A force d’avoir publié des récits, ma boîte mail a été rapidement inondée de messages. Des propositions de rencontres, des demandes de dépucelage, des offres de service, brefs des messages plutôt excitants. Bien sûr au vu du nombre de demandes et d’un emploi du temps chargé, je n’ai pas pu rencontrer ni satisfaire tout le monde. Ce qui aurait été un peu prétentieux d’une part et aurait relevé de l’exploit de l’autre.
Un message a pourtant retenu toute mon attention :
« Salut, j’ai un peu honte de t’écrire mais je me lance. Je ne suis pas vraiment puceau. J’ai une femme, deux enfants et je suis devenu hétéro curieux. Je m’ennuyais un peu avec ma femme au lit jusqu’au jour où elle m’a enfoncé un doigt dans le cul. Ce jour là j’ai été tellement surpris que j’ai joui immédiatement. Comme elle a vu que ca me faisait réagir elle a recommencé régulièrement et j’y prends toujours autant de plaisir. Au lit elle me traite maintenant de «ptit pd ». Ca la fait rire, mais moi ça me travaille. J’ai de plus en plus envie d’essayer et j’aimerais que ce soit avec toi. »
J’avoue que ce mail ne m’a pas laissé de marbre. J’ai évidemment aussitôt renvoyé un message de circonstance, pas très original, mais efficace :
« T’es où ? t’es comment ? des photos ? » .
Je pensais que ce type de message que l’on déteste tous, allait le refroidir. Mais il m’a répondu assez vite et en détails. Il dit s’appeler Thomas, vit en proche banlieue de Paris, il a 38 ans, 1,82, 71kg, musclé, une bite massive, quelques poils sur le torse, avec un joli filet noir qui court vers son slip, confirmé par la photo en pièce jointe.
Nous décidons de nous rencontrer dans un hôtel bas de gamme où la réception est assurée par un automate qui vous distribue un code d’entrée pour la chambre. Discrétion absolue. Il me donne rendez-vous un jeudi en fin d’après-midi en me précisant qu’il serait là avant moi et qu’il m’enverrait par texto le numéro de la chambre et le code d’entrée.
Je me gare à 17h pile sur le parking de l’hôtel au beau milieu d’une zone industrielle. A côté de moi un VRP vide son coffre pour la nuit. Plus loin une camionnette blanche semble avoir été abandonnée. J’envoie un sms à Thomas.
« Suis arrivé ».
« Chambre 204 – code 452781 »
Je ferme la voiture et me dirige vers l’escalier extérieur. Je grimpe jusqu’au 2eme étage, un peu fébrile quand même. Je n’ai pas vu sa tête et ce genre d’hôtel… je ne voudrais pas tomber dans un piège. Avant de saisir le code, je colle mon oreille contre la porte. Pas de bruit. Je décide frapper.
- Qui est là ?
- C’est moi.
- Il y a un code.
Je vois qu’il est méfiant. Je prends ma respiration et saisis le code d’entré. La porte se débloque. Prudent, je la pousse doucement pour voir la pièce. Un homme se tient devant le lit, torse nu. Il est grand. Je reconnais le torse de la photo. Il a un visage fin et très masculin. Ses cheveux sont bruns et une barbe de trois jours vient souligner cette virilité apparente. Ses yeux verts lui donnent un regard intense. Il me dévisage.
- Alors c’est toi.
- Je te retourne le compliment.
- Euh comment veux tu que…
Je comprends qu’il va falloir que je prenne les choses en main, sinon on risque de se tourner autour pendant des heures. Je m’approche de lui et je passe les mains derrière la ceinture de son pantalon en prenant soin de caresser ses abdos. Je glisse le bout de mes doigts le long de l’élastique de son slip et caresse sa toison épaisse. Je sens la base de sa queue qui commence à s’élargir et s’épaissir. Il est très réactif, mais ne bouge pas. Il est comme tétanisé. J’en profite. Je fais sauter le bouton de son pantalon de costume, puis je descends doucement la fermeture éclair. Le pantalon au tissu léger tombe aussitôt à ses chevilles.
