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Chapitre 3
Je vous raconte maintenant ma vie de vide-couilles pour mon rebeu.
Aujourd’hui, je suis resté à travailler à la maison. Abdel est directeur adjoint d’une grosse entreprise. Il a une longue réunion et il va rentrer tard. Je prépare le dîner, il a souhaité que je fasse un Rfissa, un plat marocain. Je suis bien sûr nu toute la journée, c’est un ordre de mon boss, je dois toujours être à sa disposition et je dois toujours être prêt à recevoir sa grosse bite de 22 cm.
Il rentre vers 21h, le repas est dans le four en train d’attendre. Il arrive, je le trouve très chic. Il a un costume noir, une chemise blanche, un beau pantalon noir et des chaussures noires. Ses habits moulent ses gros muscles. Abdel défait sa cravate, passe derrière moi et me donne une grosse fessée.
- Alors ma petite pute. Ça sent bon (en disant ça, il ouvre la braguette de son pantalon et en sort sa grosse trompe). Viens chercher ton apéritif.
Je me baisse et je prends sa queue en bouche. Elle est molle et bien épaisse. Sa main gauche saisit mes cheveux et les tire pour redresser ma tête au maximum, j'ouvre en grand, prêt, sachant pertinemment ce qui va suivre. Je sens alors un liquide chaud et odorant couler dans mon œsophage. Abdel me pisse dans la bouche. J’avale tout, je sais que je n’ai pas intérêt à en faire tomber sur le sol si je ne veux pas qu’il me punisse. Il avait grave envie, des litres coulent le long de ma langue et de ma gorge. C’est chaud et salé... l’apéritif qui me faut. Il place sa queue dans ma bouche et elle commence alors à bander. Ses 22 cm se déploient sous l’effet de ma langue et j’ai très vite la bouche bien remplie. Je le branle et le suce en même temps. Puis c’est Abdel qui prend le contrôle. Tout en donnant des coups de bassin rapides, il attrape ma tête et impose le rythme. Il ressort sa teub et me dit :
- Vas-y, lèche mes couilles.
Je m’exécute, ma langue remonte le long de sa hampe pour arriver à ses couilles poilues que je prends vite en bouche. Ma langue passe de l’une à l’autre. Pendant ce temps, il se branle. Au bout de 2 minutes, il me dit :
- Couche-toi par terre sur le dos et sors ta langue.
J’obéis, je me retrouve avec Abdel en train de se branler au-dessus de moi, me dominant de toute sa hauteur. Il branle sa grosse teub bien veinée et ses grosses couilles velues se balancent au-dessus de moi. Il pousse vite un cri de jouissance, il dirige sa queue en direction de ma bouche mais toujours au-dessus de moi. Comme un geyser, son sperme fuse soudainement, des jets puissants et abondants viennent frapper avec force mon visage et certains se logent directement sur ma langue, d’autre au fond de ma bouche. Son sperme est chaud et amer.
- Tiens ! Régale-toi ! Ça te plait ça, hein ?
Il finit de se branler et trois ou quatre jets coulent de nouveau de son gland, sans pression. Je suis couvert de sperme... sur la langue, dans la bouche, sur le menton. Abdel se baisse, récupère le sperme qui coule à l’aide de son gland et me le fait avaler.
- N'en perds pas une goutte ! C’est du bon lait de rebeu !
Il me donne tout son jus à boire. Puis il me dit de me relever, me roule une pelle et va se doucher. Je continue de déguster son apéritif. Quand il revient, nu, on passe à table. J’admire son corps de malade : il a de gros pecs bien lourds, bien poilus, des tablettes de chocolat, des cuisses énormes et des bras super musclés. Son pubis est rempli de poils bien noirs, ses couilles sont aussi très velues.
