Premier épisode
Je mets un peu de temps à reprendre mes esprits. J’avais rarement joui comme cela.
Mes poignets me font un peu mal. Les menottes du 17e siècle ne sont pas des plus confortables. Je cherche autour de moi pour trouver le trousseau de clés laissé par Mathieu pour libérer mes chevilles.
Après quelques minutes à comprendre comment ouvrir ces vieilles menottes, j’arrive enfin à me détacher. Je rassemble mes vêtements mais je me rends compte que Mathieu les a découpés. Tant bien que mal j’arrive à me faire un pagne avec les restes de mon t-shirt, je n’ai aucune envie de croiser quelqu’un dans la maison à poil.
Je me suis enfin habitué à la pénombre de l’endroit. Il ne reste plus qu’à retrouver l’escalier. Cette cave est un véritable labyrinthe avec de nombreuses pièces, des anciens cachots probablement, des salles voutées qui devaient servir pour stocker des réserves, des couloirs étroits. Je me dis que c’est un beau terrain de jeu pour les amateurs de SM ou les amateurs de grands crus… c’est selon.
Après avoir visité le sous-sol en long et en large je finis par trouver un escalier caché dans un renfoncement. Je monte rapidement et je tombe sur une porte évidement fermée. J’essaye les clés du trousseau les unes après les autres jusqu’à trouver la bonne. Je pousse la porte et j’entre dans une pièce dont les parois sont faites de miroirs. J’en profite pour observer mon corps sous tous les angles. Les années de sport sont encore là. Mes pecs sont superbes, mes abdos légèrement dessinés, la poussière de la cave et mon pagne fait maison me donnent un côté aventurier. J’observe mes belles jambes, mes mollets fins et mes cuisses fermes. Je me trouve beau. Je vois une bosse se former. Mon pagne ne contient pas mon érection, ma bite s’échappe du morceau de tissu attaché à ma taille. 17 cm. Une jolie queue bien droite, bien dure. Pas la plus grosse, mais d’une belle épaisseur, parfaitement uniforme et légèrement veinée. Elle me plait. Si je pouvais me baiser je crois que je le ferais.
Un bruit dans la maison me sort de mes pensées. Il faut que je retrouve Mathieu. Je bande toujours mais au point où j’en suis, ca n’a plus d’importance.
Je sors sur un couloir et je retrouve le grand salon et la cuisine. Par la fenêtre j’aperçois la pergola dans le jardin, fermée par des rideaux légers en lin clair. Je sors et me dirige vers la pergola.
Je soulève le rideau et je découvre une table recouverte d’une nappe blanche. Sur la table Mathieu est allongé, nu, les jambes remontées et écartées. Il a disposé sur son corps des grappes de raisin et des fruits rouges. La plus belle grappe est celle que je découvre entre ses jambes. Sa queue de 18 ou 19 cm se dresse fièrement. Il a deux grosses couilles bien pleines et parfaitement rasées. Mon regard descend vers son petit trou. Son cul est parfaitement épilé aussi et légèrement huilé. Ses deux globes fessiers ont l’air bien durs. Ses deux longues jambes repliées sont musclées et bronzées. La vision du corps de rêve de Mathieu me rend dingue. Le bout de tissu qui cachait ma bite tombe sur le sol. Je suis à poil, la bite dressée face à lui ou plutôt face à son cul.
- Avance lentement et ne t’arrête pas.
- Tu veux dire… ?
- Tu m’as compris, avance.
D’un pas lent je m’approche de lui. Je le vois contracter ses muscles et respirer fort. Je continue d’avancer. Il pose ses mains sur ses fesses et les écarte légèrement. Encore un pas. Mon gland complètement à nu touche sa rosette fermée et luisante. J’appuie légèrement. Son cul résiste. J’appuie un peu plus fort en faisant mine d’avancer. Mathieu respire encore plus fort et plus vite. Je continue d’appuyer. Mon gland s’enfonce doucement. Je le vois disparaitre et je sens la peau Mathieu se resserrer sur ma bite qui avance en lui. Ma queue est comme happée par la chaleur de son cul. Je suis presqu’au bout. Le visage de Mathieu grimace. Il a mal, mais pas un son ne sort de sa bouche. Je vois ses abdos et ses pecs se contracter et se relâcher, il souffle de plus en plus fort, son visage est devenu rouge. Je suis presque au bout. Encore un ou deux centimètres. Mathieu attrape mes mains.
- Embrasse moi putain, gémit il.
Je me penche vers son visage. Je pose mes lèvres sur les siennes. Ma langue passe entre ses lèvres et j’entame un baiser langoureux. Je sens que Mathieu s’habitue à ma bite. Tout en continuant à l’embrasser je la ressors légèrement puis l’enfonce à nouveau. Je recommence une fois, deux fois. Je sens que ma queue glisse beaucoup mieux.
- Baise moi.
Je me redresse, m’accroche solidement à ses cuisses et entame un va et vient lent et doux d’abord puis de plus en plus rapide, et de plus en plus brutal. Mon corps et mes couilles viennent frapper son cul violemment. Mathieu commence à gémir puis se met à crier.
- Vas y. Baise moi. Ca fait des mois que j’ai envie que tu me prennes le cul.
Je continue à le ramoner pendant de longues minutes jusqu’à ce qu’il m’attrape la tête. Il m’embrasse alors longuement pendant que je continue à le baiser. Je sens que ca monte. Il me regarde alors dans les yeux, comme un signe. Je me mets à jouir dans son cul, j’ai l’impression de sortir des litres de jus, au même moment je sens un liquide chaud se rependre sur mon ventre. Mathieu est en train de jouir lui aussi, les yeux ouverts presque révulsés. Je ne l’avais jamais vu comme ca. Je monte sur la table, je me colle à lui pendant de longues minutes. Et je ferme les yeux.
Nables
anthoine02@gmail.com
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