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Au sortir de la douche, après ce troisième ramonage, je commençais à trouver Florian très agréable et je caressais ses jolies fesses couvertes de duvet blond avec un rien de tendresse quand celui-ci montrant mon portable qui vibrait m'apostrophe : " t'aurais pas plutôt des potes bourrins là-dedans ? " De quoi me faire revenir à des considérations moins sentimentales !
Aussitôt, j'ai dit " Omar ", spontanément.
Et Florian de rétorquer : " un beur ? Parfait ! J'ai vraiment envie de me faire casser le cul ! " Saisissant mon portable, il me le tend et me dit " appelle-le s'il te plait ! " puis il me fait claquer un bisou " avec toi c'est très bon... mais t'es trop gentil ! " Juste vexant.
Au tel, Omar n'est d'abord pas partant, je le sens occupé, puis comme j'insiste sur la qualité du coup, il éclate de rire, masque son tel et, après quelques secondes reprend la ligne d'une voie discrète : " bon, tu me proposes quoi là ? Parce que je te préviens, j'étais déjà branché... ", mais un rapide descriptif des qualités de Florian le décide : " bon, j'arrive ! mais tu me l'attaches pour qu'il ne se sauve pas en me voyant ! " et il éclate de rire.
Omar aime la nouveauté !
Chose promise... j'attache Florian par un poignet au pied du lit avec un bracelet de cuir et, pour faire bonne mesure, je lui bande les yeux. Il me semble avoir un petit mouvement de recul... mais je lui rappelle qu'il a demandé un bourrin et qu'il va être servi.
Omar ne sonne pas, ne frappe pas à la porte ; il entre ! Un large sourire éclatant fend sa figure de sénégalais. Il m'entoure de son bras musclé en me demandant : " bon, il est où ton cul blond ? " Et là, je n'existe plus. Il s'approche de Florian et le caresse du plat de sa main noire, il sourit du contraste avec la peau blanche et les poils blonds. Il le caresse comme on le ferait d'un cheval dont on apprécie les muscles avant de le monter pour une course, il le pétrit, pince son téton, presse les muscles de son dos, claque son cul, lui chope les couilles, lui écarte les cuisses et arrache son bandeau au passage : " il faut qu'il voie son nouveau cavalier ! " dit-il avec un grand rire !
Florian découvre alors Omar : pas très grand, mais très costaud, cheveux et barbe crépus et tondus court, la peau très noire, Omar est toujours souriant et affable... mais intraitable ! Je vois dans les yeux de Florian qu'il est surpris et cela n'échappe pas à Omar qui me regarde puis éclate de rire : " tu ne lui avais pas dit ? " Il rit encore " c'est comme un dépucelage alors, son premier mâle noir ! "
Sa main s'est posée sur le visage de Florian, il le caresse fermement, fouille sa barbe et glisse deux doigts dans la bouche qui les suce en cherchant les yeux d'Omar. Mais Omar ne le regarde pas, il se tourne vers moi pour faire des commentaires : " Bravo ! belle prise ! et tu t'es bien amusé avec lui ? " Sa main court le long des flancs de Florian, se perd dans la fourrure puis il saisit une fesse et glisse dans la raie cherchant le fion où il fiche un ou deux doigts avec un nouvel éclat de rire : " bien, celui-là est bien souple, bravo pour la mise en service, mon frère. "
Il recule alors et arrache son tee-shirt pour faire saillir ses pecs cultivés en salle de sport. Approchant de Florian, il le saisit par la nuque pour se faire sucer les tétons puis lui frotte le visage sur son torse, lui fait sentir ses aisselles que Florian lèche subrepticement. Mais ce n'est pas ce qu'Omar a dans la tête. Le lâchant à nouveau, il se retourne et baisse son jogging sur son cul rebondi, noir, luisant, lisse et partagé par une raie plus claire. Il recule et saisit la tête de Florian pour se faire lécher la rosette. Il secoue sa prise pour en redemander, grogne un coup puis se retire d'un coup et se retourne face à Florian pour exhiber sa queue bandée triomphante. Bras écartés, il opère des torsions du bassin pour la faire battre latéralement comme un bâton qui fend l'air puis, écartant les jambes et demie fléchies, il roule des hanches pour la faire sauter de haut en bas et claquer contre son ventre. Il rit ! Omar aime se montrer et rit de ses exhibitions. Il montre volontiers sa queue pourtant ni très longue ni très grosse : le gland est petit, pointu, circoncis sans bourrelet et le manche très foncé et parcouru de grosses veines, s'évase ensuite brutalement jusqu'à la base. C'est un outil respectable dont Omar est très fier. Il la saisit à pleine main et s'approche du visage de Florian qu'il biffle pour montrer combien elle est tendue et ferme puis il fourrage dans sa barbe blonde. Celui-ci ouvre la bouche et tente de la saisir et Omar lui abandonne pour quelques léchouilles avant de lui fourrer la bouche à quelques reprises. Il rit... mais ce n'est pas cela qu'Omar a en tête.