Après le repas, on se pose devant la télé et on regarde un film. Il est assis, moi couché avec la tête sur ses cuisses musclées. Il me caresse soit la tête, soit le cul, il m’y met des doigts de temps en temps. Pas étonnant qu’au beau milieu du film il se mette à bander. Je dois bien sûr m’occuper de son anaconda. Je me mets à genoux devant lui et prends sa queue dans la bouche. Je m’applique, je fais des gorges profondes. Mais il me prend la tête entre ses mains et ma bouche n’est plus qu’une fleshlight. Elle sert seulement à le branler. Il me crache de gros mollards sur la gueule. Il me pilonne la bouche, la ressort, me donne des baffes, me bifle puis replonge brutalement en moi. Je sens sa queue coulisser dans ma gorge. Je bave de partout, quand il ressort de ma bouche, j’essaie de reprendre ma respiration. Il me défonce la gorge et au bout de 10 minutes, il me bloque la tête entre ses cuisses, enfonce sa teub au plus profond :
- Oui, c’est ça, suce bien, prends-la à fond !
Il continue sa baise, en accélérant le rythme, et très vite il plaque toute la longueur de sa queue en moi.
- Vas-y, régale-toi !
Je sens alors son sperme couler au fond de ma gorge, je n’ai pas d’autre choix que d’avaler. Il me remplit la gorge.
- Lèche-moi bien la teub, nettoie-la bien !
Je lèche son gros gland encore gluant et je me relève. Il me lance :
- Bonne chienne !
Je me replace sur le canapé, couché, la tête sur ses cuisses. On finit de regarder le film puis on va se coucher. Il me prend dans ses bras... un rare geste de tendresse de sa part ... mais ce n’est pas vraiment pour câliner. Très vite, il force ma tête à descendre vers sa teub qui bande à nouveau. Je la prends dans ma bouche sur toute sa longueur (je commence à être habitué à force... les réflexes vomitifs ont presque disparu) et je le suce. Il prend un gode de 20 cm et il me le met dans le cul, à sec. Je crie de douleur mais sa queue étouffe les sons. Je monte et je descends sur sa queue, je fais des gorges profondes. Il se pose en position de 69 mais il ne me suce, il se met sous mes couilles et me lèche le trou qui est déjà bien ouvert. Puis très vite, il se met derrière moi, me met à quatre pattes et enfonce un gode de 26 cm. Grâce à son léchage, le gode glisse mieux. Au bout de 5 minutes, il le remplace par sa queue. Il m’embroche immédiatement dessus et se défoule. Je suis un jouet entre ses mains, je suis comme disloqué. Il me donne des fessées, me traite de pute, me crache dessus. Puis il se place devant ma bouche qu’il se met à baiser. Puis il se penche sur moi, m’embrasse à pleine bouche, met sa langue dans mon gosier et me roule une grosse galoche. Puis il se relève, me crache dans la bouche et replante son chibre dedans et recommence à se défouler. Il me pousse et je me retrouve sur le dos, je sens sa queue prendre de nouveau possession de mon trou. Il me donne des gros coups de rein, son gland m’explose les entrailles. Ses grosses couilles frappent bruyamment mon cul. Soudain, il s’arrête, prend le gode de 20 cm et tente une double sodomie avec. Il crache dessus pour aider la pénétration du gode. Il reste immobile et commence à jouer avec l’objet. Il fait des va-et-vient. Il est de plus en plus rapide, de plus en plus sauvage. Je commence à gémir. Abdel enfonce le gode et donne maintenant des coups de bite. Il me donne des fessées au rythme de ses mouvements de bassin. Puis il retire le joujou, il me place sur le côté, vient s’installer derrière moi et me baise. A l’aide de son bras, il m’enlace le cou puis il commence à donner ses coups de bite. Son étreinte autour de mon cou devient de plus en plus serrée. Il commence à m’étouffer.
- T’inquiète pas, baby, détends-toi, apprécie. Laisse faire ton maître. Il sait ce qu’il fait.
