Quand je pars en déplacement professionnel, j’essaye toujours de trouver un hôtel en centre-ville mais cette fois pas de chance tout est plein.
Je me retrouve coincé à Lyon dans un hôtel un peu branché mais éloigné du centre. Il pleut. Il pleut même beaucoup. Je ne sortirai pas. Je monte dans ma chambre. Le lit semble confortable, la déco faite par un grand designer et les films de cul gratuits à volonté me donnent envie d’une petite soirée couette.
Je me connecte sur une appli de rencontre bien connue, histoire de voir si un voisin de chambre aurait les mêmes envies que moi. Et je ne suis pas déçu. 3 profils à moins de 15 mètres de moi. A peine connecté, un premier candidat à la couette me lance un « salut, tu ch ? » de circonstance. On dialogue un peu mais je n’accroche pas. Un second mec me contacte. Il est jeune, la vingtaine, il m’envoie direct des photos de son corps, plutôt sexy. Pas musclé mais pas dégueu, imberbe avec une jolie bite complètement rasée. On échange un peu, histoire de comprendre ce qu’il fait dans cet hôtel. Il m’explique qu’il n’est pas client et qu’une résidence étudiante est collée à l’hôtel. De son studio il peut voir une partie des chambres, celles dont les fenêtres donnent sur la rue. Je me lève et vais à la fenêtre. J’ouvre le rideau et je vois face à moi, un étage plus bas le mec en slip qui lui aussi me cherche du regard. Je lui fais un signe de la main. Il me repère.
« c’est toi en haut ? »
« oui ».
J’enlève mon t-shirt pour lui montrer mon torse.
« humm t’es mignon et dessiné ».
Je vois de loin une bosse impressionnante dans son slip rouge.
« j’ai l’impression que ça t’excite »
« oui regarde ».
Il baisse son slip à mi cuisses et laisse apparaitre sa belle queue dressée à l’horizontale. Si d’autres clients de l’hôtel sont à leur fenêtre ils doivent halluciner du spectacle.
« tu me montres la tienne ? »
J’ouvre grand le rideau, je monte sur le lit et enlève mon pantalon comme une pute. Je caresse langoureusement ma queue à travers le tissu de mon caleçon histoire de faire durer un peu le plaisir et je le baisse doucement pour me mettre à poil à mon tour.
« miam. J’ai envie de te la bouffer »
« te gêne pas elle est à toi »
« viens chez moi »
Il me passe le code de son entrée. Je renfile mon pantalon et mon t-shirt. Je prends l’ascenseur et sors de l’hôtel. La pluie a redoublé d’intensité. Les quelques mètres qui séparent l’hôtel de l’entrée de la résidence étudiante ont suffi à me tremper. Je monte les escaliers. Sur le 4e pallier la 3e porte de gauche est entrouverte. J’entre. Le mec à poil se colle à moi direct et me roule une pelle d’enfer.
– Tu es trempé. Enlève tes vêtements.
Je ne me fais pas prier. Je me débarrasse de mes baskets, de mon t-shirt et fais glisser mon pantalon. Je suis à poil. Je n’avais ni slip ni chaussette. Ma queue est retombée. Le mec se met aussitôt à genoux.
- Je vais arranger ça.
Il attrape ma bite mi molle avec sa main droite et la fourre directement dans sa bouche. Il tourne sa langue autour de mon gland jusqu’à le rendre bien dur. Le reste de ma bite a suivi. En quelques minutes ma queue est tellement tendue que je me demande si elle ne va pas exploser dans sa bouche. J’essaye de repousser sa tête pour ne pas jouir tout de suite. Ce mec m’excite. Mais il ne veut pas lâcher ma bite. Il la gobe en entier pendant de longues minutes. Je suis aux anges. Quand ma bite retrouve l’air libre, un filet de bave coule sur le menton du jeune étudiant.
