Le confinement quand on a la chance d’habiter au bord de la mer c’est plutôt assez agréable. Sauf que depuis une semaine, les plages sont fermées. Tous les gens qui sortaient leur chien ou qui faisaient un petit jogging au soleil couchant sont priés de rester chez eux. C’est dur, mais après tout si c’est pour le bien de tous…
Mais aujourd’hui, je ne tiens plus. J’ai décidé d’attendre que le soleil se couche et je suis sorti. J’ai marché jusqu’à la plage.
Le spectacle est magnifique. La lune se reflète sur la mer calme. L’eau scintillante semble argentée. Je ne résiste pas. J’enlève mes baskets et je marche pieds nus jusqu’à l’eau. Je laisse les vagues monter sur mes pieds. L’eau est tiède. Je m’enfonce jusqu’aux mollets. La caresse de l’eau salée sur ma peau bronzée m’excite terriblement. Je sens ma queue commencer à gonfler dans mon short. Un coup d’œil à droite, puis à gauche, je suis seul sur la plage… Alors pourquoi pas ? Je sors de l’eau. J’enlève mon t-shirt, mon short et mon petit slip, celui qui me fait des fesses bien rebondies. Je laisse tout en boule sur la plage et je retourne vers la mer. Cette fois je laisse l’eau atteindre mes cuisses légèrement poilues et musclées, puis chatouiller le bout de ma queue. Au contact de l’eau, ma jolie bite laisse apparaitre une grosse veine sur le dessus et prend du volume. Avec l’excitation elle se redresse et sort de l’eau. 16 cm, peut mieux faire. Je m’enfonce pour laisser l’eau caresser mes couilles. 18 cm. Cette fois je bande très dur, ma bite est au garde-à-vous contre mon ventre. L’eau continue de me caresser. J’imagine une langue douce et mouillée passant délicatement sur mes couilles. Je ferme les yeux c’est trop bon… J’ai l’impression que je vais jouir sans même me toucher.
Quand j’ouvre les yeux, j’aperçois deux silhouettes au loin. Je décide de sortir de l’eau et de rentrer. Je remonte vers la plage. L’eau ruissèle sur mon corps. Je ne trouve pas mes vêtements. Je me suis peut-être trompé de quelques mètres. Toujours à poil, la bite dressée je cherche mon t-shirt et mon short. J’étais sûr de les avoir laissés là.
– C’est ça que vous cherchez ?
Je me retourne surpris. Face à moi, deux gendarmes en uniforme avec mes vêtements dans les mains. Toujours à poil, je me sens un peu con, et ma bite reprend assez vite des proportions assez peu glorieuses. En gros je ne l’ai jamais vu aussi petite et recroquevillée. Je me sens honteux face à ces deux jeunes mecs qui me narguent, musclé et fier dans leur tenue bleue marine.
– Vous avez votre dérogation ?
– Non.
– Ah
– J’avais envie de me baigner, il n’y a personne à cette heure-ci…
– C’est 135 euros monsieur, plus autant pour vous être baigné alors que c’est interdit. Vous êtes nue, donc atteinte à la pudeur… ça va faire beaucoup.
Je ne dis rien. Je regarde le mec de gauche, plutôt mignon, l’œil rieur.
– Maintenant on peut s’arranger si vous payez sur le champ.
Je fais mine de ne pas comprendre. En un instant le mec a sorti sa bite. Son voisin semble surpris.
– Mais tu fais quoi ?
– Ça fait des semaines que ma meuf ne m’a pas pompé et je suis sûr que ce mec est une petite pute…
– Mais tu…
L’autre gendarme ne finit pas sa phrase, hypnotisé par la bite de son collègue, qui se met à grossir sous nos yeux.
J’ai compris le message. Deux secondes plus tard, j’étais à genoux, la bite un peu odorante du gendarme dans la bouche. Elle s’est mise à gonfler encore plus. Elle ne devait pas être plus grande que la mienne, un bon 18, mais beaucoup plus grosse. J’étouffais. Son collègue avait l’air ébahi, il me regardait faire sans comprendre. Et pourtant je voyais du mouvement dans son treillis. Sa bite cherchait de la place dans son pantalon trop serré.
– Laisse-toi aller mec.
Tout en continuant à m’occuper de l’épaisse bite du gendarme, je commençais à caresser l’entrejambe de son collègue…
– Tu vois que c’est une pute ! Il suce divinement bien. Donne-lui de quoi se régaler. Ne fais pas ta prude.
Ma main remonte jusqu’au bouton du pantalon du second gendarme que je fais sauter. Je baisse sa braguette. Pas facile avec une énorme bite dans la bouche et une main occupée à serrer les couilles de ma première victime. J’arrive à faire glisser son pantalon jusqu’aux genoux. Le mec ne bouge pas. Je découvre son slip blanc règlementaire déformé et mouillé par sa bite surexcitée. Je le caresse doucement à travers le tissu en insistant sur son gland bien humide. Il gémit.
J’abandonne la bite du premier et approche ma bouche de ce slip déformé. Le mec fait un pas en arrière. Je me jette sur lui. Je baisse son slip à mi-cuisses. Sa bite surgit. Longue, veinée, son prépuce laisse apparaitre la moitié de son épais gland. Tout ce que j’aime. Je bande. Lui aussi. C’est bien monté un gendarme !
Je passe ma langue entre son prépuce et son gland. Il soupire. Il gémit. C’est gagné. Je continue de le décalotter avec mes lèvres. Et fait pénétrer doucement sa belle queue dans ma bouche chaude et experte. Alors que je m’occupe de ce flic bien décoincé, le premier gendarme un peu vexé, s’est placé derrière moi. Il crache sur mes fesses, étale sa bave avec la main. Je le laisse faire. Je sens son gland qui se fraye un chemin entre mes fesses. Il y va sans ménagement en bon hétéro. Je sens son gland forcer mon petit trou serré. Je ne résiste pas, j’en ai envie. Je me concentre sur la magnifique bite que j’ai en bouche, que je parviens sans problème à prendre en entier. Mon visage touche même les abdos et la légère toison de poils noirs du beau militaire. Le mec n’en revient pas, personne n’avait jamais du lui faire ça. Je vais le faire jouir comme jamais. Je sursaute. L’épaisse bite de l’autre est en train de me prendre le cul. Il s’enfonce doucement, mais je la sens passer. J’aime ça. Je suis une pute, en train de se faire enfiler par les deux bouts. Je ne sais plus où je suis. Les deux gendarmes ont repris le dessus. L’un a pris possession de ma bouche, l’autre de mon cul. Ils amplifient leurs mouvements. Je ne peux plus rien faire. Je sens ces deux bites coulisser de plus en plus vite de chaque côté de mon corps. Le rythme s’accélère. Je lève la tête et je comprends que les deux gendarmes se regardent droit dans les yeux. Je suis leur chose. Le gendarme dans ma bouche pousse soudain un grognement de plaisir.
Aussitôt je sens des jets de foutre se projeter violemment dans ma gorge. 3, 4, 5 il ne s’arrête pas l’ex coincé ! J’avale, je n’ai pas le choix. Il est au plus profond de ma gorge. L’autre gémit. Il est en train de jouir dans mon cul. Sans pression les mecs ! Leur jute coule entre mes lèvres et entre mes fesses. Et dire que je voulais juste me baigner.
Les histoires de confinement sont purement fictives, un fantasme.
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LE VIRUS A DEJA FAIT DES MILLIERS DE MORTS
Nables
anthoine02@gmail.com
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