Je commence à paniquer puis j’essaie de me détendre et de lui faire confiance. Il m'étrangle, je respire de plus en plus difficilement mais je ne peux pas bouger, il me bloque parfaitement. Je sens que son excitation augmente, sa queue gonfle, tout comme son gland. Il m’étrangle vraiment maintenant, il s’empare de ma bite et me branle. Au bout de quelques secondes, j’éjacule. L’orgasme est dément. J’éjacule un geyser. Il resserre son étreinte encore plus fort, il veut me montrer qui domine et là un deuxième orgasme se produit. Le lit et les murs se retrouvent pleins de mon jus partout. Au bout de quelques secondes, il serre ma glotte encore plus fort. Je suffoque... Ça doit l’exciter car je sens sa queue enfler encore plus, il me défonce encore plus fort et il jute dans un râle sonore. Je sens mon trou se remplir de jets brûlants et gluants. Il desserre alors son bras et il ressort de mon cul, le sperme coule. Il me le sert sur ses doigts et j’avale tout. Il me met une baffe et dit :
- C’est bien, ma petite lope. Avale ! Oula, le jus coule comme un gros ruisseau ce soir. J’ai bien marqué mon territoire. Je t’ai bien engrossé.
Il s'assoit sur le lit, j’y tombe, épuisé, et je retrouve lentement ma respiration. Il me fait un signe, je lave alors sa teub avec ma langue. Il me donne une grosse fessée et dit :
- T’as bien assuré ! Serre bien les fesses, tu dois garder mon jus bien en toi. Je te rebaiserai cette nuit.
Il se pose à mes côtés puis on éteint les lumières. Je m’endors immédiatement.
Au milieu de la nuit, je me réveille et je sens quelque chose de dur dans ma bouche. Abdel est réveillé et tente de passer son gros morceau à travers mes dents. Ne réagissant pas assez vite à son goût, je me prends une grosse baffe bien sonore. Cette fois, je suis bien réveillé ! Il place ses jambes des deux côtés de ma tête. J’ouvre la bouche en grand et son anaconda descend le long de ma langue et de ma gorge.
- J’avais la flemme d’aller aux chiottes.
Il se met alors à pisser. Quelques gouttes du liquide salé commencent à couler dans ma gorge. Puis le flot devient plus abondant et j'avale tout. J’ai plusieurs haut-le-coeurs, mais j’arrive à tout boire... car je connais la sentence si je n’y parviens pas. Vu qu’il bande déjà, il met longtemps à vider sa vessie. Quand il a fini, il me tapote la tête et me laisse reprendre mon souffle.
- Tu me fais envie, sale chienne ! Regarde, tu me fais bander. Il va falloir que je te rebaise !
Alors, il me baise la bouche violemment. Ses poils de pubis me chatouillent le front, ses grosses couilles rebondissent sur mon cou. Au bout de 2 minutes, il me retourne à quatre pattes et me baise. Son jus encore frais sert de lubrifiant et sa queue se retrouve immédiatement en moi en train de me défoncer. Elle devient blanche, elle fait de gros flocs. Puis il me place encore sur le côté et me défonce. Dans le miroir, je peux observer comme ses bras musclés me tiennent la jambe en l’air, comme ses grosses cuisses impriment un rythme endiablé. Je vois sa queue bien bronzée s’enfoncer dans mon trou, disparaitre jusqu’à ce que ses couilles me fouettent mes propres couilles... le spectacle de ce rebeu plein de muscles en train de me baiser m’hypnotise. Au bout de 15 minutes, il m’engrosse. Par mégarde, sa queue sort de mon trou et un torrent de sperme coule sur mes cuisses et sur les draps. Il replante sa queue en moi et dit :
- Ah ma pute, tu es trop bonne. Mon sac à foutre ! Viens contre moi et dors maintenant.
Je m’endors, dégoulinant de sperme, sa queue toujours en moi.
Je suis réveillé alors que le soleil commence à illuminer la pièce... quelque chose m’a tiré de mes rêves. Je me rends compte alors de ce que c’est... c’est la queue d’Abdel qui est en train de gonfler en moi. Il dort toujours mais une érection matinale se fait sentir. Je commence alors à bouger mon cul. Sa queue gonfle de plus en plus, elle s’allonge dans mes entrailles. Je le sors doucement de ses rêves grâce à mes mouvements de va-et-vient sur sa teub. Il met sa main sur mon cul, le caresse. Voyant que du jus de sa dernière jute s'est échappé de mon trou, il le récupère avec son doigt et me le donne à sucer. Puis je sens que mon cul se remplit... il ne peut pas avoir déjà éjaculé. Une vague de chaleur m’envahit. Je comprends alors qu’il me pisse dans le trou. Il me remplit les intestins… il pisse longtemps et tout reste en moi. Sa queue fait vraiment effet de bouchon. Je sens sa pisse chaude dans mon trou, entourant sa teub. Une fois fini, il se met à bouger, à me baiser.