Je découvre ses deux belles jambes musclées. Des cuisses et des mollets épais et des muscles très apparents et bien proportionnés. Il a dû être footballer. L’intérieur de ses cuisses est très poilu. Cette toison s’intensifie sur la partie haute de ses membres. Tout m’amène à son fin slip noir déjà déformé par son excitation naissante. Il me semble que son sexe doit être énorme. J’ai envie de le découvrir mais fais encore un peu durer le plaisir. Je me mets à genoux lentement en laissant glisser ma langue le long de son torse viril jusqu’à l’élastique de ce petit slip. La réaction est immédiate. Sa queue a encore pris du volume. C’est maintenant un pieux qui déforme son slip. Je l’embrasse à travers le tissu. Le fin tissu noir s’humidifie abondamment. Je l’entends respirer de plus en plus fort, mais il ne dit toujours rien. Il me regard faire comme hypnotisé. J’attrape l’extrémité du slip avec les dents et j’entreprends de le lui retirer. Je tire pour libérer sa queue, jusqu’au moment où elle jaillit d’un coup et me bifle violement le visage. Je recule la tête et découvre la matraque qui m’a frappée. 18 ou 19 cm, très épaisse et très poilue. Son gland, très baveux est plus épais que le reste de son membre. Il n’est pas complètement décalotté et dégage une forte odeur qui renforce encore cette impression de virilité. Je regarde Thomas, qui n’émet toujours aucun son.
Je poursuis. Je passe ma langue sur ses couilles poilues et remonte doucement le long de son sexe. Quand j’arrive à son gland je fais pénétrer ma langue dans la partie de prépuce qui recouvre encore son champignon violacé et finis de le décalotter. Cette fois je l’entends gémir. Puis d’un coup il me repousse violement.
- Arrête je vais jouir.
Je profite de cette pause pour enlever mon t-shirt et mon pantalon. Mon boxer est déformé aussi par mon excitation. Je m’assoie sur le lit en écartant les jambes, face à lui.
- A ton tour alors. Viens découvrir ma queue.
Il hésite un peu.
- Fais pas le difficile. Elle est moins grosse que la tienne, l’idéal pour une première fois sans te déformer la mâchoire.
Il se met alors à genoux et me prend fermement par la taille de ses deux épaisses mains. Il descend mon boxer d’un coup, observe ma queue et d’une main commence à me masturber.
- Avec la bouche on a dit.
- Je… je ne sais pas…
Sans lui laisser le temps de réagir je pousse sa tête contre ma bite et remonte le bassin en même temps. Je sens son visage s’écraser contre mon membre dur. Je relâche un peu la pression et pousse une nouvelle fois sa tête. Il ne réagit pas. D’une main je garde la pression sur sa tête, de l’autre j’ouvre sa bouche de force et glisse le poing entre ses dents. Je maintiens sa bouche ouverte et fais entrer ma bite. Je ne l’enfonce pas trop pour ne pas le dégouter et j’avoue que j’ai peur d’un coup de dent. Je le relâche. Il relève la tête, me regarde. Je lui fais signe d’y retourner. Il baisse alors la tête ouvre la bouche et engloutit ma queue un peu maladroitement. Il pose une main sur ma cuisse et se masturbe de l’autre, comme pour se donner du courage. Au fil des minutes il s’améliore. Sa langue tourne autour de mon gland. Il aspire un peu, fait aller ses lèvres du haut jusqu’au plus bas de ma queue. Je l’entends gémir, et d’un coup il se relève en criant. Il est en train de jouir. Sa queue est prise de spasmes, il inonde la moquette de la chambre de son sperme blanc. Je n’existe plus. Il ferme les yeux et profite de sa jouissance en solitaire.
