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Chapitre 6
Salut,
Comme je vous l’ai raconté dans le premier chapitre, Cédric, le fils du nouveau compagnon de ma mère, m’a pris en flag en train de me branler. Quelques jours plus tard, en plein confinement, je l’ai retrouvé sur mon lit, nu, où il m’a demandé de le sucer. De fil en aiguille, il m’a sodomisé. Et je dois avouer que j’ai beaucoup aimé... et je peux vous dire que depuis, j’en profite. On baise sans arrêt. Un jour, il a même amené son mec et on a baisé ensemble. Un autre jour, nous avons baisé avec son pote Ibrahim. Mais j’ai remarqué qu’avec le retour des beaux jours, Cédric sortait beaucoup. Je me doutais qu’il devait beaucoup baiser avec d’autres mecs. Et un jour, je l’ai surpris en train de se faire baiser par un black... ce qui m’a bizarrement chamboulé et je me suis mis à pleurer. J’ai alors compris que j’étais amoureux de Cédric, mon demi-frère, une grosse chaudasse qui baisait avec tout ce qui bougeait... J’ai donc décidé de me faire une raison et de reprendre mes plans. Après m’être fait baiser par un beau black, Cédric s’est montré jaloux... et j’ai compris qu’il était aussi amoureux de moi. On s’est embrassé... et depuis il est comme métamorphosé... Il est très câlin et il me promet de quitter son copain actuel. Cependant, il m’a fait une révélation qui m’a un peu chamboulé : il baise régulièrement avec mon père.
Cette annonce m’a fait l’effet d’une bombe. Je ne me sens plus, c’est comme si j’avais quitté mon corps. Cette salope de Cédric baise avec mon père ! Il ne pouvait pas le laisser tranquille. Il y a des millions de mecs en France et c’est mon père qu’il devait baiser ? Mais attends... mon père baise avec des mecs ? Voyant mon trouble, Cédric me demande si ça va. Je n’arrive à répondre qu’une minute plus tard :
- Et pourquoi mon père ?
- Je sais pas... Ça s’est fait comme ça...
- Raconte s’te plait, murmuré-je
Et Cédric commence son récit :
« Je sais que ton père a été fidèle à ta mère. Mais leur mariage battait de l’aile et elle l’a quitté il y a déjà 10 ans. Puis, elle a rencontré mon père. Très vite, on s’est retrouvé à habiter ensemble. Mais c’est il y a 2 ans que tout est arrivé. Tu te rappelleras que pour ton bien, tes parents voulaient se retrouver pacifiquement l’été pendant une semaine afin que tu ne les vois pas ensemble seulement au moment des fêtes. Idée qui n’a jamais vraiment plu à mon père.
Cette été-là, nous étions à Narbonne-Plage. J’ai vite remarqué sur la plage que ton père ne matait pas seulement que les culs des meufs... mais aussi le torse des mecs... et leur paquet. Au début, je ne pensais pas que c’était possible... Puis, je me suis rendu compte que ça devenait très évident ! Et il me semblait même qu’il passait beaucoup de temps à admirer mon corps musclé. Je savais qu’il ne s’était pas remarié depuis le divorce... Et moi, je n’ai pas pu résister quand l’occasion s’est présentée.
Un soir, je suis passé devant sa chambre et j’ai entendu des bruits faibles. J’ai collé mon oreille contre la porte et j’ai bien entendu de bruits de baise. Ton père était en train de regarder un porno. Et j’ai vite compris que c’était un porno gay, je n’entendais que des gémissements de mecs. J’étais trop en manque, je n’avais pas baisé depuis notre arrivée. Je suis alors entré à l’improviste et j’ai vu alors qu’il matait bien un porno où deux beaux gosses musclés étaient en train de baiser. Surpris, il a fermé l’écran de son ordi portable et il a recouvert sa bite de ses draps. Il m’a regardé, effaré, alors que j’allais m’assoir à côté de lui sur le lit. J’ai pris l’ordi de ses mains sans qu’il oppose de résistance et j’ai trouvé le porno qu’il regardait... intitulé : « Young fucks old ».
J’ai souris, je me suis levé et j’ai ôté mes habits. Je me suis retrouvé complètement nu devant lui.
J’étais mince, musclé sec avec des épaules assez larges et des biceps bien développés. J’avais un corps en V, avec un torse musclé : mes pectoraux étaient bien apparents... et des tablettes de chocolat. A l’époque j’avais des cheveux châtains courts. J’avais déjà quelques tatouages sur le torse et les mollets. J’avais une queue de 18 cm et mes couilles étaient grosses et assez foncées. J’avais un corps complètement épilé.
Ton père, Jean-Pierre, est sorti de son admiration de mon corps et il a dit :
- Mais qu’est-ce que tu fais ?
- J’ai envie de cracher !
- Et alors ?
- Suce-moi, Jean-Pierre !