- Sale pute, tu kiffes ma bite, hein ? Et tu la voulais ma pisse, avoue ! Tu la sens bien au fond de toi ? Avec ma grosse bite qui nage dedans ?
Sa queue trempe dans sa pisse. Et il commence lentement des va-et-vient. De la pisse sort un peu à chaque mouvement, elle coule le long de mes cuisses. Et il accélère la cadence. Et on entend ses couilles cogner contre mon cul mouillé. La pisse sort par grosses vagues et éclabousse mon cul, mes couilles, ses cuisses. Elle coule sur le lit. Ne me posant pas de question, je me laisse aller aussi. Je lâche les vannes de ma vessie pleine et ma pisse coule lentement de ma teub. Il doit le remarquer !
- Salope ! Tu commences à aimer la pisse, hein ? Tu es vraiment un bon vide-bite !
Il a l’air d’apprécier. Il me secoue maintenant comme un prunier, ma bite envoie ma pisse un peu partout sur le lit. Pour éviter de jouir rapidement, il sort vite la queue de mon cul et un flot de pisse en coule. II me la remet dans le trou et il me baise lentement… puis accélère la cadence. Il me baise à fond. Je morfle ! Je couine comme une truie. Il ressort sa teub avec pas mal de liquide à chaque fois où il y replonge vite fait. Sa queue tape tout au fond de mon cul. Il me met la misère pendant une demi-heure. Puis à un moment, il ne tient plus et éjacule dans mon trou. Son sperme vient s’ajouter à la pisse restante. Il sort et me met une tape sur le cul. Il me dit de pousser un peu. Ce sont alors des litres de liquide, un mélange de foutre et de pisse, qui jaillissent de ma chatte. Abdel replace sa bite devant, elle se fait arroser à grandes eaux puis il me la replante et donne quelques coups. Il m’ordonne d’aller me laver. Je me dirige vers la salle de bain, dégoulinant de pisse et de sperme.
Je prends ma douche. Voyant l’heure, je vais lui préparer, nu, son petit-déjeuner et son casse-croûte du midi. Je remarque alors qu’il s’est rendormi. Je le réveille, il saute sous la douche. Je lui prépare ses vêtements et je vais les lui poser dans la salle de bain. Il est déjà en train de se sécher. Me voyant passer nu, il me frôle le cul.
- Putain, ce cul est un appel au viol !
Il me prend dans ses bras, me mordille l’oreille et je sens dans le bas du dos sa queue gonfler et grossir. D’un mouvement de bassin expert, elle se retrouve devant mon trou et il l’enfonce directement au fond. Il me penche en avant, m’agrippe par les cheveux et il commence à se défouler en moi. Au bout de 15 minutes, voyant l’heure avancée, il prend sa bite en main, se branle énergiquement et au moment de jouir, l’enfonce bien au fond de moi. Je sens sa queue pulser pour expulser le jus. Bien sûr, il jute moins fort qu’hier soir... En l’espace de 12h, il a déjà joui 6 fois ! Quelle bête de sexe. Il se retire et un jus épais coule le long de mes fesses et vient s’écraser sur le sol de la salle de bain.
- Merde ! Je sue de nouveau ! Viens là !
Il m’empoigne la nuque, m’approche de ses aisselles. Je les renifle fortement. Je me mets à les lécher. Ma langue passe dans ses poils noirs et drus. Puis je passe à l’autre. Elles sentent bon le mâle. Quand elles sont propres, je me retire et il se met du déo. Je sors de la salle de bain et tout d’un coup, je suis comme attiré vers le sol. Abdel vient de me plaquer. Il me retourne comme si je ne pesais rien, me met une grosse baffe et me présente sa queue devant la bouche.
