Ce jour là je recevais un avis de mon assureur pour une visite médicale. Comme j’ai contracté un gros prêt bancaire, je dois impérativement faire un bilan de santé. Après tout ce n’est jamais une mauvaise chose. Rendez-vous est pris pour le surlendemain matin dans une clinique proche de Paris.
Le jour J, j’arrive comme prévu aux aurores et à jeun à la clinique. L’hôtesse d’accueil me reçoit gentiment et me demande d’attendre l’infirmier qui va s’occuper de moi.
Je patiente quelques minutes dans une salle impersonnelle, quand arrive un homme jeune, élancé, large d’épaules, brun aux yeux gris profond. Il porte un pantalon et une blouse verte d’hôpital. Un masque chirurgical lui cache le nez et la bouche. Il me semble assez jeune et visiblement plutôt beau gosse.
Il m’appelle par mon nom et me demande de le suivre. Nous entrons dans un petit bureau sans fenêtre dans lequel se trouvent un bureau, deux chaises, un miroir et une table d’auscultation.
- Je vais vous demander de remplir ce dossier, avec vos informations personnelles. Ensuite nous préparerons la consultation pour que le docteur puisse vous recevoir.
Je prends le stylo qu’il me tend et remplis avec application le long questionnaire médical. Lorsque je lui remets, il fait mine de vérifier le document puis relève la tête vers moi.
- Bien, vous allez vous déshabiller. Je vais prendre votre taille et votre poids. Et je vois que l’assurance me demande aussi de mesurer votre tour de poitrine et votre tour de taille.
J’enlève mon pull et mon t-shirt sous le regard perçant du bel infirmier. Puis je retire mes baskets blanches et mes chaussettes.
- Le pantalon aussi.
Le regard soutenu de mon interlocuteur me met mal à l’aise. Je gonfle un peu les pecs et serre les abdos pour qu’il me voit sous mon meilleur jour. Je défais un à un les boutons de mon pantalon. L’infirmier ne quitte plus mon entrejambe du regard. Bizarre, serait-il intéressé ? Cette idée m’excite un peu et je sens mon sexe prendre du volume. Je décide de le chauffer un peu pour voir. Je fais glisser mon pantalon doucement le long de mes jambes finement musclées et légèrement poilues. J’accroche volontairement mon boxer pour laisser apparaître mes quelques poils pubiens et la base de ma queue. Mon pantalon tombe à terre. Je décide de le ramasser en me retournant pour lui montrer mes fesses bien rondes et fermes. Il reste impassible.
- Montez sur la balance devant vous.
Je m’exécute. Il s’approche si près de moi pour lire l’écran de la balance que mon caleçon légèrement gonflé touche son bas ventre à travers la blouse. J’ai l’impression qu’il bande.
- Placez-vous contre le mur sous la toise.
Pour le provoquer, je me place ventre contre mur en me cambrant légèrement pour donner plus de volume à mes fesses.
- Dos au mur, s’il vous plait.
Je me retourne et mon début d’érection commence à être difficile à cacher ! Mais il continue de faire mine de ne rien voir.
- Je vais mesurer votre tour de taille maintenant.
Il prend un mètre de couturière et passe ses bras musclés de part et d’autre de mon torse. Il sert légèrement, puis descend jusqu’à ma taille, où il prend le temps d’effectuer sa mesure. Je sens la chaleur de son corps. J’ai l’impression qu il me caresse avec ses avants bras. Il fait glisser le mètre délicatement sur mon corps, resserre le cordon sous mon nombril pour effleurer mon caleçon de ses mains veinées et puissantes. Ma réaction est immédiate, mon sexe se dresse et sort de mon boxer à la verticale. Comme si de rien était, il repasse le mètre autour de ma taille et prend cette fois ma queue dans sa mesure.
- Ah bah ca fait quelques centimètres de plus. Vous avez pris depuis la dernière fois, dit il en haussant les sourcils.
Cette indifférence et cet humour froid m’excitent encore plus. Du liquide s’échappe de mon gland complètement décalotté. Je suis rouge de honte, mais j’essaye de faire bonne figure malgré tout.
