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Chapitre-4 | Explications.
Suivi d'Enzo et de Flavien, monsieur le Comte passe par la cuisine pour récupérer du café, mais Arcadie arrive, vient se coller à lui :
-va t'installer avec les nouveaux amis monsieur le Comte, je vous apporte les cafés, dit Arcadie.
Hubert caresse la joue d'Arcadie et file vers la piscine où ils s'installent sur un transat.
Arcadie leur apporte le café, il regarde Hubert tendrement :
-tout va bien monsieur le Comte ?
-oui Arcadie, tu sais j'ai comme un poids qui a disparu maintenant et je peux vous dire que vous avez tous été formidables, alors amusez vous avec les tortionnaires, ne succombez pas à leurs demandes et humiliez les le plus que vous pouvez. Ils risquent de se rebiffer, mais j'ai vu que notre ami Gueule d'Ange les intimidait beaucoup, alors qu'il n'hésite pas à en profiter. Contrairement à eux je ne veux pas qu'ils soient battus, mais pour le reste vous faites comme vous en avez envie!
-Samy avait tout plein d'idées ce matin dit Arcadie en riant avec les objets ramenés du sexe shop! Mais tu ne viens pas nous rejoindre, finir ta vengeance ?
-non Arcadie, ma vengeance est de vous les laisser à disposition, vous les jeunes mecs du monde entier et de ne pas intervenir pour vous dire d'arrêter. Je vais parler avec ces deux jeunes hommes ici présent, et essayer de leurs redonner un beau sourire.
Arcadie les regarde et leur sourit, les yeux coquins :
-sûr que j'aimerais mieux passer l'après-midi avec eux plutôt qu'avec la noblesse dégénérée! dit Arcadie en partant.
Hubert voit bien qu'ils ne sont pas si tranquille que ça les deux jeunes, car ils doivent se demander où ils sont tombés.
-Enzo, Flavien avant de vous poser des questions, je vais finir de vous raconter mon histoire, ma vie après le décès d'Alexandre ce garçon que je chérissais de tout mon cœur. J'ai mis longtemps à m'en remettre, je n'ai jamais accepté les résultats de l'enquête mais je n'ai rien pu faire de plus. Alors je me suis mis à voyager seul, multipliant les rencontres essayant de l'oublier, ce ne fût pas facile, mais c'est au Sénégal qu'un garçon a bousculé ma vie, Arcadie que vous venez de voir. C'était il y a 10 ans maintenant, il était déjà beau et baratineur, hâbleur comme j'aime. Il m'a conquis lors de mon séjour et je lui ai demandé s'il voulait bien venir avec moi en France. Il a accepté bien sûr et je me suis occupé de lui. Puis nous avons fait la connaissance de Samy le rebeu tunisien, vous verrez le phénomène que c'est, mais c'est un garçon tendre, charmant, fidèle mais qui dit tout ce qu'il pense! Il est venu vivre avec nous, puis ce fût Seong-Jin qui accepté également. On était bien tous les quatre, on vivait à Paris, dans un bel appartement face à la Tour Eiffel, tout le temps nus entièrement et on baisait comme on en avait envie. J'ai pensé me retirer à la campagne alors j'ai cherché un manoir et j'ai trouvé celui-ci, mais vu la grandeur il fallait l'occuper et l'entretenir, donc il me fallait du personnel et c'est ainsi que notre famille s'est agrandie. Nous vivons ici maintenant depuis deux semaines et j'avoue que, lorsque j'ai trouvé ce site, j'ai repensé à ma vengeance avec le Baron et le Vicomte, c'était le lieu idéal pour ça. Quand je les ai appelé, ils étaient surpris c'est sûr, mais j'ai fait le faux cul et ils m'ont raconté leur vie, leur soi-disant évolution, qu'ils avaient chacun un esclave. Je les ai invité à venir, mais seulement s'ils venaient avec leurs esclaves. Alors trop contents ils ont accepté et vous voilà maintenant ici avec moi!
Ils le regardent, le sourire est sur leurs lèvres. Ils se rapproche de lui, un de chaque côté et comme la jeunesse est bien faite, elle bande sans se cacher.
-quelle belle histoire dit Enzo, mais tellement triste au début, mais monsieur le Comte je suis content que vous soyez arrivé à vous venger. Ils le méritent nos tortionnaires avec tout le mal qu'ils ont fait, car il n'y a pas que nous depuis votre ami Alexandre. D'après les conversations que nous avons pu entendre en 10 ans il y a eu énormément de jeunes mecs qui sont passés dans leurs pattes.
