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Chapitre 9
Salut,
Moi, c’est Thibaut. J’ai 31 ans, je fais 1m78 pour 68kg. Je suis châtain, j’ai les cheveux frisés mais assez courts, j’ai une barbe de trois jours. Je suis plutôt musclé, j’ai un physique élancé. Je ne suis pas vraiment poilu, juste un peu sur le torse et sur le pubis. J’ai une bite de 18 cm, assez fine, avec des couilles plutôt fermes.
Comme je vous l’ai raconté, mon pote Julien a appris que j’étais gay. Il est hétéro, marié. Il m’a alors posé plein de questions. Alors que je décelais une certaine attirance de sa part, je lui ai tout simplement proposé d’essayer. On s’est alors sucé... et je l’ai même baisé ! Cependant, il m’a fait promettre de ne rien révéler de ce dérapage... mais on n’en est pas resté là. Il me semble qu’il a commencé à devenir accroc à ma bite... en tout cas, il en redemande !
Julien a 34 ans, il est châtain, il a les yeux marrons, avec une gueule d’ange. Il fait du sport depuis qu'il est gamin. Autrefois, il faisait du foot. Aujourd’hui, il fait de la natation, un peu de footing, du vélo et il va à la salle de muscu. Il n’a pas un brin de graisse, juste des muscles bien saillants et un cul magnifique qu’on devine au travers du tissu de son pantalon moulant. Il est cool, sympa, avenant, curieux de plein de choses. Il est marié depuis quelques années, il a deux enfants... Bref, il coche toutes les cases de l'hétéro BG qui a réussi sa vie.
Aujourd’hui, je vais faire des courses car je reçois des potes demain. Pour Julien, les travaux dans la maison se poursuivent et avancent bien. Il bosse dur et sa femme lui impose de sortir un peu pour s'aérer la tête et se détendre un peu. Donc, quand elle a su que j’organisais une soirée, elle lui a presque ordonné d’y aller et de m’aider aussi. Elle est trop mignonne, mais elle n'a pas encore compris que, quand il pose les outils, c'est pour venir s'occuper du mien... Il est très doué en plus !
Julien m’a donc proposé de m’aider. On a convenu de se retrouver au supermarché, puis de se boire un verre après et, pourquoi pas, de baiser.
J’entre dans le supermarché et je vois Julien dans le rayon des boîtes de conserve, en train de lire les étiquettes sur le rayon. J’arrive derrière lui et je lui mets une petite tape appuyée sur son cul. Il sursaute :
- Hey, tu vas ?
Il se détend quand il se rend compte que c’est moi. Il a l’air content de me voir. On échange deux, trois banalités, le temps que les autres clients partent. Une fois seuls dans le rayon, il me dit :
- Trop envie que tu me la mettes !
- Ben écoute, on passe en caisse, tu viens chez moi et je m'occupe de te calmer !
On paie, on s'attend sur le parking, Vu que je n’habite pas loin, je lui propose de laisser sa voiture sur le parking et une fois notre affaire faite, je l’y ramènerai. D’accord, il monte, je démarre et directement, il pose sa main sur mon paquet :
- Putain, t'as faim toi !, dis-je
- Ouais, grave en manque de ta queue !
- On va vite arranger ça !
Et soudain, son téléphone sonne. C’est sa femme, elle semble paniquée. Un problème avec le compteur d'eau, apparemment. J’entends juste Julien lui dire :
- Ecoute, panique pas, je fais vite, j'arrive !
Ça sent le plan cul qui va tomber à l'eau. Je me vois déjà me faire une branlette devant un porno ! Etant à 2 minutes de chez moi, je lui demande :
- Bon, je suppose que je te ramène là ?
- Ben ouais, c'est la galère, c'est tout neuf et ça peut pas attendre ! Et bien sûr, une veille de jour férié, c'est toujours comme ça !
Je fais demi-tour, on repasse devant un petit bois, j'ai alors comme une pulsion. Brusquement, je freine et je m’engage dans un petit chemin en lui disant :
- Ecoute, t’es pas à 10 minutes prêt, je veux trop te baiser là !
J'arrête la voiture, on sort. Il semble inquiet mais je m’en fous. Je le plaque sur le capot... et en mode chienne, il déboutonne son jean, je le baisse d'un coup avec son boxer, il cambre tout simplement son magnifique cul pour me l'offrir. Je crache dans ma main, j'étale ma salive dans sa raie et sur son trou, je rentre deux doigts, et je le doigte, ce qui le fait bien couiner. De l'autre main, je branle ma queue, je laisse tomber un peu de salive dessus, puis je lui fous directement mes 18 cm dans le trou. Il gémit fort, il bande bien dur. Je le baise à fond. Il débande. Je le baise, comme ça, dans le chemin, car j’ai trop besoin de me vider.
Soudain, une averse nous tombe dessus ... mais ça ne nous arrête pas. Je le défonce, je le pilonne, je ne fais pas attention à lui. Ce qui compte, c’est mon désir pour son trou. Mes cheveux sont mouillés. La pluie tombe sur ma queue et elle vient aussi servir de lubrifiant pour son trou. Mes couilles font un bruit mouillé quand elles cognent ses fesses. Mes mains sont posées sur ses épaules, son corps posé sur le capot et il subit mes assauts répétés et violents. Je remarque qu’il prend du plaisir par son cul et je vois qu’il rebande. Son gland mouille et il se met à se branler.
Il me faut à peine 5 minutes pour l’engrosser. Je jouis en lui mettant des coups de reins secs à chaque giclée dans son cul. Il me regarde, le visage fouetté par la pluie. Je jute bien une dizaine de jets. C’est une vraie inondation pendant une dizaine de secondes ! Je tasse mon jus, puis je finis par ressortir. Sa raie dégouline de ma semence qui dégouline de son trou bien ouvert.
Il se rhabille, on remonte vite en voiture, je le ramène à sa voiture et on se sépare comme ça. Il repart le cul bien fécondé et chargé à bloc.
A suivre...
Je tiens à préciser que cette histoire est réelle !
Merci à Thibaut pour ses révélations.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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