- J’ai besoin d’effectuer votre test d’urine à présent. Pour éviter toute fraude je suis obligé de rester avec vous pendant que vous remplissez le flacon… si vous n’y voyez pas d’inconvénient.
- C’est que… là…enfin ça va être compliqué.
Il me regarde droit dans les yeux, puis son regard se baisse vers ma queue toujours aussi raide.
- En effet.
Il me regarde à nouveau. J’ai l’impression qu’il sourit derrière son masque.
- La solution serait peut-être de vous masturber pour faire retomber l’excitation sans perdre trop de temps.
- Vous croyez ?
- Oui. Je peux me tourner si vous vous voulez.
Il se tourne face au mur. Et je commence à me branler. Excité comme je suis je pense qu’en 30 secondes ce sera bon.
- Il y a des mouchoirs face à vous.
Je continue mon rapide mouvement de va et vient sur ma queue. J’ai honte. Je me concentre sur mes 17 cm très durs et sur mon gland presque violacé de désir quand soudain en levant les yeux je vois le reflet de son visage dans le miroir accroché au mur. Il est en train de m’observer. Il ne perd pas une miette de ma branlette. Au point où j’en suis, je décide de lui donner ce qu’il veut voir. Je m’enfonce dans le siège. D’une main je me caresse les couilles et de l’autre je me masturbe plus doucement, plus langoureusement. Je l’entends respirer plus fort. Je mets mon index dans la bouche. Je le mouille avec la langue et le dirige vers mon cul. Mon doigt pénètre ma rondelle bien serrée. Il ne me lâche pas du regard. Je continue à me masturber, je sens que ça monte. Il se retourne alors et me fixe du regard. Il m’excite terriblement. La sève monte, je ne me retiens plus. Je grogne. Je couine. Je jouis. J’expulse 5 ou 6 jets de sperme dans sa direction. Il est touché deux fois sur sa blouse.
- Il va falloir nettoyer ça, dit-il en me tendant un flacon pour l’analyse d’urine.
Je m’approche de lui, me mets à genoux et nettoie sa blouse avec la langue. En appuyant un peu je me rends compte qu’il bande comme un âne sous son vêtement. Mais il ne laisse paraitre aucune émotion. J’attrape sa queue avec la bouche à travers le tissu. Il ne réagit pas. Je continue, je défais un à un les boutons pression de sa tenue. Il a repris mon dossier en main et fait mine de le lire. J’ouvre la blouse. Sa queue est cachée sous un pantalon d’hôpital que je baisse jusqu’à mi-cuisses. Je vois son slip noir complètement déformé par sa queue plaquée sur le côté. Elle semble tellement longue qu’elle atteint ses hanches. Je le libère de son slip serré et trempé. Sa queue me saute au visage. Elle est belle, épaisse, longue, peut être 18 ou 19 cm. Elle est veinée comme ses mains. Je la prends dans la bouche immédiatement. Je sens alors sa grosse main se poser derrière ma tête. En une fraction de seconde il pousse ma tête contre lui et m’impose une gorge profonde que je n’attendais pas. J’étouffe. Les larmes me montent aux yeux. Il a repris le dessus. Il se sert de ma bouche et de ma gorge pour branler sa belle queue. Il ne bouge toujours pas. C’est ma tête qui lui sert de jouet. Je suis à sa merci. Je m’accroche à ses belles cuisses velues. En un instant je suis devenu le sex toy de cet infirmier froid et distant. Sans qu’il n’émette aucun son, je sens soudain sa bite se gonfler d’un coup et lâcher son foutre dans ma gorge. Il n’en finit plus de jouir. Je n’en finis plus d’avaler. Il n’a pas dit un seul mot.
Quand il retire sa queue de ma bouche, un mélange de bave et de sperme coule le long de mes joues. Je suis à genoux sur le sol, nu, sonné, alors que mon bel infirmier a déjà remonté son pantalon et reboutonné sa blouse. Il prend mon dossier dans les mains et me regarde avec condescendance.
- Levez-vous, le docteur vous attend.
Nables
anthoine02@gmail.com
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