Chapitre 1
Ce matin je me présente au siège de la société D-com, célèbre agence de communication pour un entretien d’embauche. J’ai postulé il y a quelques semaines dans cette société et j’ai eu la bonne surprise d’avoir été sélectionné pour un entretien avec le directeur général.
Le jour J, je me présente à l’heure dite à l’accueil de la société. Je suis accueilli par une charmante hôtesse blonde qui me demande de patienter sur un canapé de designer pendant qu’elle prévient l’assistante du directeur. Après quelques minutes d’attente, l’assistante très soignée et moulée dans un seyant tailleur sombre vient à ma rencontre.
- Bonjour Monsieur. Mr Martin va avoir un peu de retard il est retenu dans une réunion importante. Si vous voulez bien me suivre.
J’emboîte le pas à la charmante assistante en me disant que son patron ne doit pas s’ennuyer tous les jours. Elle pousse une lourde double porte en bois clair et me fait entrer dans le bureau du directeur. La pièce est vaste et lumineuse. Deux grandes fenêtres dominent la ville. Une large table de travail équipée d’un ordinateur dernier cri lui sert de bureau. A sa droite, un canapé, deux fauteuils et une table basse viennent parfaire cet espace de direction luxueux.
- Installez-vous ici. Vous souhaitez un café ?
- Volontiers. Noir sans sucre s’il vous plait.
Deux minutes plus tard l’assistante revient avec un expresso qu’elle pose sur la table basse devant moi. Je la remercie pendant qu’elle m’explique que Mr Martin n’en n’a plus pour très longtemps.
J’attends encore une dizaine de minutes quand j’entends au loin une voix d’homme assez grave.
Le directeur entre dans le bureau. Je tourne la tête et … surprise, je connais ce mec. Un bel homme, grand, mince, grisonnant, bref charmant. Il y a quelques semaines nous avons longuement dialogué sur les réseaux sociaux, échangé quelques nude aussi, mais nous ne nous sommes jamais rencontrés. Je vois l’étonnement dans son regard.
- Ça alors. Quelle surprise !
Il fait quelques pas en arrière et ferme la lourde porte du bureau. Je me lève et me dirige vers lui. Nous restons immobiles à un mètre l’un de l’autre. Nous nous regardons dans les yeux. Je sens l’excitation monter. Mon sexe commence à durcir. Je jette un coup d’œil à son pantalon de costume. Une bosse imposante s’est formée entre ses jambes. Il fait un pas vers moi. Je fais un pas vers lui et sans savoir pourquoi je lui attrape la bouche. Nous nous embrassons longuement. Chacun reprend son souffle de temps en temps et retourne dans la bouche de l’autre. Mon corps est serré contre lui. Je sens la force de ses pectoraux et de ses abdos. Ma queue est serrée dans mon pantalon. Je sens la sienne tout aussi dure et tout aussi entravée. Tout en continuant à m’embrasser il fait sauter les boutons de mon pantalon. En voulant le faire glisser à terre, il accroche mon slip et libère ma queue qui a commencé à mouiller abondamment. Il me pousse légèrement en arrière et comme mon pantalon me bloque les chevilles, je suis déséquilibré et tombe à la renverse dans le canapé. Il en profite pour retirer mes chaussures et me libérer de mon pantalon et de mon slip. Il vient au-dessus de moi et enlève un à un les boutons de ma chemise bleu ciel. Il m’embrasse à nouveau en caressant mon torse, ma bite, mes couilles, mes cuisses. Je bande de plus en plus dur. Je pousse sa tête vers ma queue. Il se laisse guider et l’avale d’un coup. Je suis aux anges. Sa bouche généreuse prend ma bite en entier sans difficulté. S’il pouvait faire entrer mes couilles aussi je crois qu’il le ferait. Sa langue baveuse enroule et caresse ma queue sur toute sa longueur. Pendant qu’il poursuit cette pipe merveilleuse il déboutonne son pantalon et le fait glisser le long de ses cuisses musclées. Sa belle queue sort par le haut de son petit slip blanc moulant et atteint son nombril. Son gland entièrement décalotté, violacé et gonflé est plus large que sa fine queue veinée. Il relève la tête et me regarde droit dans les yeux.
- Tu veux ce job ? Alors baise-moi.