-oui dit Flavien, nous sommes les derniers et je ne sais pas, comme Enzo comment il faudra vous remercier de ce que vous avez fait aujourd'hui pour nous. Car si j'ai bien compris, si on veut, on peut rester ici avec vous tous ?
-oui Flavien, je l'ai décidé, mais il faudra également plaire à l'ensemble de mes pensionnaires également.
-ils sont tellement beaux tous! dit Enzo l'air rêveur.
-si vous me racontiez d'où vous sortez tous les deux ? demande Hubert.
Ils se regardent, et c'est Enzo qui prend la parole. Hubert sent l'épaule de Flavien se coller à la sienne.
-eh bien monsieur le Comte, nous avons à peu près la même histoire tous les deux. On s'est fait virer de chez nos parents à 18 ans car on est pédé. C'est dur de se retrouver à la rue dans la capitale avec un sac à dos que je me suis fait voler deux jours après. J'ai fait la manche, j'ai vivoté quelques jours et un soit disant bon samaritain m'a proposé de m'héberger… dans son lit. Vous vous doutez de ce que j'ai été obligé de faire pour pouvoir dormir dans un lit, mais bon ce n'était pas la fin du monde et le premier mec était sympa. Il m'a viré au bout d'une semaine car il avait des vues sur un autre mec. Je me suis donc retrouvé à la rue et j'ai entendu parler de la Porte Dauphine où je suis allé faire la pute. Il y avait pas mal de clients et cela me permettait de repartir avec un peu de fric, avoir pas trop mal dormi et pris une douche surtout. Et j'ai rencontré Flavien qui faisait la même chose que moi, ayant lui aussi été viré de chez lui. On s'est tout de suite bien entendu, on a baisé ensemble, sous les porches d'immeubles, en rêvant de le faire dans un lit. Il n'y avait pas grand client qui voulait prendre deux tapins ensemble jusqu'au jour où l'on a vu arriver vos ex amis, le Baron et le Vicomte.
Enzo finit sa tasse de café et c'est Flavien qui reprend le récit.
-on n'avait jamais vu des mecs si sympas. Ils nous emmené chez eux, on a fait une partouze tous les quatre. Ils nous ont demandé de baiser ensemble, de se faire baiser par eux et vu le fric qu'ils avaient donné, on a tout accepté bien sûr. On est resté deux jours, ils faisaient les amoureux avec nous. On était gâté comme si c'était notre anniversaire et ils nous demandé si on ne voulait pas rester avec eux le temps qu'on voudrait. On a eu juste à se regarder et on a accepté, Enzo est allé chez le Baron et moi je suis resté chez le Vicomte.
-et à partir de ce moment tout a changé.. Nos vêtements ont été confisqués, on a eu le collier autour du cou et une longue laisse, dit Enzo.
-enlevez les les garçons, vous n'avez plus besoin de ça ici maintenant.
Ils sont encore plus beaux sans ce collier pense Hubert, en les voyant se frotter le cou en souriant et voit dans leurs regards qu'ils deviennent coquins les deux minets en le regardant.
Monsieur le Comte passe ses bras sur les épaules d'Enzo et Flavien, les colle à lui et dépose un baiser sur leurs fronts.
-je ne vais pas vous obliger à raconter tout ce qui vous est arrivé, je me doute de ce qui a pu se passer avec mes ex amis. Si vous désirez vraiment rester avec nous, on fera tout pour vous faire oublier ce mauvais passage dans votre vie et croyez moi avec toute la bande loustics qu'il y a ici, on ne s'ennuie jamais.
-qu'est ce qu'il faut faire pour être définitivement accepté monsieur le Comte ? demande Flavien en posant sa tête sur son épaule.
-rien de particulier vraiment, être vous même, montrer que vous avez envie de vivre une autre vie faite de plaisirs surtout et que vous vous foutez de tout le reste.
-par exemple si deux tapins draguent un Comte, monsieur le Comte ne va pas s'offusquer ?
Hubert rigole en les attirant contre lui qui se laisse tomber sur le dos.
Aussitôt ils se tournent chacun d'un côté et il a deux belles bouches qui viennent lui faire des bisous. Les corps se collent sur le sien, il sent les deux belles queues libérées se frotter à lui. Ses bras sont bloqués par les corps et il ne peut que caresser les dos chauds et lisses sans pouvoir atteindre les deux paires de fesses.
La main d'Enzo lui tourne la tête et vient poser ses lèvres sur les siennes, tendrement en fermant les yeux, sa langue entre doucement chercher la sienne et elles font connaissance.