Je suis frustré. Je ne pensais pas qu’il viendrait aussi vite. Sans un mot il se lève et file dans la salle de bains. Pudique, il ferme la porte, j’entends la douche couler. Je m’allonge sur le dos, nu, la tête calée sur l’oreiller et décide d’attendre.
10 minutes plus tard, il coupe l’eau. J’entends le frottement d’une serviette sur son corps. Il ouvre la porte et sort, la serviette autour de la taille. De ses cheveux s’échappent quelques gouttes d’eau qui glissent le long de ses joues. Il est vraiment beau. Son corps est encore humide. On devine la forme de son épaisse queue sous la serviette. La vision de ce mec me remet immédiatement en forme. Je bande dur, très dur.
Il regarde ma queue prendre du volume en souriant.
- Désolé. Tu m’as excité. C’était ma première pipe.
- Pas grave. Mais il me semble que tu n’étais pas venu pour ça.
Il me regarde, fait tomber sa serviette et vient s’installer à 4 pattes sur le lit. Il met son cul face à moi. Je me relève légèrement. J’ai une vue plongeante sur son trou encore vierge et très poilu lui aussi. Avec les mains j’écarte ses deux fesses bien fermes et glisse ma langue dans cette toison encore humide. Je fais le tri dans tous ces poils pour atteindre son œillet serré. J’entreprends de lui préparer le trou en forçant l’entrée avec ma langue. Il pousse un nouveau gémissement et je sens son sexe se remettre au garde à vous. Je le caresse doucement tout en continuant mon exploration anale. Il apprécie.
Je me relève et commence à lui masser la rondelle bien mouillée de salive avec les doigts. En même temps je lubrifie ma queue comme je peux. Je cherche un préservatif du regard, mais je n’en vois pas.
- Tu as des préservatifs ?
Pour toute réponse, il se relève, me plaque sur le lit et s’empale en s’asseyant sur ma queue. Il pousse un hurlement de douleur. Je crie aussi tellement le frottement est intense. J’ai l’impression que la peau de ma bite s’est arrachée, comme épluchée au passage de sa rondelle serrée. Il ferme les yeux et grimace, mais reste assis sur moi. Après 2 ou 3 minutes, il semble s’habituer à la douleur. Moi aussi. Il tente de remonter le bassin. Il m’arrache à nouveau. Je veux le repousser, mais il est trop lourd. Je lubrifie de salive le bout de ma queue qui n’est pas dans son cul. Il poursuit par de tout petits va-et-vient puis amplifie lentement ses mouvements. Ses yeux sont perdus. Il prend du plaisir. Je ne peux pas en dire autant. Je décide de reprendre les choses en main et le fait basculer sur le dos. Je sors ma queue de son cul. Je crache à nouveau dessus pour la lubrifier et apaiser la douleur. Thomas s’est mis sur le dos. Je lui soulève les jambes et l’enfonce d’un coup. Il pousse un cri étouffé. Cette fois c’est lui qui va prendre cher. Je le pilonne sans ménagement. Ses gémissements se transforment rapidement en petits cris de jouissance. Sa grosse queue est écarlate. J’ai l’impression qu’elle peut exploser à tout moment. J’accélère encore le mouvement, et c’est alors que je vois les veines de sa grosse bite prendre un volume indescriptible. Tous ses muscles se tendent. Le corps de Thomas devient dur comme du béton et dans un cri rauque il lâche de puissants jets de sperme qui passent au-dessus de sa tête et viennent s’écraser sur les draps. La vision de cette jouissance intense vient à bout de ma résistance. Je décharge 5 ou 6 longs jets dans son cul. Je sors ma bite tout en continuant à jouir pour être bien sûr qu’il sente mon sperme couler à l’intérieur et à l’extérieur de son cul. J’aime quand le travail est bien fait.
Nables
anthoine02@gmail.com
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