Cette fois j’avais vraiment décidé d’arrêter les dépucelages. Car c’est toujours un peu la même chose : des mecs sans expérience, très passifs car très en demande. Bref, une fois le fantasme passé ça finissait par devenir ennuyeux. Mais c’était sans compter Mathieu, mon pote qui lui ne se lasse pas des petits (ou gros) culs vierges.
- On va pas arrêter comme ça.
- Bah si. C’est bon, non ?
- Non. Il faut juste changer de tactique. Aller à l’efficace.
- Qu’est-ce que tu veux dire ?
- On met le mec à 4 pattes, tu l’ouvres, je le finis.
Toujours dans ce sens évidemment puisque ma queue est plus fine que celle de Mathieu.
- Et c’est tout ?
- Oui c’est tout. Tu le baises jusqu’au bout et tu jutes dans son cul pour qu’il se souvienne de son dépucelage.
- Et toi ?
- Comme t’as lubrifié la place, je passe derrière. Je le baise comme un bourrin. Je lui remplis le cul. Il prend deux saucées, et crois moi, il s’en souviendra toute sa vie.
- C’est pas un peu hard pour un dépucelage ?
Je prends toujours en considération la jeunesse de nos proies et surtout leur réticence potentielle devant un premier rapport un peu hard.
- Tu rigoles ? Ces mecs regardent des vidéos porno toute la journée.
- Tu crois ça ?
- Crois-moi. Les mecs qui t’écrivent pour se faire dépuceler ont déjà essayé de se foutre des doigts, des carottes ou même des courgettes dans le cul. C’est pas des anges.
- Tu crois que je prends trop de précautions ?
- Ce sont des queutards en devenir. Te pose pas tant de questions. Fais-leur le cul, point final.
Je reste un peu sans voix. Et d’un autre côté, je me dis que si tout le monde est consentant, il n’y a pas de problème. Mathieu voit mon hésitation.
- Montre-moi le dernier mail que tu as reçu.
J’ouvre mon ordi : « Bonsoir, j’ai lu ton histoire. J’ai un cul tendre et vierge.
Il peut être tout à toi si tu es doux. Je t’embrasse. Simon ».
- Tu vois il veut de la douceur.
- Nan il veut se faire défoncer. Il joue les petites prudes. Réponds-lui qu’on vient à deux.
Après tout… Je réponds donc au jeune Simon que nous pouvons nous occuper de lui à deux. Je commencerai en douceur, en revanche mon partenaire, lui, sera plus… direct.
Deux jours plus tard nous sommes dans le train en direction de Lille où réside Simon. Il est étudiant, vit dans un studio et nous attend. Vers 16 heures nous sonnons à sa porte.
- Salut.
Nous découvrons un studio propret, aménagé avec des meubles suédois bon marché, mais joliment arrangé. Simon n’est pas très grand ni très beau, mais il entretient son corps mince et sec. Une barre de tractions dans l’encadrement de la porte de la salle de bains témoigne des efforts quotidiens de l’étudiant.
J’ai envie d’engager la conversation mais Mathieu décide d’aller droit au but. Il baisse son pantalon et son caleçon laissant apparaître sa belle bite déjà bien en forme. Il me fait signe de faire de même.
- Regarde. On te montre nos bites, comme ça pas de surprise. La mienne est plus grosse, donc on va commencer par celle de mon pote. Tu vas te foutre à poil et à quatre pattes.
Simon nous regarde. Enfin, il regarde nos queues, que nous branlons gentiment pour les rendre parfaitement opérationnelles.
- Je peux toucher ?
Mathieu lève les yeux au ciel.
- OK vite fait alors. Et ensuite à poil.
Simon s’approche de moi d’abord et pose délicatement sa main sur ma bite. L’excitation et la caresse me font de l’effet et je bande très dur immédiatement. Mes 16 cm sont au garde à vous.
Il s’approche ensuite de Mathieu qui bombe le torse fièrement et fait bouger sa belle bite épaisse de haut en bas.
- Bon t’as évalué le matos ? Fous toi à poil.
L’étudiant commence par enlever son t-shirt laissant apparaître un torse parfaitement dessiné, sec. Un léger filet de poils noirs monte depuis son slip le long de ses abdos. Sa peau est très blanche, sans aspérités. Ses bras fins laissent apparaitre quelques veines le long de ses biceps. Il fait glisser son pantalon de jogging et nous montre ses jambes peu poilues, fines, avec des muscles tout en longueur joliment dessinés. Mathieu s’approche de lui et baisse son slip d’un coup sec. Sa bite est perdue dans une épaisse toison de poils noirs.