- Tu crois qu’elle va se nettoyer toute seule ??
- Oh...
- Qu’est-ce qu’on dit ?
- Pardon, maître, ça ne se reproduira plus.
Il me met alors un coup de poing dans les côtes et je prends sa queue en bouche, je lui nettoie son gland et tout son chibre, encore plein de sperme gluant. Il s’habille vite fait, me laissant assommé par terre et il sort avant de partir :
- Allez j’y vais. Tu vas prendre cher ce soir, ça, tu peux me croire !
Je nettoie les résultats de nos ébats de cette nuit, je ne bosse pas aujourd’hui. Je vais faire quelques courses pour le soir.
Je suis en train de cuisiner quand j’entends Abdel rentrer. Je me précipite vers lui pour lui prendre ses affaires mais une grosse baffe s’abat sur moi. Je tombe par terre, assommé. Il me retourne, se jette sur moi et me bloque les mains. Il serre tellement qu’il me fait mal. J’essaie de me débattre... mais rien à faire contre cette masse de muscles. Il est toujours en costume-cravate, il ouvre simplement la fermeture éclair de son pantalon et il en sort sa teub. Il me fout un poing dans la gueule ce qui me rend un peu vaseux, je pousse un cri involontaire et il me balance un autre aller-retour, je vois alors des étoiles. J’assiste à ce qui va suivre plutôt que de le vivre tellement je suis sonné. Il enfonce sa grosse queue dans mon cul, à sec et il me lime. Je sens ses jambes, son ventre et son énorme queue plaqués contre mon corps. Je pousse quelques cris de douleur.
- Ta gueule ! Tu as que ce que tu mérites !
Il me met une autre baffe. Cette situation de dominance l’excite. Il donne des coups de bite brutaux. Il passe son bras autour de mon cou et m’étrangle. Très vite, il pousse un cri bestial et éjacule. Je sens ses muscles se contracter sous son costume. J’ai l’impression qu’il me pisse dans le cul... mais non il jouit de gros jets en moi. Mon cul commence à déborder de toute cette semence. Il se retire vite et va dans la salle de bain. Je reste sur le sol, dégoulinant de sperme. Il revient, me relève, me prend dans ses bras et me murmure à l’oreille :
- Je suis désolé, bébé. Mais tu m’as mis hors de moi ce matin. Il te fallait une bonne leçon. Va me faire à manger maintenant.
Je me relève et je me dirige vers la cuisine comme un zombi. Il sort vite fait et revient avec un cadeau pour se faire pardonner : un costume deux pièce d’une certaine marque de luxe.
- Je te promets une autre petite surprise pour me faire pardonner ce week-end.
Et la surprise ne se fait pas attendre. Le dimanche suivant, comme à son habitude, il sort faire son jogging. Moi, je flemmarde au lit. C’est le rituel, après chaque course, je dois être sur le lit, sur le ventre et prêt à recevoir sa queue et sa semence. Quand j’entends la porte d’entrée, je me tourne sur le ventre, ferme les yeux et attends de servir de vide-couilles à mon rebeu. Après quelques secondes, il se déshabille sans dire un mot et monte sur le lit, pose son paquet au-dessus de mon trou et me pelote les fesses. Tout d’un coup, je me rends compte que 4 mains sont en train de me caresser. Je me retourne et je vois Abdel avec un renoi qui est penché sur mon cul, le pelote puis descend vers mon trou et y introduit immédiatement sa langue. Je me recouche et je gémis sous ses coups de langue experts.
Le grand black vient se poser devant moi, il est en slip, et la barre que je peux entrevoir a l’air vraiment prometteuse. Il me présente son paquet bien rempli. Il met ses mains autour de ma tête puis plaque ma bouche contre son pieu encore emprisonné. Je sniffe, je lèche, je branle son morceau à travers le tissu. J'embrasse sa poutre, je caresse ses couilles. Il monte sur le lit et me présente son pied. Je comprends le message et je me mets à le lécher. Il dégage une odeur de sueur... il est chaud et humide. Je hume... Je lui lèche le pied puis les orteils. Puis il enlève son slip, vient se mettre sur le lit accroupi devant ma tête et il me présente son énorme morceau.
