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Chapitre 7
Salut,
Comme je vous l’ai raconté dans le premier chapitre, Cédric, le fils du nouveau compagnon de ma mère, m’a pris en flag en train de me branler. Quelques jours plus tard, en plein confinement, je l’ai retrouvé sur mon lit, nu, où il m’a demandé de le sucer. De fil en aiguille, il m’a sodomisé. Et je dois avouer que j’ai beaucoup aimé... et je peux vous dire que depuis, j’en profite. On baise sans arrêt. Un jour, il a même amené son mec et on a baisé ensemble. Un autre jour, nous avons baisé avec son pote Ibrahim. Mais j’ai remarqué qu’avec le retour des beaux jours, Cédric sortait beaucoup. Je me doutais qu’il devait beaucoup baiser avec d’autres mecs. Et un jour, je l’ai surpris en train de se faire baiser par un black... ce qui m’a bizarrement chamboulé et je me suis mis à pleurer. J’ai alors compris que j’étais amoureux de Cédric, mon demi-frère, une grosse chaudasse qui baisait avec tout ce qui bougeait... J’ai donc décidé de me faire une raison et de reprendre mes plans. Après m’être fait baiser par un beau black, Cédric s’est montré jaloux... et j’ai compris qu’il était aussi amoureux de moi. On s’est embrassé... et depuis il est comme métamorphosé... Il est très câlin et il me promet de quitter son copain actuel. Cependant, il m’a fait une révélation qui m’a un peu chamboulé : il baise régulièrement avec mon père. Il a tenu à me raconter comment il en est venu à ça... Son récit m’a rendu jaloux... et fou de rage. J’ai immédiatement quitté la maison avec un but précis en tête...
J’entre dans un bar et je réfléchis à tout ce que je viens d’entendre. Cédric, le mec dont je suis amoureux, a dragué et baisé mon père. Je suis super en colère. Cette colère a commencé quand il a raconté leur première fois (voir le chapitre 6). Mais je dois avouer qu’il n’y a pas que la colère... je ressens aussi de la jalousie. De me dire que mon homme a embrassé mon père... qu’ils se sont enlacés... qu’ils ont baisé ensemble. Je me mets à imaginer ses 18 cm qui rentrent dans le cul de mon père... et qu’il se met à le baiser. Quelle salope ! Je suis vert de jalousie ... et rouge de rage.
Je commande immédiatement un alcool fort et je commence à me la mettre minable. Au bout d’une heure, je suis bien éméché. Pendant ce temps, Cédric est mort d’inquiétude et il se met à la recherche de son demi-frère. Il prend la voiture de son père et il va dans un bar du centre-ville, sachant que je suis un fidèle de cet endroit. Mais je n’y suis pas. Cédric se met à éprouver des remords. Il s’avoue à lui-même qu’il éprouve de fort sentiment pour moi... et qu’il aurait dû être plus tôt à l’écoute de son demi-frère au lieu de baiser tout ce qui bouge... Mais il ne peut pas faire autrement... c’est la seule façon qu’il a de compenser le stress de sa vie. Cependant, il s’en veut d’avoir blessé son « amoureux ». Oui, il doit s’avouer à lui-même qu’il l’aime et qu’il ne veut pas le perdre. Il se rend alors malheureusement compte que je ne suis pas dans mon bar préféré. Il reprend le volant et il essaie un autre lieu.
Moi, je suis dans un bar gay. Et au bout de 2 heures, un mec finit par m’aborder et par me demander si ça va.
- Non. Mon copain me trompe et il a même couché avec mon père...
- Un vrai connard ! Et toi, tu es si mignon... Comment il a pu oser te faire ça ?
Je regarde l’inconnu qui me parait immédiatement sympathique. Il a dans la quarantaine, il a les cheveux châtains, il a un bouc. Il semble assez musclé. Nous parlons, il finit par me prendre dans ses bras et moi, sous l’effet de la tristesse et de l’alcool, je me blottis contre son torse. Et au bout de 30 minutes, on commence à s’embrasser. Il m’offre une tournée et nous trinquons à notre liberté. Je lui roule une grosse pelle. Il finit par me murmurer à l’oreille :
- On va chez moi ?
Je veux répondre « oui », quand un mec s’approche et tape du poing sur la table.
