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Chapitre 6 | Le récit de Toni 3/3
Dans l'ascenseur, l'homme se colle d'autorité contre mon dos pour me toucher, me pétrir, me glisser ses doigts dans la bouche. Je sens sa queue contre mon cul, il bande.
Arrivé sur le palier, il retrouve sa distance bien élevée : " quitte tes chaussures " puis il me conduit à une salle d'eau et me donne des consignes d'hygiène : douche au savon et brossage des dents obligatoires. Serait-il un de ces maniaques de la propreté ?
Alors que je termine mes ablutions, il revient et là, il m'attrape sans plus de manières, m'embrasse et arrache la serviette dont, incertain, j'avais protégé ma pudeur ! Humm, un vrai baiser à quoi je réponds comme un signal. Puis il me colle au mur et, avec une lueur complice dans les yeux, me donne l'ordre de rester nu et de l'aider à se déshabiller avant de reprendre le baiser sur le mode vorace, grosse langue, léchage et crachat. Moi j'ai entrepris de déboutonner sa chemise et d'y glisser mes mains en découvrant sa fourrure où je noie mes doigts à la recherche de ses tétons. Sa chemise ôtée, il me dit " ferme les yeux " et, d'une main, guide mon visage dans la broussaille de son torse jusqu'à son aisselle. J'aime cette caresse légère dans ses poils et ce mec sent bon, je veux dire, j'aime son odeur naturelle, même celle de son aisselle humide. Mon visage descend et je suis à genoux devant lui, débouclant sa ceinture. Dessous, il porte un slip à fente horizontale et sa queue en dépasse comme un cierge où perle une goutte translucide, je la lèche et goute ses premières humeurs puis en tirant sur le tissu, toute la hampe en jaillit que j'aspire en bouche. Il me relève, il sourit, m'embrasse goulument. J'en profite pour baisser son slip et dégager cette belle queue bien droite avec son gros gland ourlé bien décalotté et le méat qui suinte.
Mais à mon grand désarroi, il me repousse dans le fond de la cabine et m'éclabousse d'un jet d'urine. Puisqu'il le veut, je tombe à genoux et il m'arrose le torse pour ensuite m'offrir son gland au gout salé à sucer. Il retrouve illico sa forme triomphale et je commence à le pomper.
Mais encore une fois, il se retire, me relève et m'ordonne de le savonner sous la douche chaude et ajoute " partout " avec cet air gourmand. Ça, je ne le fais pas répéter : mes mains, mes doigts se perdent sur ses muscles, dans ses poils et quand il commence à être couvert de mousse, il entreprend de me savonner également. On s'embrasse comme si nos bouches étaient aimantées, nos langues expertes à se nouer. Nos peaux se frottent, glissent dans la mousse et ses mains courent maintenant sur moi, sa queue coulisse entre mes cuisses que je serre et, enfin, ENFIN, je le sens qui caresse mes fesses et glisse dans ma raie, Son doigt est en moi et une onde me parcourt presqu'immédiatement. Ce type me fait un effet étrange, il me déconcerte et brise toutes mes préventions, il me fait fondre et j'ai envie de lui comme d'une évidence. Son doigt m'a mis en transe et quand il me retourne après avoir enfilé une capote, je l'accueille en moi doucement, sans aucune retenue : je suis déjà ouvert et profond.
Il commence ses va et vient en me dévorant l'oreille sous l'eau chaude. Je suis instantanément emporté : il est en moi et me lime doucement, ses bras m'enveloppent et c'est merveilleux. Toute ma conscience est centrée sur ses mouvements et je me sens monter, je perds la maitrise, je râle, je fonds. Un frisson me secoue à nouveau et je jouis en longs jets alors qu'il s'enfonce en moi. Pendant cet instant où je perds pied, il me garde dans ses bras et je sens ses mains qui me caressent avec douceur. Il me fait sucer mon foutre sur ses doigts, je me colle à sa peau velue et recule pour garder sa queue bien plantée en moi.
Mais il se retire et je le regarde surpris. L'air fâché, il me demande si j'ai aimé baiser tout seul, sans partager, me lance une serviette pour nous sécher. Avisant sa queue en pleine forme, je l'entoure de mes bras et tente de reprendre nos ébats mais il se dérobe. Il me fait enfiler un baudrier qu'il m'ajuste ainsi que des bracelets aux poignets et aux chevilles, me place à plat ventre sur le lit, cuisses remontées sous moi et me ligote fermement en levrette. Ses mains parcourent fermement mon corps et je vois qu'il bande de nouveau. Il s'accroupit face à moi sur le lit, saisit sa queue et m'en caresse le visage en laissant des trainées de liqueur et me tapote sans laisser ma bouche s'en emparer puis se relève pour se consacrer à mon cul : il le pétrit à pleines mains, écarte mes fesses, les réchauffe de quelques petites tapes, reprend son massage. Je me cambre et soulève un peu mon bassin, Il saisit mes couilles pendantes et les serre. Je bande à m'en faire mal.
Mais il me dit que pour être à son service, je dois accepter quelques petites modifications. Je ne sais pas ce qu'il attend. Je veux juste qu'il me baise, vite ! Il me claque le cul et redemande mon accord, tu parles ! " Oui, M'sieur ! " Oui, tout ce qu'il voudra, j'ai envie de le sentir à nouveau en moi mais c'est un plug qu'il m'introduit en me demandant de le serrer pour me muscler le fion pendant qu'il me rase les couilles. Il les sèche, les fait rouler, les gobe, me lèche la raie, fait vibrer mon plug, me masse le cul de ses mains fermes. Puis, après une dernière petite claque sèche, il enfile un peignoir et m'abandonne sans un mot, ligoté nu sur ce lit.
Amical72
amical072@gmail.com
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