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Après m'avoir dépucelé la queue sous la douche, François revient vers moi avec le sourire carnassier du chasseur. " À nous deux " et il me saisit par le bras en m'entraine dans ma chambre. Il attrape ma tête à deux mains et se jette sur ma bouche qu'il envahit de sa langue. Il l'agite, la tourne, retourne, enroule, pointe, écrase... et entraine ma propre langue dans un baiser voluptueux et sauvage qui me laisse suffocant quand il se retire, toujours souriant. Sans me lâcher, il commence alors à me lécher, depuis une oreille dont j'ignorais qu'elle puisse être source de tant de sensations, jusque dans le cou puis descend sur mon torse pour gober mes tétons alternativement. Il relève mon bras et me détrempe l'aisselle où sa langue dardée joue aussi de la pointe et il s'afflige de me voir frissonner : " Tu n'aimes pas ? " Mais j'en redemande plutôt, impatient de retrouver certaines caresses dont il m'a déjà gratifié. Il rit et me lèche le nombril et les abdos en suivant leur dessin. Moi je me contracte pour dresser ma bite, dans l'impatience de le voir s'en saisir. Il glisse sa main, doigts écartés dans mes poils pubiens et vient enserrer mon paquet, tendant ma bite et mes boules qu'il caresse et pétrit de son autre main, en crachant dessus pour lubrifier. Il me demande si je sais que j'ai une belle queue : " elle est bien droite et ce gros gland, là, est à croquer " et il y applique ses lèvres en ventouse pour l'aspirer en le décalottant. Il le lèche, le tète, l'enveloppe de sa langue et ajoute : " hum tu sens bon le jeune mâle en rut. " et il commence à coulisser sur ma hampe dressée dans un baiser humide et aspirant qui m'envoie des ondes depuis les reins jusque dans tout le corps. Il jubile.
Il gobe mes couilles une par une, les fait rouler et, d'un coup, me rabat les cuisses aux épaules de ses deux bras pour m'ouvrir la raie où il balade un doigt léger, puis une langue grasse. Elle se fait plus pointue sur ma rosette qu'un réflexe me fait contracter fébrilement. Il en joue, la lèche à petits coups pointés, la caresse avec légèreté d'un doigt humide et, d'un coup, revient avaler ma queue qui pleure. Puis il se place sur le côté en poursuivant sa pipe redoutable et, à mon tour, j'ai sa bite dressée devant moi. Elle est très droite, parcourue d'un réseau de veines saillantes et à l'extrémité de son gland bien décalotté, une perle de liqueur luit. Je l'attrape timidement et je caresse le manche à la peau douce et fine puis je tends la langue pour écraser cette goutte dont le gout douçâtre me rassure et je prends alors le gland entre mes lèvres, puis doucement en bouche, découvrant son odeur plaisante, le grain de la muqueuse, la fermeté sous ma langue et je commence à le suçoter. Je m'aperçois alors que François a suspendu ses mouvements et je m'immobilise avec sa queue en bouche. Il reprend alors ses agaceries, enveloppant ma queue de sa langue puissante pour ensuite la prendre en bouche comme dans un fourreau et je comprends qu'il m'ouvre les portes d'un dialogue de sensualité et de patient respect. Mon nez s'enfonce dans ses poils blonds et raides quand je lèche et pompe sa belle queue avec délectation autant qu'il me procure des plaisirs de plus en plus conscients et raffinés. De nouveau, il m'ouvre les cuisses et, après avoir roulé en bouche mes deux couilles, parcourt mon périnée de sa langue et s'attaque à ma rosette qu'il lèche et mouille d'abondance en la caressant de son doigt qui tantôt me masse tantôt m'effleure. Mais je ne parviens toujours pas à vraiment me desserrer et, à son tour, il relève les cuisses et m'offre sa raie semée de ses poils drus. Sa rosette palpite et laisse échapper des traces de mon foutre. Je la parcours de ma langue avec de plus en plus d'insistance, découvrant les gouts et les douceurs de sa rondelle. Il frémit lorsque je la perce de la pointe de ma langue, m'arrête et me dis " viens en moi ".
