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Agriculteur | S16 Initiations

4 | Alpha dominant – Le récit de Joris

A mon retour au Capharnaüm après mon escapade au Grand Hôtel, je découvre que la boite s’est vidée de la majeure partie de son public. Une créature à la chevelure brune moulée dans une robe fourreau rouge, bien trop parfaite pour ne pas être une imposture, se déhanche langoureusement autour du mat de pole-dance mais ce n’est pas ce que je suis venu chercher.

Chacun ses goûts.

Mon regard balaie la salle et j’aperçois celui que je cherchais. Lui.

Pour assister confortablement à ce qui se passe autour du mat derrière lui tout en restant assis, il s’est vrillé sur la banquette, torse de biais face au dossier pour pouvoir s’y accouder des deux et ne perdre aucune des ondulations lascives du travelo métissé, monté sur de hauts talons cramoisis.

Je m’approche et me plante devant le siège, dominant alors son large dos et ses fesses rondes, moulées dans son jean. Alerté, il tourne subitement la tête, m’aperçoit le surplombant ; il se rassoit, un sourire narquois vient assouplir la ligne de ses lèvres, sa mandibule se déporte légèrement sur le côté et nous restons quelques secondes à nous jauger ainsi.

J’avais bien vu, c’est plutôt un beau mec, châtain à cheveux courts, belle gueule carrée comme ses épaules, son col ouvert me laissant espérer a minima un léger duvet sur son torse ; un de ces costauds en début de trentaine dont chaque pore transpire les hormones mâles à plein nez.

Lentement, il se redresse sur son assise ; s’inclinant un soupçon sur le côté, son bras, en venant se poser en anse sur le dossier, dessine un creux, l’évidence d’un vide qui m’invite.

Faisant mine de ne pas comprendre, je ne bouge pas, j’attends.

De sa main libre, il tapote alors le skai du siège, son sourire s’élargit, son regard de miel me convie ouvertement ; cette fois, c’est clair, il demande !

Il doit penser que la victoire lui est déjà acquise. Ben voyons, ce serait si facile !

Je ne lui adresse alors qu’un sourire poli. Il peut rêver ! Je me retourne et m’assois en me carrant, gigotant comme un animal creuse sa litière pour gagner ses aises, investir son propre espace, à sa mesure. Mais aussi pour que lui se contienne, pour le garder encore à distance.

- « Salope. »

Sa tête s’est précipitée dans le creux de mon épaule et il hurle à mon oreille, son haleine est marquée par l’alcool. Ma main qui est de son côté va et vient inlassablement sur ma cuisse, arrondissant mon épaule en rempart et tendant mon bras pour interdire sans faiblir tout accès à la sienne qui tente de s’infiltrer.

Vindicatif, il tente une percée toute en puissance.

- « Pourquoi tu m’as claqué le nez tout à l’heure, hein ? »

Je reste assis, à portée mais manifestement indifférent à son intimidation dans le rôle du patriarche froissé, et, pendant de longues minutes, mon attitude impavide ne varie pas d’un iota, comme une fenêtre incrustée dans l’écran demandant obstinément un code d’accès pour le paradis, un code qui, décidément, lui échappe encore. Il remonte à l’assaut.

- « Allez, laisse-moi le baiser, ton beau cul, tu vas voir comme je vais te faire grimper aux cintres. »

Pour matérialiser l’agacement qui fronce un instant mon front, j’ai simplement fait vivement pivoter ma tête vers lui, aller-retour avec l’œil noir tueur, l’obligeant à battre en retraite avant de recouvrer mon sourire le plus sociable adressé à la Terre entière ...sauf à lui. Quelques secondes s’écoulent.

Rien !

Je pense alors qu’il va me repousser, en gros lourd me méprisant de le rabrouer aussi sèchement, que j’ai définitivement perdu la partie.

Mais, de nouveau, sa tête se coule dans le creux de mon épaule, câline, cette fois. J’ai même droit à un furtif coup de langue derrière l’oreille.

- « S’il te plaît ... »

La ficelle est vraiment un peu grosse mais mérite un encouragement car elle me maintient dans la course ; je bascule mon corps vers l’arrière en me tournant vers lui pour le gratifier, mais à distance de sécurité, d’un sourire ironique puis je reprends ma place en me blottissant plus étroitement contre lui ; cependant toute tentative d’enlacement se heurte à ma rigidité de statue.

- « Combien tu veux ? »

Cette fois, pas de méprise possible, je ne suis plus innocent. Je casse ma nuque d’accablement ; mes épaules s’affaissent et je secoue ma tête de gauche à droite, dans un message que je veux clair et définitif puis je me redresse, mais toujours sans m’éloigner.

Tout à sa stratégie de conquête, il cherche et risque des coups ; ses tentatives sont « dans la norme locale » si j’en juge de ce que j’ai pu comprendre des usages qui ont cours dans les coulisses décidément peu ragoutantes de la maison.

Mais moi aussi, je m’essaie ! Bien décidé, tout enculé que je sois, à n’abdiquer aucune parcelle de mon ambition de dignité, je veux avoir mon mot à dire et parce qu’à mon arrivée, il m’a regardé comme sa chose naturellement à disposition, m’écrasant d’un regard de propriétaire qui dispose, ce plutôt beau mec sera un cobaye parfait ; il devra en passer exactement par où je veux avant de parvenir à ses fins !

Et me permettre d’atteindre les miennes !