Le black s’appelle Claudio, il est vraiment grand (1,90m), il a 25 ans, il est mince, peu poilu (seulement au niveau de la bite et des couilles) avec une bite toute noire de 25 cm ! C’est vraiment très beau mec… mince, très musclé, avec des pectoraux énormes et des biceps gonflés à bloc.
Je prends sa queue en bouche.
- Tu sais quoi ? Tu m’as déjà gouté (je le regarde sans comprendre). Lors d’une baise avec Abdel, il m’a demandé de me branler dans une capote. Tu as bu mon jus, il y a quelques semaines, lors de ton rite d’initiation. Tu as l’air d’être une bonne tepu... tu avales tout, à ce qu’il parait ? Ouvre bien ta bouche en grand !
Je m’exécute, il pose son gland sur ma langue et il se met à pisser. Le liquide salé coule immédiatement comme un torrent dans ma gorge. Je bois tout, je n’en perds pas une goutte. Puis je le suce. Sa queue est plus longue que celle d’Abdel, elle a plus de mal à rentrer en entier... mais il sait y faire, il l’enfonce doucement. Et finalement, je me retrouve avec ses couilles au-dessus de la bouche et mon nez dans ses poils de pubis. Quand il voit que je me suis fait à son morceau, il me plaque une main contre ma nuque et il me fait aller et venir sur sa queue.
- Putain, t’es trop bonne ! Jamais personne n’a pris ma grosse queue comme toi ! Il faut que tu me la prêtes, frérot ! J’ai quelques potes qu’elle pourrait rendre heureux !
Pendant ce temps, Abdel tourne autour de nous, nous regarde, se branle. Il a l’air d’apprécier que je me fasse utiliser par un autre mec. Puis il s’avance vers nous et me donne sa queue à sucer. J’alterne les deux bites. Ils me ravagent le gosier, ils me font des gorges profondes. Puis Claudio me pose sur le lit, sur le dos, tête dans le vide. Il place ses mains sur ma gorge et enfoncent sa queue bien au fond de la bouche. Il me défonce la gorge, serre sa main par-dessus et dit :
- Je vois et je sens ma queue coulisser à travers ta gorge. C’est vraiment trop bon.
Il m’appuie fort sur la gorge alors que sa teub m’étouffe déjà. Je bave de partout... mais je me laisse faire, n’étant plus qu’un trou qui sert sa bite.
Claudio sort de ma bouche, Abdel me relève et me met accroupi devant sa teub tout en me donnant des baffes. Je prends alors son gland en bouche et le suce tout en le regardant droit dans les yeux. Je sens très vite une pression sur ma tête. Il me force à engloutir son membre. Je lui fais une gorge profonde et je le suce... puis c’est lui qui prend le contrôle et il me baise la bouche comme si j’étais un pantin, ses deux mains contrôlant ma tête. Ensuite, il me passe à Claudio qui sans préambule enfonce sa queue au fond de mon œsophage. Lui aussi se défoule en moi. Il enfonce son monstre de chair dans ma bouche le plus profondément possible. Je bave, je supporte malgré mon mal de mâchoire... il faut dire que ses 25 cm sont bien épais !
- Quelle salope ! Comme elle encaisse ! Tu dois être un bon vide-couilles, toi !
C’est au tour d’Abdel qui me reprend par la tête puis il recommence à me baiser la bouche. Il donne maintenant des petits coups de reins et sa bite me lime la glotte. Après 5 minutes, il se place derrière moi, m’oblige à ouvrir la bouche, la garde grande ouverte avec ses doigts et Claudio se met à me ravager la gorge.