Omar contourne Florian toujours attaché par le poignet et lui flatte le cul, moitié caresse, moitié fessée. Il pose sa queue sur les fesses blanches à poils blonds et, une fois encore il rit du contraste, il vrille son bassin pour la faire glisser sur ce cul, puis dans la raie et la passe entre les cuisses sous les couilles. Puis lui redonnant sa position verticale, il l'applique dans la raie et pèse sur Florian qui résiste, il tend la main vers moi et demande un caoutchouc, déroule la capote sur son membre, crache à la raie et étale sa salive en pointant de l'autre main. Une fois engagé, il écarte les fesses à deux mains et pousse lentement, régulièrement jusqu'au pubis. Florian respire fort. Omar imprime des mouvements latéraux à son bassin, puis de haut en bas... puis un violent coup de rein qui soulève Florian avec un petit cri. Mais il s'en fiche, Omar.
Il lui attrape le bras libre pour le tordre en arrière et Florian en se cambrant laisse Omar le fourrer à fond d'un ultime coup de reins, avec un " yeah ! " de satisfaction. S'ensuit alors une volée de grandes glissades alternant avec des coups rapides qui laissent Florian écrasé au lit. Omar coulisse alors légèrement en arrière en matant sa queue qui dilate l'anneau blanchi sous l'assaut. Il me dit " remonte-le un coup pour voir s'il est détendu " et il décule pour me laisser la place. Moi, ce spectacle m'a remonté la gaule et je m'empresse de pointer ce joli cul que je ramone sans complexe, puisque c'est ce que Florian veut ! Omar approche et sourit, il tend la main pour toucher ma queue qui lime et il semble... vouloir ajouter un doigt qu'il a soigneusement lubrifié. Puis son doigt entoure ma queue et détend un peu plus le fion déjà dilaté tandis que je poursuis les va-et-vient. Il a une idée derrière la tête, Omar !
Omar me sourit d'un air complice : " détache-le pour qu'il monte à dada sur toi ! " Je me place bien calé sur le dos, Florian m'enjambe et je le maintiens par le bassin. Il plie ses jambes pour descendre sur mon pal dressé qui l'attend et il l'engloutit sans effort. Dès que mon dard lui a embouché le cul, Omar se colle dans son dos, vient coller son gland contre ma queue et imprime un bref mouvement vers le bas puis remonte pour fourrer Florian en double. Si Florian a été surpris par la brusquerie, il n'a trop rien dit encore, mais Omar cherche maintenant à le pénétrer davantage à petits coups de lime. Nos queues sont jumelles et les mouvements d'Omar nous font avancer en dilatant Florian qui commence à râler doucement puis de plus en plus fort. Sa croupe est cassée vers l'arrière et ses tétons pointent vers moi qui les mordille tour à tour. Je le sens qui frissonne alors qu'Omar poursuit sa pénétration avec de plus en plus d'aisance. Soudain Florian est parcouru de soubresauts qui pressent nos queues en saccades. C'est alors que j'éclate et lance ma sauce à jets puissants tandis que Florian répand la sienne sur moi. Omar dégage la situation puis il part d'un grand rire et dit juste : " à moi maintenant ! " Il met Florian en place sans ménagement, lui écarte les jambes pour avoir la cible à hauteur et semble dessiner sur la croupe blonde avec sa queue qu'il tient à pleine main, puis il pointe et s'enfonce doucement jusqu'à la garde, se retire d'un coup avant de replonger doucement, puis encore, puis de plus en plus vite. Il tient fermement le cul de Florian entre ses mains et le ramone souplement en faisant claquer son ventre contre le cul blond. D'un coup, il se retire et renverse Florian sur le dos, lui relève les genoux aux épaules et lui caresse sa rondelle maintenant ourlée et colorée ! Il rit et se remet en position tenant Florian par ses jambes pour lui imprimer un mouvement de bascule quand il le pénètre. Florian roule de la tête, en orgasme dépassé, mais Omar ne rit plus ! Il lime ! Comme un métronome, comme un forcené, il plante sa queue dans la rondelle et la pilonne avec des grognements de plus en plus rauques et, d'un coup, il écrase Florian sous lui, planté au fond, bassin en avant, secoué de spasmes, inondant Florian qui geint. Il s'ébroue, se retire, et retirant la capote, se fait nettoyer la queue gluante par Florian qui la lèche, la suce, l'engloutit. Omar rit et se tourne vers moi : " il est tard, mais si tu me le prêtes, j'ai deux ou trois copains qui se feront plaisir avec lui ". Je détache Florian et lui dis " choisis ! " Il ramasse ses affaires et me plante un smack avant de disparaitre derrière Omar.
Moi, vidé, je rejoins la douche et reste longuement sous l'eau chaude. Puis je vais m'allonger sur le canapé, enfin détendu !
Amical72
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