Étudiant appliqué | S2

Étudiant appliqué | Saison 2 | Apéritif

Chapitre 4 | Mélimélo

Au final, seuls Toni et moi ne sommes pas encore emboités et il cherche à tâtons mon érection d’une main avide. Mais je diffère et lui fait faire le tour des paires : il embrasse le front de Radouane qui gémit, empalé sur Romain ; je le guide pour qu’il caresse d’un doigt la fesse d’Éric limé par Damien tout proche d’exploser ; il encourage Thomas, ramoné par Omar, en lui pinçant les tétons. Arrivés devant Kévin et Nicolas, je le fais se retourner pour qu’il présente sa croupe dont je retire le plug et Nicolas plaque le visage de Kévin dans la raie de Toni en lui disant : « lèche ». Mon poilu incrédule se fait alors bouffer l’anneau par celui qui pensait lui souffler son mec et moi je surveille le travail d’un air goguenard. Je croise le regard de Toni, déstabilisé. « Tu vois Toni ! » et je lui embrasse les lèvres tandis qu’il se laisse aller en soupirant.

Puis Nicolas appelle Omar : « je te l’ai mis au diamètre » et Omar, écartant Toni, se poste d’abord face à Kévin, se fait lécher la queue puis lui tend une capote dont celui-ci l’équipe. Omar le retourne alors en levrette. Il vérifie en doigtant puis le pointe et s’empare de ses hanches pour l’attirer sur son pieu jusqu’à ce que ses poils ras frottent contre le cul de Kévin. Il commence alors à le tamponner avec régularité en l’encourageant de quelques claques sèches. L’autre commence à dodeliner de la tête puis Nicolas reprend le relais. Il l’enfile d’un coup et poursuit le limage. Omar l’encourage : « je veux le voir cracher son jus et le bouffer et alors, il sera vraiment bon à fourrer » Nicolas précipite le rythme et Kévin est saisi de spasmes, il lance ses jets alors que Nicolas largue lui aussi sa tournée, reprend doucement ses esprits, se retire et le confie à Omar ! Celui-ci jubile et écrase le visage de Kévin dans son propre foutre : « lèche » Omar a une trique d’enfer et empoigne Kévin par les hanches en disant « au jus maintenant » il le positionne et le fourre brutalement à fond de cul puis recommence en claquant sur son cul. Après trois ou quatre sabrages, il recommence le limage comme un métronome, il transpire à grosses gouttes et Kévin est ballotté par ses va et vient réguliers et geint. Il lui dit « voilà ! maintenant tu es enfin assez ouvert pour ma grosse queue noire ! Tu la sens bien ? Tu prends cher mais sais-tu que c’est un honneur de connaitre cette bonne queue qui te baise enfin correctement » Il s’échine sur le métier puis il pousse un grognement et claque encore deux fois contre ses fesses et se laisse aller dans un dernier coup de reins avec un bruit de gorge fauve, retenant à pleines mains Kévin empalé à fond sur lui.

Radouane est maintenant nu et assis de face sur la bite de Romain qui le soulève en ondes amples. Le garçon a les yeux dans le vague, il bascule vers l’arrière sur les cuisses de Romain et passe ses jambes par-dessus ses épaules et répète comme un mantra « baise-moi, baise-moi », ce qui fait sourire Romain qui retarde son plaisir et caresse le corps ambré de son amant qui se tord les tétons. De temps à autre, Romain bloque tout mouvement pour laisser retomber la pression, puis il recommence ses longs mouvements de bassin qui font gémir doucement Radouane.

Je regarde ces spectacles sans quitter Toni de l’œil et je parcours sa raie humide de salive, poussant jusqu’à deux doigts dans son fondement. Mes caresses le font soupirer et je lui demande s’il y a là, parmi toutes les propositions, une qu’il souhaite essayer. Mais il tourne vers moi des yeux de cocker et me caresse le paquet alors que mes doigts le sentent s’ouvrir encore. Il se penche, ouvre ma braguette, sort ma queue et, en la tenant comme un cierge, bien serrée pour augmenter la raideur, s’emploie à la lécher en m’adressant des coups d’œil. Je lui demande « ici ? », il répond « maintenant », s’empare d’une capote et me la déroule avec gourmandise en massant ma tige raide. Il se place en appui sur les mains et m’attire à lui, guidant mon gland vers son anneau détendu dans lequel il se fiche comme dans un nid. Je pèse alors doucement sur lui et il s’ouvre avec de longues expirations qui résonnent dans le grave. Je suis encore habillé quand il n’a que son harnais et un jock. Il se cambre et cherche à avaler ma queue au plus profond de lui.

