement, qui s’approchait de lui… on dirait qu’il faisait le tour… Mehdi sentait un déplacement d’air sur son corps…

Quand soudain une main se pose sur ses fesses, il donne un coup de reins pour y échapper…

Un rire malsain se fait entendre… une forme vient se coller contre lui… il sent un corps froid, lisse… oui c’est ça! comme une combinaison d’homme grenouille… qui vient se coller contre lui…

- tu es à moi Mehdi… tu vas devenir mon esclave sexuel… je vais te dresser à faire tout ce que je demande et envie… tu n’auras qu’un droit c’est te taire et obéir…

Mehdi ne peut rien dire…

- je t’ai surveillé ces temps ci et tu me plais, tu me fais bander… surtout quand je voyais ton petit cul moulé dans ton survêt… je suis sûr que tu dois être une belle salope… et que tu finiras en pute!

Les larmes coulent sur le visage de Mehdi…

Une main revient sur ses fesses… une main gantée lui semble-t-il…elle passe dans sa raie… un doigt se pose sur son anus vierge… Mehdi serre des fesses.. un coup de poing sur le ventre le fait se plier en avant, et le doigt ganté pénètre sans ménagement son anus… il ne peut même pas gueuler sous la douleur… il sent le doigt tourner, vriller et s’enfoncer dans son petit cul… les larmes coulent de plus belles… puis c’est le tour de deux doigts qui glissent bien dans son cul… la douleur est atroce…l’individu le sodomise longuement avec deux puis trois doigts… puis Mehdi entend un bruit comme une fermeture éclair… il sent une tige frapper ses fesses… c’est chaud, ça parait gros…. il comprend vite Mehdi… le mec va l’enculer… la queue vient entre les fesses de Mehdi; juste devant son anus et sans rien dire, sans le prévenir… d’un coup de reins sec et puissant la queue du tortionnaire pénètre le petit cul vierge de Mehdi qui pousse un hurlement étouffé par ce qui maintient la bouche ouverte… les larmes reviennent… pendant que la queue s’enfonce au plus profond… il est saisi par les hanches et les vas et viens se font à cadence rapide… son cul lui brûle.. l’intérieur est irrité…et la bite n’en fini pas de coulisser inexorablement en lui avec l’impression d’aller encore plus loin à chaque fois…et cela dure, dure une éternité pour Mehdi… quand le mec se retire d’un seul coup… laissant le petit trou béant… Mehdi entend un bruit de poulies… ses bras descendent..

- à genoux ma belle salope

Mehdi obéi bien malgré lui…

Il se retrouve à genoux, les yeux bandés, la bouche ouverte… et il entend un bruit qu’il connait bien… le bruit de quelqu’un qui se branle…son cul le brûle encore… mais ce bruit familier de branle réveille sa queue .. il l’a sent monter le long de son ventre… pendant que le mec continue à se branler… et pour recevoir sur ses lèvres et dans sa bouche, sur sa langue tous les jets de spermes de son violeur.. sa queue vient dans sa bouche et il essuie son gland sur sa langue…

- avales tout salope! c’est des vitamines t’en auras besoin!

Mehdi entend de nouveau le bruit de poulie… et ses bras remontent… et il reprend sa position initiale.. la queue bien raide!

- mais il bande la pute.. tu vois je savais bien que tu étais une salope!!! j’espère qu’elle est bonne ta queue…

Mehdi sent sa queue entourée de la langue du mec, il se fait sucer, lécher, aspiré… et finit par cracher dans sa bouche…

Le mec prend son menton en main, l’attire à lui… et le mec crache dans sa bouche son sperme tout juste sorti de sa queue…

Mehdi est anéanti… le silence est revenu.. il ne sait pas si le mec est toujours là.. plus de bruit… puis un déplacement derrière lui.. une main passe dans sa tête et enlève le bandeau sur ses yeux…. il ouvre et ferme les yeux.. mais il est dans le noir… un mouvement se fait sur sa droite… il distingue une ombre noire se déplacer… une porte s’ouvre laissant passer un peu de lueur… et il aperçoit le mec…. un mec en latex complet… avec une tête de chien sur la tête… la porte se referme.. la lumière arrive éblouissant Mehdi… il regarde autour de lui… et se voit dans un miroir… attaché, la queue pendante… il regarde autour de lui… une grande pièce avec deux autres installations comme la sienne…

La peur l’envahie… et il perd connaissance…

22h30, dans une impasse du 18ème arrondissement Jonas B. se dépêche de rentrer chez lui retrouver son copain et amour William E…. il vient de faire son sport en salle, il a pris sa douche, William doit l’attendre pour encore une fois, une bonne partie de baise… ça y est il est arrivé… il va pour mettre la clé dans la porte de son immeuble quand il reçoit un coup sur la tête.. assommé direct… il chute à terre… les clés s’échappant de sa main… une cagoule est mise sur sa tête… soulevé dans les bras d’un inconnu qui tourne dans l’impasse d’après et disparaît…