Il y a quelques temps, j’ai publié ici une histoire et une annonce proposant de dépuceler ceux qui le souhaitaient. Ma boite mail a aussitôt été prise d’assaut. J’ai répondu à quelques mecs puis je suis passé à autre chose. En revanche mon pote Mathieu complètement excité à l’idée d’ouvrir des culs vierges, revient régulièrement à la charge :
- Tu as eu d’autres puceaux récemment ?
- Quelques-uns
- Et ?
- Un petit gros et un grand boutonneux, rien d’excitant.
- On s’en fout. C’est leur trou qui importe.
S’en suit une longue discussion sur l’excitation de dépuceler un mec, la non discrimination et le droit à chacun de prendre une bite dans son cul s’il en a envie. J’avoue que je me suis laissé convaincre, un peu honteux d’avoir jeté des mecs en détresse juste sur une considération physique. Bref Mathieu a réussi à me faire gober que nous avions une sorte de mission et que la future vie sexuelle de jeunes gays dépendait de nous.
- Ok je contacte le mec un peu enveloppé.
Deux jours plus tard je gare ma voiture en bas d’une résidence universitaire en banlieue parisienne. J’envoie un texto à Hugo, notre puceau, pour lui dire que nous sommes là.
- Vous ne pouvez pas monter tout de suite, il y a du monde. Les visiteurs sont interdits.
Je montre le sms à Mathieu.
- Il se fout de nous.
Mathieu saisis alors son sac de voyage sur la banquette arrière et en sort deux blouses blanches de médecin récupérées je ne sais où.
- Enfile ça. On passe n’importe où avec ça.
Deux minutes plus tard nous étions dans le hall de la résidence et Hugo nous faisait monter au deuxième étage.
Lorsque nous entrons dans sa petite chambre de 10 m2 fraichement repeinte en bleu lavande, nous découvrons un lit une place, un bureau, une chaise et un meuble de rangement. Sur une étagère Hugo a installé un petit réchaud et quelques ustensiles de cuisine. Le mur opposé est occupé par un lavabo, une tablette et un miroir surmonté d’un néon. Il nous explique qu’il y a des douches à chaque extrémité du bâtiment.
Hugo est assez grand, 1,80 m environ, et assez épais. Il a le visage poupin, dû au surpoids probablement. Son jean moule ses larges cuisses et ses grosses fesses. Il se dirige vers la fenêtre et baisse le store.
- Ici les voisins sont des voyeurs et les murs sont en papier. Il faut qu’on fasse ça en silence. Ne me faites pas crier ou utilisez ça.
Il nous montre sur le bureau un chiffon mis en boule posé à côté de deux préservatifs et d’une bouteille de gel lubrifiant. Le mec a tout prévu. Il a l’air bien sûr de lui.
Mathieu s’avance alors vers Hugo et le force à se mettre à genoux.
- Hey. Je veux me faire dépuceler pas vous sucer.
- Va falloir que tu nous excites et c’est toujours bien d’avoir eu en bouche ce que tu vas te prendre dans le cul.
Je baisse mon pantalon et sors ma queue encore flasque. Dix centimètres qui pendouillent sur mes couilles. C’est pas avec ça que je vais lui percer le cul.
Mathieu pousse la tête d’Hugo vers moi. Son nez s’écrase sur ma bite. Il lui ouvre la bouche et je dépose ma queue encore molle sur sa langue. Pendant que Hugo me taille une pipe pas très concluante, Mathieu enlève son pantalon et son petit slip. Il a des jambes finement musclées et légèrement poilues. Il a une belle queue, entretenue. Ses couilles sont rasées. Il bande. Un bon 18 cm. Son chibre est épais, parfaitement droit et horizontal. Ce mec m’excite. Voir sa queue me fait bander très dur immédiatement. Je sors de la bouche d’Hugo et le dirige vers la bite de Mathieu.
- Tiens goûte à ca. Tu vois elle est plus grosse et plus longue. Tu vas l’adorer.
Pendant que Hugo s’étouffe sur la bite de Mathieu, je me baisse et lui déboutonne sa chemise. Il pousse un cri. Il se relève et se tourne vers moi.
- Pas ma chemise.