Je me suis mis à le tutoyer. Et après un temps d’arrêt, il s’est approché de moi et il a pris ma bite en main. Je l’ai laissé faire. Il s’est mis à me branler la queue. Puis, il l’a prise en bouche. Il l’a enfoncée de moitié et il s’est mis à me sucer. Il se débrouillait pas mal. Je lui caressais la tête pendant ce temps pour l’encourager. Mais après quelques minutes, je me suis levé et je lui ai pris sa tête dans mes mains. Je me suis mis à lui baiser la bouche. Ma bite allait et venait et j’en faisais enfoncer toujours un peu plus dans sa gorge. Ensuite, je l’ai fait mettre sur le dos sur le lit. Je suis passé au-dessus de lui et j’ai baisé sa bouche. Mes 18 cm s’engouffraient entièrement dans sa gorge.
Puis, je suis sorti de sa gorge et je l’ai regardé. Il était encore tout habillé. Je lui ai ordonné de se désaper. Il a obéi.
Jean-Pierre avait 50 ans. Il avait des cheveux châtains et une calvitie bien développée. Il était assez mince. Il avait de beaux petits tétons pointus. La musculature de ses bras et de ses jambes était assez développée. Il avait 17 cm entre les jambes. Son ventre était recouvert de poils noirs, tout comme son pubis, ses jambes et ses avant-bras. Son pubis était très touffu. Il avait de petites couilles poilues.
Je suis passé derrière lui et j’ai admiré. Il avait vraiment un beau petit cul musclé et bombé. Je me suis mis à lui caresser les fesses et il a commencé à pousser de petits gémissements.
- Putain, t’as l’air d’être une bonne salope, toi !
Mes doigts se sont faufilés dans sa raie et mon index a effleuré son anus. Puis, il est rentré lentement en lui. Jean-Pierre ne bougeait pas. Je n’en revenais pas ! J’étais sur le point de baiser l’ex-mari de ma belle-mère...
Je trouvais son cul bien serré. J’ai alors plongé ma tête entre ses fesses, j’ai sorti ma langue et je la lui ai enfoncée dans son anus. Je lui ai alors bouffé le cul. Mes léchages le faisaient bien gémir.
Après quelques minutes, je me suis relevé et j’avais devant moi ce cul. Jean-Pierre m’offrait son trou comme une femelle. J’ai alors écarté ses fesses et j’ai posé mon gland sur sa rondelle. Je m’y suis enfoncé sans capote, lentement. Il gémissait tandis que ma queue progressait dans son antre. Arrivé au fond de son cul, je me suis mis à faire de légers va-et-vient.
Très vite, j’ai posé mes mains sur ses hanches et je me suis mis à le défoncer. Son trou était vraiment serré.
- Ta queue est vraiment trop bonne, Cédric. Baise-moi plus fort !
Je savais que je ne pourrais pas retenir mon éjaculation très longtemps mais je me suis mos à le limer bien fort. Je pilonnais son anus, allant très loin au fond de son cul. Il retenait de gémir en enfonçant sa tête dans son oreiller.
Très vite, je me suis bien vidé en lui. Puis, je me suis couché à côté de lui. Il s’est posé à côté de moi, il s’est branlé et il a juté de beaux jets sur son ventre. Il a repris son souffle et il m’a dit :
- J’ai toujours rêvé me faire sodomiser par toi. Tu es comme je le pensais... Un beau et jeune étalon !
Au bout de quelques minutes, je suis sorti de sa chambre, le laissant sur son lit s’endormir, le trou dégoulinant de sperme.
Le lendemain, au petit-déjeuner, il fuyait mon regard. Mais moi, j’avais trouvé ma pute. Il est sorti tout seul à la plage le matin. Nous avons tous mangé ensemble et l’après-midi, Jean-Pierre est parti à la sieste J’ai fait genre que moi aussi mais je me suis faufilé dans sa chambre en lui disant :
- Je me ferais bien sucer...
J’ai baissé mon short et Jean-Pierre a engouffré ma bite en bouche, sans broncher, en obéissant docilement. Je me suis mis à la lui baiser et après 5 minutes, j’ai joui dans sa gorge de gros jets. Le cochon a tout avalé. Puis, je suis parti dans ma chambre.
A partir de ce moment-là, la situation était plus détendue. Mais je profitais de chaque moment pour me vider dans sa bouche ou dans son cul. La chaleur de l’été me mettait vraiment en rut... mais aussi le fait de savoir que j’avais le cul du père de mon demi-frère à disposition ! Je me faufilais presque chaque nuit dans sa chambre. Mais pas que. Lors de promenades ou lorsqu’il prenait sa douche ! Toute occasion était bonne. Ça m’excitait énormément de baiser à côté de la chambre de son ex-femme et de son fils. J’avais fait de ton père ma femelle.
Voilà comment j’en suis venu à baiser ton père. »
Cédric a donc terminé son histoire. Je dois dire que son récit m’a rendu jaloux. Je suis aussi fou de rage ! Je ne sais pas si j’arriverai à lui pardonner ! Cette salope baise tout ce qui bouge ! Même mon père ! Mon propre père !
N’en pouvant plus de cette situation intenable, je sors comme une furie de la chambre, les larmes aux yeux, je prends une veste et je me précipite dehors ! Cédric essaie de me rattraper, mais je suis déjà en voiture et je pars. J’ai un but précis en tête...
A suivre...
Merci à David pour ses idées... et j’espère que tu apprécieras ton cadeau de Noël.
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
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