Nicolas arrache sa capote pleine de foutre, vient se placer face à lui, exhibant sa bite molle et souillée devant son visage. J’attire Toni vers moi, ses fesses écrasant ma touffe, pour me caler bien à fond, ma main gauche appuie sur ses reins, la droite accroche le harnais pour le maintenir cambré. La queue de Nicolas retrouve un peu de vigueur et, sans plus de manières, Toni l’attrape, aspire le gland qu’il décalotte de ses lèvres puis se la plante en bouche. Je le pousse des deux mains vers l’avant pour qu’il avale puis le ramène vers moi pour qu’il coulisse sur ma queue. Nicolas prend sa chevelure à deux mains et accompagne le mouvement, sa queue à nouveau déployée. Toni est maintenant le centre érotique et Éric se glisse sous lui pour emboucher sa queue. Toni suce Nicolas quand Éric le pompe alors qu’il est embroché sur ma queue. Je le sens monter et je me bloque en position profonde pour essayer de le retenir encore. Je caresse ses tétons qui se dressent. Je veux le garder longtemps et me réserver.

Omar s’approche, tenant Kévin de deux doigts dans le cul et me propose crûment un échange mais Toni grogne énergiquement en signe de protestation et moi, c’est bien de Toni dont j’ai envie. Alors j’invite Omar à installer Kévin à ses côtés pour qu’on les fourre en parallèle. Omar tente de me démontrer la supériorité de Kévin : ayant retrouvé toute sa vigueur, il pointe et c’est le garçon qui aspire seul sa queue avec son cul qui vient cogner sur le pubis du black. Puis il se fait poinçonner sauvagement. Le beau Kévin a perdu de sa superbe et se laisse secouer avec des couinements de goret. Omar le renverse sur le dos, jambes relevées, et laisse tomber son bassin sur lui pour planter sa dague bien au fond à plusieurs reprises. Kévin n’en peut plus et explose à la grande joie d’Omar qui le pilonne énergiquement, le goinfre de foutre, décule pour arracher sa capote et faire lécher sa queue luisante à un Kévin goulu qui n’en perd pas une goutte.

Alors que la pipe lui a rendu toute sa fermeté, Nicolas avise la croupe blanche de Thomas et y effectue un rapide sondage d’abord à deux doigts puis trois. Comme le cul est accueillant et déjà bien détendu, Il y vide une dose de lubrifiant et se présente à l’entrée, capoté et au garde à vous. Pas de difficulté, sa belle bite s’y enfonce sans effort et provoque des frissons chez Thomas. Nicolas le dispose croupe levée, genoux aux épaules et fion qui baille devant sa bite. Il y plonge comme des coups de lardoir puis se campe solidement et en faisant rouler Thomas sur ses reins, le ramone longuement en roulade. Thomas semble embarqué en haute mer et l’endurance de Nicolas finit par avoir raison de lui qui gicle à son tour. J’ai, pour ma part, laissé monter doucement Toni qui n’a plus d’autre sollicitation que la mienne et mes petits coups de reins associés au travail de ses tétons le rapprochent du plaisir. Je le sens se contracter et il entame une étrange mélopée qui monte dans les aigus avant de lâcher un jet puissant dans la bouche d’Éric qui avale puis il retombe dans mes bras.

Au même moment, on entend Radouane pousser de petits halètements précipités et on assiste à une gerbe de foutre qui l’éclabousse sur le torse et le visage tandis que Romain donne les derniers coups de reins qui l’amènent à la jouissance à son tour. Chacun est prié de nettoyer les instruments de son plaisir d’une langue gourmande et Toni découvre que je n’ai pas joui et me regarde interrogateur. Je lui souris comme une promesse et lui montre le plug et il se tourne pour que je lui replace. Puis nous revenons aux nourritures terrestres. La soirée ne fait que commencer.