J’ai basculé sur une fesse, m’allongeant très ... ? Trop ? « Outrageusement » sur lui - une façon d’évaluer la réalité de ses avantages en l’écrasant, de le bousculer dans sa majesté également, je fouille la poche de mon pantalon du côté opposé puis me redresse pour exhiber entre deux doigts un étui de préservatif qui danse devant ses yeux.

Il s’esclaffe, d’abord railleur et sarcastique, il proteste énergiquement ensuite, la moue condescendante, entend enfin la nécessité de m’expliquer par gestes que … mais comme je persiste, sourd et imperturbable, il hausse une épaule et tend la main vers … ce que j’escamote alors dans mon poing serré et éloigne hors de sa portée avec un sourire canaille.

Mais il a souri en retour et, sans me quitter des yeux, s’est emparé de ma main libre pour la poser délicatement sur sa cuisse et l’y abandonner, écartant ses bras, paumes ouvertes en signe de consentement. Il se rend et s’offre à mes initiatives.

Voilà !

Ma main s’est refermée pour pétrir le muscle, palper, évaluer la puissance potentielle de l’animal comme un maquignon qui ne se laisse pas berner sur la qualité de la viande puis elle glisse, sans s’appesantir, sur sa braguette et la pointe de mes doigts farfouille pour s’insinuer sous le polo de sport.

Il affecte de serrer ses abdominaux et de contracter ses biscotos pour faciliter mon expédition et j’accède, au-delà du cuir du ceinturon, à une fine prairie qui me réjouit. Lui jubile, fait rouler ses muscles, accentue un rictus de pacotille.

Quand je me lève, il bondit sur ses pieds, me bousculant. Dans ce désordre calculé, ses mains me retiennent et me paluchent déjà, sans vergogne. Je lis dans son sourire qu’il pense avoir compris le jeu et en maîtriser désormais les règles et percer leurs faiblesses. Il m’emboîte le pas et marche sur mes talons, fier comme Artaban ; je m’aperçois alors que des regards nous suivent …

Sont-ils inquiets parce qu’il est plus ivre que je le pensais ou mon premier refus a-t-il été perçu comme un affront que je ne fais que réparer en revenant dans le rang ou bien … aurais-je fait la conquête d’un des mâles enviés de l’assemblée ou encore regarde-t-on ma réputation comme définitivement perdue ou encore ... ?

Nous disparaissons derrière le rideau, lui sur mes talons. Aussitôt, il tente de m’enlacer et je m’immobilise dés la deuxième marche. Posément, je déboucle ma ceinture, laisse lentement glisser mon pantalon sur mes fesses et, à mesure qu’elles se découvrent, ses deux mains s’en emparent, moulant mes rondeurs glabres comme s’il accédait enfin à un trésor longtemps convoité, une juste récompense. Il les caresse de ses deux paumes, les lustre, replace les élastiques du suspensoir sur leur plat tandis que, perché sur un pied puis l’autre, j’achève de me débarrasser de mes frusques.

Cependant, mes contorsions d’équilibriste lui ont entrouvert la voie dont l’accès lui a si longtemps été refusé et déjà ses doigts s’emploient, réveillant en moi des langueurs auxquelles je ne veux pas céder. Pas encore.

Me voilà prêt. A tout berzingue, j’escalade l’escalier et il me poursuit. Je m’engage dans le dédale jusqu’à un recoin un peu à l’écart, me retourne. Il est là, haletant, probablement irrité …

Vite, un genou à terre en signe de contrition, mes deux mains attaquent sa braguette, libèrent le sceptre du mâle …

Je l’engloutis.

Dissipation instantanée de toute agressivité, relâchement immédiat ; ses épaules ont pris appui à la paroi derrière lui et, les pieds écartés, le bassin en rétroversion, les bras ballants, il offre sa queue forcément impériale à ma dévotion bien naturelle.

Un plaisant modèle d’ailleurs : plutôt court et trapu, légèrement courbe, un beau gland grassement ourlé, une odeur persistante de gel douche – serais-je son premier coup de la soirée, malgré ses rodomontades de conquistador ?

Mes mains explorent : sa toison pubienne taillée, ses bourses souples ... puis elles glissent sur ses adducteurs et abaissent son pantalon aux chevilles - il courra toujours moins vite ainsi entravé ! jouant avec ses mollets galbés et ses toisons pour remonter mouler ses fesses et les engager dans un va et vient régulier, guidé par ses deux mains qui encadrent étroitement mon crâne.

Céder un moment à ses simulacres convenus de domination pour l’endormir tout en m’appliquant à parfaire discrètement la lubrification de mon anus en prévision de la suite, puis reprendre la main, tout simplement en déviant soudainement la tête. Sa verge détrempée s’échappe et glisse alors sur ma joue mais, aussitôt, mes lèvres la cernent, la parcourent latéralement ; je la lèche sensuellement, d’un côté de l’autre ; l’apex de ma langue vient titiller son frein, souligner son raphé, repart agacer le bourrelet de son gland tandis que mes doigts s’infiltrent, indiscrets. Ils palpent, massent, pèsent.

Son trou du cul de mâle s’affichant ostensiblement en alpha dominant a goulûment avalé la totalité de mon majeur lubrifié lancé en piqué et … qui fait mouche : il s’ effondre instantanément, secoué par des soubresauts, zébrant ma joue d’un trait de foutre.

Meeerdeuh !

J’ai tout aussitôt redoublé d’ardeur.

Amical72

amical072@gmail.com

QUI n'a JAMAIS fredonné cet air? « Parle plus bas car on pourrait bien nous entendre »est la version française de « speak softly, love », le thème musical du film « le parrain » composé par Nino Rota. Elle est enregistrée par Dalida en 1972, ici en direct

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