- Viens
Il me pousse sur son lit et reprend ma bite dans la bouche en me présentant son cul. Un magnifique petit cul bien rond et sans un poil. Il sent le savon. Je passe ma langue sur ses fesses et m’introduis dans son sillon. Avec les mains, j’écarte ses deux petits globes bien fermes et je titille son œillet du bout de la langue. Son gémissement me fait comprendre qu’il aime ca. Je fourre à nouveau la tête dans ses fesses et lui mouille abondamment la rondelle en essayant de le pénétrer avec la langue. Il gémit à nouveau. Il est serré comme un puceau. Je continue. Je sens qu’il a abandonné ma bite. Je l’entends haleter et gémir. Il est aux anges. Il se redresse et s’assoit littéralement sur mon visage. Je force l’entrée de son trou avec la langue. Ca rentre. Il se relève.
- Prends moi.
Je me rends compte que je suis venu les mains vides.
- J’ai pas de capote.
- Pas grave, t’es ma première bite je veux sentir la peau de ta queue frotter mon anus.
Putain un puceau. Ma chance. J’adore ça. Je le retourne. Je lui dis de tendre les fesses vers moi et de se détendre. J’approche mon gland baveux de salive dans ses fesses bien lubrifiées par mes soins. Je touche sa rondelle du bout du gland.
- T’es prêt ?
- Vas y mec, prends moi.
- Accroche-toi ptit con.
J’attrape fermement ses hanches et commence à pousser mon gland contre son œillet. Le mec plante ses dents dans l’oreiller. Je l’entends étouffer un cri. Je continue et pousse plus fort. Mon gland entre. Je laisse son sphincter se refermer sous la base de mon gland avant d’aller plus loin. Son cul s’habitue. Il reprend sa respiration normale.
- T’attends quoi pour me baiser ?
Il est gonflé. J’essaye d’y aller en douceur et il fait le malin. Ok. Cette fois je pousse d’un coup sec et rentre mes 16 cm de force. Il se cambre et hurle. Il a dû réveiller les voisins. Je plaque violemment sa tête contre l’oreiller et commence aussitôt à aller et venir en lui. Il l’a voulu. Il cri dans l’oreiller, tape des points contre le matelas et pousse son cul vers moi. J’accélère le mouvement. Son visage et son cou sont rouge. Il souffle fort et à toute vitesse. Puis ma queue commence à glisser plus facilement en lui. Il détend ses muscles et je coulisse encore mieux et plus vite. Ses cris de douleur font place à des gémissements de plaisir.
- Je veux te voir.
Je le retourne, écarte ses jambes et me replace dans son cul en le fixant dans les yeux. Il sourit. Je reprends mes va et viens et je cogne violement contre ses couilles à chaque passage. Il pousse des cris secs à chaque fois. Un tennisman ! Je vois sa bite reprendre du volume. Une petite bite de puceau, encore un peu fine mais bien vigoureuse. Elle devient bien raide, son gland se décalotte tout seul. Il regarde le plafond. Je continue d’aller en lui de plus en plus violemment. Tout son corps est secoué à chacun de mes assauts dans ses entrailles. Il est à la merci des mouvements de ma tige. Alors que je lui claque une nouvelle fois les couilles, sa queue fait un ultime soubresaut et il lâche quatre jets puissants qui viennent s’écraser sur son menton. Il a joui sans se toucher. Je me demande même s’il s’en est rendu compte. J’accélère encore pour lui remplir le cul. Quelques secondes plus tard je me lâche dans son cul et finis de jouir à l’extérieur. J’adore en mettre partout. Le mec est sonné. Je l’attrape par le bras et le relève. Il se met debout et semble pris d’un vertige. Il retombe sur le lit. Deux minutes plus tard il reprend ses esprits.
- Oh putain, j’avais jamais vécu un truc aussi intense.
Je quitte Lyon le lendemain matin. Avant de partir, je jette un coup d’œil par la fenêtre. Un gros smiley est collé à la fenêtre du mec, dont j’ai oublié de prendre le nom et le 06.
Nables
anthoine02@gmail.com
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