Je découvre alors que son surpoids a créé chez lui de petits seins légèrement poilus dont il a honte. Je déboutonne alors son jean et je fais apparaitre un slip violet rayé. Je pensais qu’on n’en vendait plus des comme ça. ! Je lui baisse d’un coup et nous découvrons une petite bite de 10 cm environ très épaisse, presque large comme une canette de soda. Hugo bande dur. On se regarde avec Mathieu en se demandant ce qu’il va bien pouvoir faire avec une bite comme ça.
Hugo finit de retirer son jean et son slip et nous tend les deux préservatifs.
- Il faut mettre ça les gars.
- Tu vas nous les mettre lui ordonne Mathieu.
Hugo déchire le premier sachet et s’approche de moi. Il déroule le fourreau de latex le long de ma queue avec beaucoup de délicatesse. C’est agréable. Excitant. Il s’occupe de la même façon de la belle queue de Mathieu. Il prend ensuite la bouteille de lubrifiant et nous la tend.
- C’est toi qui vas te lubrifier, lui lance Mathieu.
Encore une fois l’étudiant s’exécute. Il prend du gel et l’étale sur nos queues. Il tartine ensuite l’intérieur de ses deux grosses fesses.
- Mets un doigt dans ton cul lui souffle Mathieu.
- Mets en deux même.
Il se retourne, pose ensuite ses deux mains sur le bureau et nous tend son cul.
- Allez-y je suis prêt.
Mathieu ramasse par terre le slip violet et lui fourre dans la bouche. Pendant ce temps j’écarte avec les mains ses deux grosses fesses et dirige ma bite plastifiée vers son petit trou qu’il avait pris soin de raser de près. Je force doucement l’entrée. Hugo se redresse. Mathieu se jette sur lui pour le forcer à rester cambré. Je pousse plus fort. Il se tend et se referme. On entend un son étouffé sortir de sa bouche. Je continue. Il ne bande plus. J’entre le gland en forçant. Hugo couine et sa respiration est saccadée. Mathieu lui caresse doucement la joue pendant que je le pénètre d’un coup. Il émet une longue plainte. Je ne le laisse pas s’habituer et commence à aller et venir en lui. A chaque coup donné dans ses fesses flasques, Hugo pousse des couinements aigus. Un bébé cochon.
Sa queue s’est redressée. Mathieu lui caresse maintenant les couilles. Et dans un cri plus long et plus strident il lâche 5 ou 6 jets de sperme qui viennent s’écraser sur le sol en lino gris. Il nous a pris par surprise. Je ne pensais pas qu’il allait jouir si vite. Dépité, je me finis rapidement dans son cul.
Je ressors et enlève le préservatif, que je dépose sur le bureau pendant que Mathieu prend ma place dans le cul épais d’Hugo. Mathieu le transperce d’un coup. Hugo se crispe et émet un son rauque. Heureusement son cri est une nouvelle fois étouffé par le slip qu’il a dans la bouche. Mathieu le baise brutalement. Ca tranche avec son corps fin et son allure si douce. Il se déchaîne dans le cul de ce mec, qui n’est plus puceau depuis quelques minutes. Hugo semble complétement soumis au rythme de Mathieu qui lui casse littéralement le cul. Il couine de plus en plus fort. Il transpire. Sa chemise est trempée de sueur. Sa petite bite est redevenue bien dure. Mathieu n’arrête pas. Je regarde l’étudiant se faire prendre à la dure et j’ai presque envie d’être à sa place, de sentir le corps vif et musclé de Mathieu en moi.
Mon songe laisse place à la réalité. Dans un cri long et aigu, Hugo vient de lâcher de nouveaux jets de sperme. Au même moment je vois le corps de Mathieu se contracter, sa bouche s’entrouvrir et ses yeux me fixer. Il est en train de jouir. J’aime son regard. Il est sans défense, prisonnier de sa propre jouissance.
Mathieu pose son préservatif bien plein à côté du mien sur le bureau.
- Ca te fera un souvenir des 2 queues qui t’ont ouvert le cul.
En sortant de la chambre d’Hugo, nous croisons deux autres étudiants dans le couloir. Ils nous prennent pour des médecins.
- Que se passe t il ? Quelqu’un est malade ?
- Non c’est Hugo. Il avait besoin qu’on lui fasse le cul. Il est grand ouvert maintenant. Si ça vous dit…
Nables
anthoine02@gmail.com
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