Je suis un peu surpris, je l’imaginais dans le rôle du dominant fier de jouer de son pouvoir et de son ascendant sur les gens.
- Ok. Fous toi à poil alors.
Il se relève rapidement, enlève chaussures, chaussettes, pantalon. Il desserre son nœud de cravate et déboutonne sa chemise. En quelques secondes, il est en slip face à moi. Son corps bien proportionné, sec et musclé est un appel au viol.
- A poil je t’ai dit.
Lentement, il fait glisser son petit slip le long de ses cuisses et le fait voler dans la pièce d’un léger coup de pied. Je me relève et m’approche de lui. Je caresse son corps délicatement. Je m’attarde sur ses abdos, sur sa queue à la peau douce, sur ses lourdes couilles rasées de près. Je fais glisser un doigt entre ses fesses jusqu’à toucher son petit trou lisse et sans aucun poil.
- Il ne nous reste plus beaucoup de temps j’ai un rendez-vous à 11 heures, me souffle-t-il.
- Allonge-toi sur le bureau.
Il se dirige vers l’imposant bureau, dégage de la main les objets qui l’encombrent et se met à plat ventre. Je ramasse son slip, fais le tour du bureau et lui fourre dans la bouche.
- Comme ça si tu gueules tu n’attireras pas ta secrétaire.
Je me place derrière lui. Je scrute son beau petit cul bombé. Mais je trouve qu’il n’est pas assez salope dans cette position. Je lui écarte les jambes, les plie et les remonte l’une après l’autre sur le bureau. Je pose ses genoux de chaque côté de la table. Cette position, surement inconfortable, l’oblige à ouvrir bien plus largement les fesses. On dirait une grenouille écartelée sur un bureau. Il est à ma merci. Le DG de la boîte, nu, dominé, allongé sur son bureau comme une petite chienne qui attend sa dose. Je n’avais pas prévu une telle matinée, je n’ai avec moi ni gel ni préservatif. Et les minutes défilent. Je crache sur ma queue deux ou trois fois, j’étale rapidement la salive avec la main et je guide ma queue vers son trou bien fermé. Je place mon gland dur et prêt à exploser contre son œillet. Sans autre préparation je l’attrape par les hanches et pousse fermement. Je sens que ça force, mais pas longtemps. Je m’enfonce jusqu’à la garde alors que le patron se cambre et étouffe un cri de douleur. Je ne le laisse ni respirer ni s’habituer à ma bite. J’entame aussitôt une série de va-et-vient rapides et profonds. Dans l’excitation je sors de son cul et le re-pénètre immédiatement sur toute la longueur. A chaque coup de pilon, je le sens se redresser et retenir ses cris. Il est complètement soumis, incapable de reprendre le dessus. Je le bourre de plus en plus vite et de plus en plus fort. Le voir dans cette position m’excite tellement que je dois faire des efforts surhumains pour ne pas exploser en lui. En regardant par la fenêtre je me rends compte qu’un homme dans l’immeuble d’en face nous observe. Je lui souris. Il sort sa bite et se masturbe.
Je continue à pilonner le petit patron prétentieux. Je sors ma bite, la re rentre violement, je veux lui exploser le cul, qu’il n’arrive plus à s’asseoir de la journée.
Dans un dernier coup de butoir, je le sens resserrer son anneau autour de ma queue. Il est pris de spasmes. Il jouit. Son sphincter se contracte et se décontracte pendant une vingtaine de secondes.
Cette ultime caresse vient à bout de ma résistance et je m’abandonne dans son cul. Ma jouissance est longue. J’ai l’impression d’éjaculer des litres de foutre. Je suis en train de lui repeindre l’intérieur du cul. J’ai le souffle court. J’halète comme un chien en rut.
Je me relève, sors de son cul en emmenant avec moi une longue traînée de sperme blanc et épais. Je me rhabille rapidement, alors que le respecté Mr Martin est toujours allongé sur sa table, sonné par la violence de cette jouissance. Je vois du sperme par terre sur le tapis et un long filet gluant encore collé au bout de sa queue qui dépasse.
Le voyeur d’en face a sorti son portable et a immortalisé le moment.
Je quitte le bureau rapidement et ferme la lourde porte derrière moi.
- Tout s’est bien passé Monsieur ? me fait sa secrétaire en souriant.
Nables
anthoine02@gmail.com
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