- Oui, vas-y ! Défonce-lui la gueule. Elle ne mérite que ça ! Vas-y ! Montre qui est le boss à ce sac à foutre, dit Abdel
Le rebeu reprend sa place dans ma bouche. Quant à Claudio, il se met derrière moi et lèche le trou. Que dis-je ... il me le bouffe littéralement. Sa langue chaude passe le long de ma raie, sur ma rosette et rentre lentement dans mon trou. Puis toujours en continuant de me lécher, il y introduit un doigt, puis 2... puis 3... et 4 ! Je suis tellement excité que mon trou s’ouvre tout seul. Puis il descend jusqu'à mes testicules. Il les triture chacune du bout des doigts. Ensuite, il les étire, les serre dans son poing jusqu’à ce que je crie de douleur. Il arrête puis recommence.
Mon cul étant bien préparé, Abdel place son gland bien dur au niveau de mon trou et il commence à forcer doucement l'entrée de ma chatte... mais ça entre tout seul ! très vite, il se retrouve au fond de mon cul. Il me lime le cul de plus en plus fort en faisant bien claquer ses couilles contre mon cul. Puis il laisse sa place à Claudio. ... Le black commence à s'activer lentement, ses va-et-vient sont lents et réguliers, me fessant de temps en temps. Abdel dit :
- Vas-y, défonce-la ! Elle doit prendre cher ! Fais-lui bien sentir la bonne queue de black !
Claudio accélère le rythme de la baise, s’enfonçant de plus en plus fort et de plus en plus loin en moi, me faisant gémir.
Puis c’est autour d’Abdel de me rebaiser. Il s’enfonce direct, glisse en moi comme dans du beurre et commence à me bourriner. Une main s'abat sur ma fesse droite, assez violemment ce qui me fait crier... mais mes cris sont étouffés par la queue de Claudio qui se trouve à nouveau au fond de ma gorge. Puis c’est le tour de la fesse gauche. Il y va fort aujourd’hui. Mais au bout de quelques minutes, je commence à éprouver du plaisir. Mes fesses brûlent, les fessées deviennent de plus en plus fortes, j’en ai presque les larmes aux yeux. Il finit par s’arrêter et Claudio prend la suite... les coups de queue et les fessées pleuvent !
Les deux mecs me baisent ainsi à tour de rôle. Celui qui ne me baise pas, me donne des baffes et me présente ses pieds que je lèche ou sa bite que je suce.
A un moment, Claudio me doigte de nouveau. Ses quatre doigts rentrent directement... puis le pouce passe aussi. Il enfonce sa main de plus en plus profondément, lentement. Arrivé à la base de son pouce, je sens que ça bloque, que je suis trop serré, que plus rien ne va entrer.
- C’est bon ça ! Oui, vas-y, ouvre-toi bien, ouvre ton cul de salope ! Ton cul est trop bon, trop doux ! Ça me rend complètement fou ! Abdel, je vais devoir te la piquer assez souvent pour me vider !
- Pas de souci, mon pote !
Il enfonce son poing de plus en plus loin... millimètre par millimètre, il entre en moi... jusqu’à ce que j’ai sa main entière dans mon cul. Le black commence alors à me fouiller le cul. Puis il se met à bouger son poing, à me boxer le fond du cul. J’ai des sensations que je n’ai jamais ressentie... comme s’il allait me faire pisser ou me faire jouir juste avec son poing ! De temps en temps, il me lèche les couilles ou le gland. Au bout de 15 minutes, il s’arrête et dit :
- Je t’ai mis ma main entière dans ton cul ! La prochaine fois, j’irai plus loin. J’apporterai le lubrifiant qu’il faut.
Il se retire et moi, j’ai le cul en feu. Mon trou semble béant et il ne veut pas se refermer. Je ressens une sensation étrange, comme si de l’air s’y engouffrait. Claudio continue :
- Il faut que je la baise, j’en peux plus !