- Va falloir nettoyer un peu tout ca. Bientôt on verra plus ta bite avec tous ces poils.
Mathieu le retourne et lui fait une clé de jambe pour le mettre à terre. Simon tombe au sol, pris par surprise. Il me présente un peu malgré lui ses fesses bien blanches elles aussi, mais fermes comme le reste de son corps. Son sillon est encombré d’une grosse couche de poils noirs.
- Tu t’es même pas rasé le cul alors que tu savais qu’on venait. Ca va pas ca. Je mets pas ma bite la dedans moi !
Mathieu se tourne vers moi.
- Trouve moi un rasoir et de la mousse.
Dans la petite salle de bains je déniche tout le nécessaire. Et lorsque je reviens dans la pièce principale je vois Mathieu qui a bien écarté les fesses de Simon sur le sol et qui a commencé à lui couper les poils avec des ciseaux d’écolier.
10 bonnes minutes plus tard, l’étudiant n’a plus un poil entre les fesses, ni sur les couilles, ni autour de la bite.
- Voilà ! Un nouveau né. Y a plus qu’à huiler tout ça.
Simon se relève et regarde le résultat d’un œil un peu dégouté.
- T’inquiète pas ca va repousser. Aller à quatre pattes maintenant.
Simon se retourne et se remet à genoux. Il pose ses mains au sol. Mathieu sort de son sac un tube de vaseline et lui en passe entre les fesses. Il saisit ensuite ma queue qu’il tartine copieusement. Puis il la branle doucement pour la remettre bien droite. Quand il estime que je suis prêt il me regarde dans les yeux.
- Aller vas-y maintenant. Décapsule-moi ce jeune pd.
J’approche doucement du cul de Simon. Ma queue glisse facilement entre ses fesses jusqu’à son petit trou vierge. Pendant ce temps Mathieu s’est placé devant Simon et lui a introduit de force sa grosse queue dans la bouche.
- Comme ça tu crieras pas. Aller vas-y. Il est prêt.
Je pousse mon gland bien rose contre son œillet fin et vierge. Il résiste. J’insiste. Il résiste toujours. Je m’agrippe alors à ses hanches et avec un peu d’élan je le transperce d’un coup. Son corps se relève, il émet un râle long et grave. Mathieu me regarde.
- Continue. Ses yeux te supplient de continuer. Remplis-lui le trou. Faut que ca dégouline.
J’entame un va et viens assez lent.
- Plus vite, défonce-le.
J’accélère. Je m’agrippe à ses hanches. J’accélère encore. Je commence à transpirer. Je vois les fesses de Simon devenues bien rouges, son cou et son visage sont cramoisis aussi. Je continue mon va et vient frénétique, mes yeux dans ceux de Mathieu qui prend du plaisir à me voir baiser ce mec. Il continue de lui enfoncer sa bite dans la gorge par petit coup, histoire de lui sortir une larme ou deux.
Quand je sens que je vais venir, je fixe Mathieu :
- Je viens…
Et je décharge 6 ou 7 jets violents dans le cul de Simon. Je sors rapidement de son cul en continuant de juter, pour bien lui tapisser les fesses de mon jus blanc et épais.
Sans un mot, Mathieu vient prendre ma place et encule le jeune Simon immédiatement, sans lui laisser le temps de souffler. Le jeune étudiant se cambre d’un coup, électrisé de douleur. Mais Mathieu, d’une main sur son dos le remet à sa place, à quatre pattes. Il le défonce sans ménagement en sifflotant comme s’il s’agissait d’un ptit boulot sans importance. Le jeune Simon, lui, pousse des cris et des râles.
- Arrête de gémir, dis-moi que tu aimes ma bite et que tu en veux encore. Aller dis le, fait Mathieu de son ton le plus autoritaire.
- Oui ? fait-il doucement. Baise moi encore. J’aime ça.
Mathieu se tourne vers moi, qui suis comme hypnotisé par cette chevauchée sauvage.
- Tu vois. C’est ça qu’il voulait. Il en redemande. A peine ouvert, déjà une bonne petite pute !
Mathieu reprend alors de plus belle, jusqu’à faire hurler le jeune Simon, qui a joui deux fois sur le sol sans se toucher. Il le défonce avec de plus en plus de violence. Il l’insulte, claque ses fesses, jusqu’à s’arrêter net, pour lui remplir le cul sans laisser une goutte s’échapper. Mathieu jouit longuement. Le sourire aux lèvres. En silence. Au même moment le jeune Simon pousse un nouveau râle et sa queue expulse encore quelques jets de sperme bien blanc sur le sol.
Nables
anthoine02@gmail.com
Autres histoires de l'auteur :