Il me renverse sur le dos, relève mes bras par-dessus ma tête et s'assois sur moi. Repoussant son cul vers mes jambes, il relève ma queue, se cambre pour la faire coulisser contre ses fesses puis se soulève, l'écoute claquer sur mes abdos et se rassois dessus. Il enroule son dos et piège ma tige entre ses deux globes. Il a plongé son regard dans le mien et je suis captif de sa volonté. Sa main passe dans son dos, saisit mon paquet qui s'est rétréci, glisse sur mon périnée et son doigt teste à nouveau mon trou du cul toujours serré ; il rit, se dégage, attrape le lubrifiant et l'étale sur ma bite en me disant " toi, tu me prépares le fion ". Il appuie sur mes doigts en précisant qu'il faut graisser les deux parties pour que tout soit fluide. Une de ses mains empoigne ma queue dont il se caresse la raie jusqu'à ce qu'elle trouve sa place dans le creux de son oeillet où il la plante d'un mouvement qui se prolonge doucement et je sens que mon gland est en lui. Il procède alors par de longues et profondes expirations et je sens ma bite dure comme l'acier progresser lentement en lui comme un doigt dans un gant étroit, humide, doux et parcouru d'ondoiements. Je suis tout entier à ces sensations et je laisse mes mains courir dans sa fascinante fourrure, effleurant ici ses tétons et là ses fesses fermes. Puis je sens qu'il écrase ma touffe et il se relâche petit à petit : " putain, tu sais que tu as une grosse queue toi ! " Il prend appui sur mon torse en ondulant légèrement du bassin, ferme les yeux et murmure " oui, c'est bon maintenant ". Il me regarde " et pour toi ? " et il remue souplement.
Puis il se désengage, se retourne et, à quatre pattes, écarte ses jambes solides et ses fesses à deux mains pour me montrer son fion qu'il vérifie en y faisant coulisser deux doigts et où il m'invite en attirant ma queue qui crève d'envie de s'y fourrer. Il me dit " maintenant, encule-moi, profond, longtemps et fort ". Debout contre lui, je pousse et ma queue trouve tout de suite l'axe, il rugit, je ralentis, il serre son cul puis le détend. Et je continue à le pénétrer. Il dit " mets-moi la bien profond et lime, y a que comme ça que tu peux me fourrer à fond " et, quand il ouvre sa fente à deux mains, j'écrase mes poils dans sa raie. Il passe la sienne par en dessous et vérifie en me prenant les couilles. Son doigt luisant de lubrifiant dérape et, pour la première fois, se fiche dans mon oignon, provoquant un éclair d'orage en moi. Je me retire pour me libérer de son doigt et j'amorce le limage, timide au début puis de plus en plus ample. Je sens son anneau se serrer quand mon gland s'approche de la sortie et se détendre immédiatement quand je pousse. Il pousse alors en sens inverse et mon ventre claque de plus en plus fort contre son cul, il rythme les coulissements d'encouragements et je sens que je monte encore, et encore... Il s'enfonce et me bloque au profond : " respire ! "
Puis quand j'ai retrouvé mon souffle, il se dégage, se retourne sur le dos, relève son bassin et me dit " viens, je veux te voir jouir " Ma bite plonge dans son oeillet épanoui comme dans un bain de douceur et de fermeté. Je le tiens par ses cuisses qu'il a relevées et je vois qu'il bande à nouveau. Il me dit " tu vas me faire jouir, petit enculeur, lime-moi encore le cul ! ", mais rapidement, il part en longs jets de foutre qui nous éclaboussent tandis qu'à mon tour je décharge dans son cul au rythme des spasmes de son orgasme. Il m'a entouré de ses jambes et me caresse avec ses mains pleines de son sperme. Je débande et il me guide pour remplacer ma queue molle par mes doigts tandis que le sien se faufile dans mon cul et me masse doucement en m'apportant des vagues de frissons. Mes doigts caressent son fion détendu dans le foutre qui glisse hors de lui, il sourit : " jamais plus sans capote, promis ? " Il me demande de lui lécher la queue puis de l'embrasser et c'est terriblement sensuel. Il se relève, puissant comme un taureau, me pousse au mur, se colle à moi couvert de foutre, me roule une pelle, et me dit " n'aies jamais honte de ton plaisir quand il est partagé... et là, t'étais bon ". Il me sourit, me claque le cul, tire sur ma bite en me disant " hum ! elle va en rendre une heureuse ! je nique comme jamais, quand j'ai été bien niqué " et il ajoute " à la douche, ensuite tu me rangeras un peu cette chambre "
Il est redevenu un patron.
Amical72
amical072@gmail.com
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