J’ai commandé une nouvelle box internet pour remplacer l’ancienne en panne. Elle doit être livrée directement chez moi. Vers 14 heures, mon téléphone sonne. Le livreur est dans l’immeuble, en bas de mon escalier. Je descends. Je découvre avec surprise un mec de 25 ans environ, assez petit, le corps musclé, moulé dans son uniforme marron. Son t-shirt manches courtes laisse apparaître deux bras musclés, couverts d’un joli tatouage monochrome qui descend le long de ses avant-bras comme une liane autour d’un tronc. Il est blond, les cheveux très courts. Sa coupe militaire met en valeur la forme de son visage et le vert profond de ses yeux. Sa bouche est cachée par le masque réglementaire mais quelques petites rides d’expressions au coin de l’œil trahissent son sourire. Il est sympathique, m’appelle par nom et me remet mon paquet.
Il me tend alors une tablette pour que je signe le reçu. A ce moment précis je le dévisage à nouveau, son uniforme un peu serré laisse apparaître la forme de sa queue, plaquée sur le côté. Je sens son odeur de jeune mâle. Il dégage une sorte de virilité animale indescriptible. J’ai soudain envie de lui.
- Il fait chaud aujourd’hui, vous voulez un rafraichissement ? Un verre d’eau ?
J’avoue que ce n’est pas très original, mais sur le moment je n’ai rien trouvé d’autre à dire. Il hésite un instant, me regarde.
- Euh… Pourquoi pas, je ne suis pas trop en avance, mais ok.
Je l’invite à me suivre. Dans ma tête tout se brouille. Je ne sais plus trop comment faire. Il m’excite terriblement mais il n’a pas l’air gay et je pense qu’il a pris ma proposition pour ce qu’elle est et rien de plus.
On entre dans mon appartement. Il enlève son masque. Il est vraiment mignon.
- C’est sympa chez vous.
- Oui merci. J’ai de la bière, du vin, de la vodka…
- De l’eau ça ira.
Ca promet. Je prends un verre. Je le remplis d’eau du robinet et lui tends.
- Elle est un peu chaude, mais c’est gentil. Je vais y aller.
Il se lève, pose son verre sur la table et se dirige vers la porte. La vision de ce mec moulé dans son uniforme de travail me fait bander. Il se retourne vers moi. Ses yeux fixent mon entrejambe. Un silence passe. Soudain il se jette sur moi en m’attrapant le paquet. Cette violence soudaine me surprend. Je perds l’équilibre et me retrouve à terre. Le mec m’accompagne dans ma chute et se retrouve sur moi, son visage tout contre le mien. Sa main gauche attrape fermement mon menton. Il approche la bouche de mon oreille.
- T’es un sale PD toi. Tu m’as fait monter pour essayer de me serer, hein ?
Je ne réponds pas. Je ne bouge pas. Mais son souffle chaud dans mon cou ne calme pas mon excitation. Je bande de plus en plus dur. Je vois la colère dans ses yeux. Sa main ne me lâche pas. Il se relève alors, s’assied sur mon torse et colle son paquet à mon visage.
- C’est ça que tu veux ? Tu veux la voir ma bite ?
Je ne réponds toujours pas. Il défait le premier bouton de son pantalon et très lentement baisse le zip de sa fermeture.
- Ca t’excite gros pervers ?
Je vois apparaître un fin slip noir bien rempli, mais il n’est pas excité. La peau autour de ce petit bout de tissu est imberbe et bronzée. Le mec est entretenu. Je déglutis bruyamment.
- Tu vois tu ne me fais même pas bander.
C’est la provocation de trop. Je relève la tête et colle ma bouche contre son slip. Je commence à le lécher à travers le tissu. Je passe la langue sous l’élastique et réussis à atteindre son épais morceau de chair. Je ferme les yeux. Je sens une veine légèrement gonflée. Je continue mon exploration. J’ai l’impression que ses poils sont rasés, la peau de son sexe est douce. Il se dégage une odeur agréable dans son slip. Ce mec prend soin de lui. Mes caresses buccales lui font de l’effet. Sa queue commence à grossir. J’ai repris la main.
- Tu vois, tu bandes maintenant.
Cette fois c’est lui qui ne dit rien. Je le pousse doucement et le fais basculer sur le sol. Une fois sur le dos, je baisse son pantalon d’un coup sec. Je fais la même chose avec son petit slip noir complètement déformé par sa bite turgescente. Sa queue apparait d’un coup. Elle est comme lui. Pas très grande, pas très grosse, mais parfaitement droite et sans défaut. Je découvre un petit tatouage en forme d’étoile sur le bas de son pubis. Je suis sous le charme. Sans lui laisser le temps de regretter ce qui est en train de se passer, j’aspire sa queue dans ma bouche. Je m’applique pour lui donner la plus belle pipe de sa vie. J’attrape ses couilles avec la main et les serre légèrement pour faire grossir sa queue et décupler son plaisir. Je l’entends soupirer, il s’abandonne. Je crois qu’il aime ça.
Soudain il me repousse la tête et se remet debout. Il essaye de remonter son pantalon.
- J’suis pas PD moi. On arrête les conneries.
- T’aimes pas ?
- J’suis pas PD, ok ?
Je me relève aussi et me jette sur lui. Je le plaque contre mur. Il ne peut pas trop bouger avec le pantalon à moitié remonté.
- T’es là maintenant. Alors laisse toi faire et ferme ta gueule.
Tout en lui parlant, j’enlève mon pantalon et mon slip. Il ma bite devant lui, contre la sienne qui bande toujours. Je soulève son t-shirt et je découvre des abdos parfaitement dessinés. Je lui caresse le ventre, les fesses, les cuisses, les couilles. Il est sensible. Il tressaille à chacune de mes caresses. Je tente de passer une main entre ses fesses pour caresser son petit œillet. Il se laisse faire. Je sens son cul très serré. J’approche ma bouche de ses lèvres. Je tente un baiser. Il se laisse faire. Je glisse ma langue entre ses lèvres. Il se laisse faire. Nous nous embrassons. Longuement. Il tremble un peu. Sa queue est presque rouge tellement il bande. Je me colle à lui. Je finis de le mettre à poil. J’enlève mon t-shirt. Nous sommes nus l’un contre l’autre. Je passe ma langue dans son cou. Je descends sur son torse. Je m’attarde sur ses abdos. Ca l’excite. Je retrouve sa bite. Cette fois il me laisse le sucer. Je prends sa queue en entier. Il couine.
Je le retourne, j’écarte délicatement ses petites fesses bien rondes avec les mains et je laisse ma langue glisser le long de son sillon, jusqu’à atteindre son petit trou. Je le mouille bien. Il gémit. Je force l’entrée bien fermée. Le bout de ma langue bute contre son intimité. Il pousse des petits cris. Je donne des coups de langue jusqu’à ce que son sphincter se détende. Ma langue parvient alors à entrer en lui. Je l’entends pousser un cri. Je lèche délicatement cette zone sensible et je poursuis mon exploration. Il est soudain pris de spasmes, il est en train de jouir. Il ne s’est même pas touché.
J’entends de lourds jets de sperme s’écraser sur le parquet. Je relève la tête. Je le regarde. Il a la bouche ouverte, les yeux perdus. Il est beau. Je me masturbe en le regardant. Et je jouis. En silence.
Il se rhabille et sans un mot quitte l’appartement.
Sur le sol couvert de sperme, je découvre une carte de visite, tombée de sa poche.
Nables
anthoine02@gmail.com
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