Flavien fait des bisous dans le cou, descend sur les tétons qu'il aspire, suce, tète pendant que sa main caresse comme un effleurement sa belle queue. Sa bouche descend sur le torse, lèche les poils pubiens, il respire la toison, soulève la queue, l'observe et donne des coups de langue avant de l'avaler le plus loin qu'il peut.
Flavien se fait la réflexion qu'elle est bien meilleure et plus grosse que celle de son Vicomte ou celle du Baron qui ne bande pas toujours au moment où il faut.
Ses mains caresses les couilles, les enveloppant dans sa main douce et il pipe avec ardeur et plaisir la bonne queue de leur sauveur.
Il sent la main de Monsieur le Comte descendre sur son dos, ses reins, caresser ses petites fesses dures qu'il tend et le doigt passe dans la raie, délicatement touche l'anus, le tâte doucement pour constater que l'anus est pratiquement ouvert et que la muqueuse sort facilement. Le doigt n'insiste pas et la main revient caresser son corps.
Enzo a une langue agile et fouineuse, il caresse presque les amygdales de monsieur le Comte. Ils échangent leurs salives, ouvrent les yeux ensemble, se sourient et recommencent. Enzo tourne son corps car il sent la main descendre sur ses fesses, alors il les offre lui aussi et le doigt va en exploration pour constater la même chose, l'anus s'ouvre très facilement, trop facilement.
Ils ont dû en subir ces deux minets! pense Hubert.
Il sent les mouvements sur sa queue s'accélérer, ses couilles se faire serrer plus durement et il jouit comme un bienheureux dans cette nouvelle bouche.
Enzo se précipite pour aider son pote à lécher la belle queue et faire connaissance avec elle.
Ils reviennent dans ses bras et l'embrassent tous les deux ensemble.
-et moi j'ai droit à quoi ? demande Hubert en souriant.
-tu veux nous baiser ? demande Enzo.
-non mes amis, pas aujourd'hui et pas avant un moment, car je pense que vos beaux petits culs ont besoin de repos pour l'instant, qu'ils reprennent leurs positions, leurs tailles! Ils vous mettaient des plugs ou des godes ? demande Hubert.
-des plugs dit Enzo et de plus en plus gros, car ils voulaient nous baiser tous les deux ensemble la semaine prochaine.
Hubert les colle à lui et ils s'embrassent tendrement.
-moi j'ai envie de vous sucer tous les deux ensemble pendant que vous vous faites des bisous et tout ce que voulez! Car je pense que vous vous aimez beaucoup tous les deux non ?
Ils rougissent tous les deux en hochant la tête pour dire oui.
-eh bien ça ne fera qu'un couple de plus! dit Hubert en riant.
Ils voulaient bien s'embrasser et faire autre chose, mais ce qu'ils voulaient aussi c'est s'occuper de la belle queue de monsieur le Comte. Alors ils sont restés allongés, en 69 et ont offert leurs queues à Hubert qui bien sûr était ravi d'avoir ces deux belles bites à sa disposition.
Elles étaient pratiquement pareilles, même tailles, même grosseurs mais pas la même odeur. Elles coulaient toutes les deux et la langue de monsieur le Comte avait du travail.
Quand il sentait une queue raidir plus, il en changeait, il a pu faire durer son plaisir d'avoir deux bites à disposition comme ça.
Mais ils avaient envie de jouir, envie de montrer à ce beau Comte comment ils l'appréciaient, comment ils étaient contents d'être tombé sur lui et ses amis. Alors ils ont joui ensemble de longues giclées onctueuses, crémeuses qui se répandaient sur le visage et le cou d'Hubert, submergé! Cela l'a fait jouir une seconde fois et dès que sa queue fût rendue neuve, il a vu arriver les deux têtes riantes au dessus de lui :
-c'est pas bien monsieur le Comte d'en mettre partout comme ça, après avec Enzo on est obligé de nettoyer!
Ils riaient de bon cœur tous les deux en se jetant langues en avant sur son visage et son cou, récupérant tout leur jus, l'avalant ou venant lui donner la lampée.
Puis les bisous ont recommencé.
Moi je les adopte de suite pense Hubert en souriant.
Ils sursautent tous les trois quand ils entendent deux longs cris provenir du manoir. Ils se regardent et c'est Enzo qui repousse monsieur le Comte sur le transat :
-on s'en fout monsieur le Comte! t'as dit que tu ne t'en occupais pas!
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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