- Tu es là ? Je t’ai cherché partout !
Je lève les yeux : c’est Cédric.
- Viens, on rentre.
- Non, laisse-le tranquille, il ne veut plus te voir, intervient le beau mec qui m’embrassait il y a quelques secondes plus tôt.
- Ta gueule ! Fous le camp avant que je te mette la misère.
Je vois les poings de Cédric serré et je connais sa prédilection pour la violence. Je dis au mec :
- Ça va aller, t’inquiète. Merci. A une prochaine peut-être.
Je viens d’éviter une bagarre dont j’aurais été la cause... Mon égo gonfle à cette idée.
- On rentre ?
- Oui.
Je laisse la voiture avec laquelle je suis venu, je ne peux pas prendre le volant. Cédric me dit au bout d’un moment :
- Je suis désolé. Je ne voulais pas te blesser... Mais je vais arrêter mes conneries... pour toi !
Nous arrivons à la maison et nous nous enfermons dans la chambre de Cédric. C’est alors qu’il m’avoue :
- Je t’aime, Nico ! Je ne veux pas te faire de mal... et je me suis rendu compte que je voudrais être fidèle... pour toi !
- Tu ne tiendras jamais !
- Si ! Je vais te l’éprouver !
- Attends, tu as dit quoi ?
- Je serai fidèle.
- Non en premier !?
- Je t’aime ?
Je le regarde droit dans les yeux où des larmes montent. Je me précipite alors sur lui et je l’embrasse. Tout d’un coup, les vêtements volent. On se roule des pelles de malade. Et soudainement, je plaque sa tête contre mes tétons. Cédric se met à me les mordiller. Je bande comme un dingue ! Je le fais descendre vers ma bite et il la prend en bouche. Il commence à la sucer... Très vite, je mets ma main sur sa tête et je lui impose le rythme de suce. Mais je suis excité à mort ! Je lui baise alors la gueule. Je lui fais faire des gorges profondes. Cédric supporte bien.
Puis, je le fais mettre sur le dos et je mate son trou avec envie tout en branlant ma queue. Une envie de le baiser me prend... Cédric écarte alors les fesses et je commence à enfoncer mon gland dans sa bouche. Ma bite s’enfonce comme dans du beurre. Je crache un peu sur l’anus pour faciliter la pénétration. J’y vais quand même doucement, malgré l’envie de le défoncer. J’arrive finalement au fond de son cul et alors je me mets à faire des allers-retours.
- Putain ! T’es trop serré !
Une envie sauvage me saisit et je le pilonne à fond. Cédric halète de plaisir. Puis, je le mets sur le dos et je le baise à fond. Mes couilles frappent sa raie avec violence. Cédric m’attire vers lui et nous nous roulons des pelles. Il aime se faire traiter comme ça ! Il plaque ses mains sur mon cul pour que j’aille encore plus au fond. Mon envie bestiale se multiplie et je me défoule dans son trou. Ses jambes sont plaquées contre mon torse. Lui ne peut pas retenir ses gémissements. Heureusement que nos parents ne sont pas là. J’adore, je le possède. Mes mains caressent et agrippent son beau corps musclé. Dire que Cédric m’aime ! Un mec comme ça ! Si beau... si bien foutu ! Mes pensées dérivent... Et très vite, je jute dans son anus. Je sens de longs jets qui vont frapper le fond de ses entrailles. J’ai l’impression que mon orgasme dure pendant un long moment. Je le remplis bien. Quand je ressors de son anus, je lui dis sur un ton vainqueur :
- Je t’ai marqué ! Tu m’appartiens maintenant ! Tu es à moi !
Cédric m’attire vers lui et il m’embrasse passionnément. Nos langues se mélangent, nous partageons notre salive. Je me penche alors sur sa bite et je la suce tout en la branlant. Dans un grand cri, il me remplit la bouche de son jus. Plusieurs jets épais et puissants se déversent directement dans ma gorge. Je me relève et je lui roule une grosse pelle.
- Je t’aime, Nico.
- Moi aussi, mon Cédric.
On se couche à côté l’un de l’autre et nous nous faisons de gros câlins. On s’endort très vite après cette journée mouvementée.
Merci à David pour ses idées.
A suivre...
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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