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Saison 2 | Chapitre 10 | Réciproque
En pleine nuit, je suis brutalement réveillé par un arbre qui s'abat sur mon lit en m'emprisonnant dans les draps avant de réaliser QUI est celui qui s'évertue à se glisser à mes côtés, nu et frissonnant. Enfin, déjà bien chaud : il attaque directement alors que j'ai encore des palpitations suite à ce réveil soudain. Il me met la main au paquet « au garde à vous, soldat Julien ! J'ai quinze ans de privation à rattraper » Il fouille à la recherche du « truc qui coulisse » et m'enduit abondamment bite et cul. Sa main masse et fait dresser ma queue, son autre main entreprend de me préparer le fion. Je vois ses yeux briller dans la pénombre et il se lâche « regardez-moi ce cul, un puits de douceur où j'aime planter mon poireau. Et cette belle queue que j'aurai fait attendre... » Il se soulève, s'enduit le fion, s'empare de ma main et y fourre mes doigts puis se positionne sur moi et guide ma bite en lui. Il s'enfonce dessus avec détermination « rafraîchis-lui la mémoire, il y a trop longtemps qu'il ne s'était pas fait ramoner »
Je ne l'ai jamais vu ainsi. Je proteste « voyons, patron » Il poursuit « que crois-tu Julien ? Il y a toujours eu des hommes comme nous, même à la campagne » Il rit « et moi aussi, j'ai été interne. On appelait ça l'école d'hiver. Fallait bien se tenir chaud » Il serre son cul et me pompe la queue avec d'amples mouvements des cuisses puis il s'assoit et cherche à s’enfoncer entièrement sur mon membre avant de s'arracher et de me soulever les cuisses : « à ton tour, gars Julien, de goûter à ma bite » Il me pointe puis prend appui sous mes cuisses relevées et je bascule en arrière tandis qu'il s'introduit en moi lentement. Putain, je ne sais plus si c'est le jour ou la nuit, qui est enculeur ou enculé, juste ces vagues de plaisir qui m'emportent. Il me lime doucement en roulant sur moi. Il bute en culée en m'écrasant les burnes puis se retire, se retourne et m'offre à nouveau sa croupe.
Sa pleine lune est la vision préférée de mon vocabulaire érotique : deux belles fesses blanches et charnues, couvertes de poils châtain et frisés, la raie hirsute et la rondelle qui palpite. Je commence par parcourir ce cul du plat de la main, lentement pour coucher le poil ou le relever en sens inverse. Puis, du gras du doigt, je dépose une noisette de gel précisément sur ma cible et le froid la fait cligner. Je guide ma bite et je le fourre avec délectation Il peine un peu « T'as vraiment un sacré calibre, mon salaud » Il rit « ça demande de l'entraînement » « ça, c’est promis, patron » Il geint doucement tandis que j’écrase ma touffe. « C'est bon là ! Lance la machine, Julien » Et je commence les va et vient, d'abord lentement mais de toute mon amplitude. Avec de petites variantes qui surprennent de plaisir. J'ai le fion éclaté et la bite en béton. Au fur et à mesure que je le lime, il se met à respirer rauque et module « au jus, Julien » Je le sens parcouru de contractions spasmodiques et il se redresse pour lancer son foutre alors qu'en lui, mes couilles donnent le meilleur d'elles-mêmes. Il ramène sa main gluante pour la lécher et je le bouscule pour l'embrasser dans un grognement primal.
Il me renverse et entreprend un tour du propriétaire avec sa bouche : il lèche, embrasse, suce, aspire et je me sens dévoré de la tête aux pieds où il mâchouille mes orteils. Sans lui, serais-je allé interroger les orteils comme zone érogène ? ça tourne en chatouille et je ris et il s'abat à mes côtés, épuisé, riant lui-aussi. Puis il me plante un bisou et me dit « bonne nuit Julien » Je tends le bras et tente de le retenir, mais il m'échappe et disparaît. Je sais qu’il rejoint la chambre conjugale. Je m'enroule dans les draps, le foutre et nos odeurs et me laisse couler dans les eaux noires.
Amical72
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