Alors d'un coup sec, il remplace son poing par sa bite qui maintenant glisse en moi, comme si ses 25 cm n’étaient plus rien. Il s'enfonce jusqu'aux couilles et je sens comment mon cul se contracte autour de sa bite. Abdel l’arrête, lui murmure quelque chose à l’oreille et mon black se retire. Abdel me soulève, je me retrouve sans trop savoir comment sur lui tandis qu’il est couché sur le lit. Sa bite est dressée, je passe par-dessus lui et je m’empale sur mon membre. Je commence alors des va-et-vient sur sa bite. Claudio arrive derrière moi et fait entrer son gland dans ma chatte qui est bien ouverte. Les 25 cm s’enfoncent lentement en moi, le long des 22 cm d’Abdel. La grosse queue de Claudio m’écarte les chairs et arrive au bout d’une éternité au fond de moi. Je gueule... de douleur. Je suis dévasté. Puis quand le black commence à coulisser en moi, mon anus commence à éprouver du plaisir. Je me sens mouiller du cul. Les deux queues ravagent mon colon. Claudio me pilonne maintenant, il me défonce. Ses couilles me tapent le cul, sa teub coulisse en moi, le long de celle d’Abdel qui semble aussi apprécier. Je m’appuie sur ses pectoraux. Les mecs soufflent comme des bœufs, la queue de 22 cm d’Abdel collée à celle de 25 cm de Claudio, me baisant au plus profond, les cuisses des deux mecs écrasant mes fesses.
Au bout de quelques minutes, Claudio gueule :
- Oh putain, je vais jouir, ma chérie ! Je vais t’engrosser, tu vas voir !
Et dans un dernier mouvement, il plaque ses couilles contre mon cul, sa queue bien au fond de moi et il libère sa semence.
- Vas-y, prends tout ça !
Des tonnes de sperme se déversent en moi. Il fait des mouvements de bassins rapides et violents pour bien terminer de se vider. Je m’imagine son jus tapisser mon intérieur, couler le long de la teub d’Abdel. Quel pied. Il se retire, je sens le sperme couler le long de mon cul ainsi que sur la bite d’Abdel. Claudio se met devant moi et je suce sa queue pour y récolter les dernières gouttes de son nectar. Quant à Abdel, il pose ses deux mains puissantes sur mon cul, le soulève légèrement et le pilonne de toutes ses forces. Chacun de ses va-et-vient fait couler du sperme de mon trou. Sa teub devient toute blanche, des gouttes tombent bruyamment sur le sol, ses couilles projettent aussi une partie du ruissèlement sur mon cul puis elles font voler le sperme un peu partout. Ses coups de bite se font toujours plus violents et plus rapides. Il ne lui faut pas longtemps pour me remplir à son tour. Je sens sa queue se durcir, il pousse un râle viril et il me remplit les entrailles avec de gros jets puissants. Des litres et des litres se déversent en moi. M’ayant ensemencé, il reste en moi quelques temps et ressort et son jus coule lentement le long de mon périnée. Je sens mes entrailles tapissées du liquide chaud et abondant des deux mâles qui m’ont engrossé.
Les deux mecs, satisfaits et suants, se posent sur le lit et m’attirent vers eux. Claudio me branle et je jouie vite de grosses quantités de sperme. Abdel me demande :
- Je suis pardonné ?
- Oh oui.
- Tu pourrais faire la pute dans une cave, toi ? demande Claudio. J’ai des potes qui aimeraient sûrement se soulager en toi et t’engrosser.
- Je sais p...
- Bien sûr, elle le pourrait, intervient Abdel. Mais avant je veux l’exhiber dans un lieu de drague. Tu viendras ?
- On verra, répond Claudio. Par contre, j’organiserai bientôt un petit truc rien que pour toi, ma petite pute. Mais... je veux que tout soit rasé... ta teub, tes jambes et surtout les poils de ton cul.
- Quoi ?!
- T'as compris, mes potes veulent une vraie salope, aussi douces qu'une meuf !
- C’est une très bonne idée, intervient immédiatement Abdel. Dès demain, tu vas te faire épiler !
Claudio se lève, souriant, satisfait et il me claque le cul en allant s'habiller. Donc, les deux mecs prévoient de me faire baiser dans une cave par des blacks et de m’exhiber en extérieur pour sûrement me faire engrosser aussi. Ma queue redevient déjà toute dure rien qu’à l’idée...
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
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