Premier épisode | Épisode précédent
Chapitre 6
Comme je l’ai raconté dans les cinq premiers chapitres, j’ai publié une annonce sur Internet, sur un tchat bien célèbre, où je disais que j’attendais dans une chambre d’hôtel nu, le cul à l’air, prêt à recevoir le jus de n’importe qui... la seule condition étant d’être poilu. Dès les premières minutes, je n’ai pas été déçu. En tout, 13 mecs m’ont baisé au jus.
Une demi-heure après qu’Enrique et Stéphane m’aient quitté, un superbe mec entre dans la chambre. Il respire la testostérone. Il doit avoir dans les 40 ans, il a un regard de braise. C’est un Italien, appelons-le Marcello. Il a les cheveux rasés et une barbe touffue et noire. Il a de larges épaules. En me voyant nu sur le lit, il se déshabille et il dévoile son magnifique corps à la peau bronzée. Il est grand (1,80 m). Il a un cou de taureau massif. Il a des pectoraux développés et un ventre assez gros. Il a des tétons noirs avec un piercing. Son torse est recouvert de poils noirs, longs et frisés. Son ventre, ses épaules et ses bras sont aussi poilus, même s’ils sont moins épais. Il a des cuisses épaisses et poilues. Sa touffe pubienne est fournie, elle recouvre une large surface avec ses poils longs et lisses. Sa queue fait 15 cm et elle est très épaisses. Ses couilles sont à peine poilues, elles sont grosses.
Il vient se poser avec moi sur le lit et il me prend immédiatement dans ses bras. Il se met à embrasser mon épaule et mon cou. Je me laisse faire. J’apprécie ce moment de tendresse. Puis il se redresse et il caresse mon cul. Il me roule alors une grosse pelle. Mes mains caressent son corps que je trouve magnifique. Elles jouent avec ses poils épais sur son torse qui me fascinent. Puis c’est ma langue qui descend et qui se met à jouer avec sa toison noire. Et je descends finalement vers sa queue que j’enfonce dans mon gosier. Elle m’ouvre la mâchoire en grand.
Soudain, j’entends les gonds de la porte geindre. Je regarde du coin de l’œil ce qui se passe : un gros mec rentre dans la chambre et il va se placer sur un fauteuil. Je lui fais signe de venir mais il n’en fait rien. Il se met à frotter sa main contre son paquet et il nous observe. Je continue donc à m’occuper de Marcello. Ce-dernier me relève après quelques minutes et il se penche sur ma queue. Il la prend ne bouche, il la suce, puis il la lèche. Ensuite, il descend plus bas et il me gobe les couilles. Et sa langue atteint mon anus. Il se met à me titiller la rosette. Puis, il me fait mettre les jambes en l’air et il plonge sa langue dans mon trou qu’il commence à bouffer. Je gémis de plaisir. Je vois l’autre mec, appelons-le Octavio, qui sort sa queue de son pantalon. Puis, il se lève et il se déshabille complétement avant de se rassoir.
Octavio doit avoir dans les 50 ans, il porte des lunettes. Il a des cheveux courts et noirs qui laissent deviner un début de calvitie. Il a une barbe noire très fournie. Le mec est très gros. Il a de gros seins et un énorme ventre rond et pendant. Son corps est complètement recouvert de poils noirs et épais. Pas un seul centimètre carré de sa peau n’est épargné. Il en a partout : ils commencent dans son cou, ils recouvrent ses épaules, ses bras au complet jusqu’aux phalanges, ses jambes aussi. Il a une bite de 16 cm qui est surmontée de poils noirs, épais, longs et frisés : une vraie forêt vierge. Il a de grosses boules pendantes.
Il se met à se branler et ses couilles bougent lourdement aussi de haut en bas. Marcello se redresse et il plonge sa queue dans mon anus. Sa bite m’écarte bien les chairs ! Il me fait mettre sur le ventre et il commence à me baiser. Ses allers-retours sont réguliers et profonds, sans être vraiment rapides. Son corps poilu me chatouille le dos. Son gros ventre me caresse. Il entoure mon cou de ses bras et il m’embrasse dans le cou tout en me baisant. Je lève la tête et je vois Octavio qui se branle doucement en nous matant.
Marcello me fait mettre à quatre pattes au bord du lit, il reste debout et il s’enfonce en moi. Il me baise lentement tout en me fessant. Au bout de 5 minutes, il se pose sur le lit et j’en profite pour le sucer de nouveau. Sa queue a le goût de sperme de ses prédécesseurs. Je lui fais de bonnes gorges profondes et il soupire de plaisir pendant que je lui caresse les couilles.
Ensuite, il me fait mettre sur le dos et il s’enfonce en moi. Il entame des mouvements plus rapides et il se penche sur moi pour m’embrasser à pleine bouche. C’est un si bon amant... Il me baise avec passion et désir. Sa queue m’ouvre bien et elle masse ma prostate. Il me fait ensuite mettre de nouveau sur le ventre et il s’enfonce en moi. J’imagine ses grosses cuisses vaciller sous ses va-et-vient, ainsi que ses couilles qui rebondissent sur mon cul. Sa queue entre et sort de mon anus, faisant expulser à chaque fois un peu de jus sur les draps.
Il me remet ensuite sur le ventre pour bien m’embrasser. Ses coups de reins deviennent plus secs et plus puissants. Octavio se lève alors et il se place derrière mon baiseur. Il admire sa queue sans capote s’enfoncer en moi. Il tend alors la main et il caresse mon cul. Puis, sa main passe sur les boules de Marcello qui se met à gémir. Les coups de queue deviennent plus profonds, plus sauvages. Marcello se relève et tient mes chevilles tout en me baisant moins vite mais plus puissamment. Il admire sa bite marron entrer et sortir de mon cul.
Je sens son gland gonfler et je comprends qu’il va jouir. Ses coups de bite deviennent plus sauvages et rapprochés. Il lâche alors son sperme dans mes entrailles tout en continuant de me baiser. Je sens son gland pomper son jus en moi. Moi, je caresse son ventre poilu, savourant le contact de la peau de cet ourson poilu et puissant.
Il sort de mes entrailles, je sens du jus couler et c’est Octavio qui se place au-dessus de mon trou et qui se branle désormais avec frénésie. Il se mord la langue et je comprends qu’il va jouir. Son gland pointe contre ma rosette. Un premier jet jaillit contre mon anus et éclabousse tout. Je sens quelques gouttes entrer dans mon trou ouvert. Il semble ne plus pouvoir se contrôler et il enfonce sa queue en moi qui pulvérise, telle une sulfateuse, mes entrailles d’un sperme liquide et abondant. Je compte bien 14 jets.
Le gros Octavio se couche, épuisé, sur moi. J’en profite pour le caresser et sentir son gros gabarit contre moi. Mes mains s’affolent entre ses poils.
Il se relève vite et il va se rhabiller. Marcello sort de la salle de bain et il vient se coller contre moi. Il m’embrasse sans dire un mot et il place ma tête sur son torse puissant. Octavio quitte la pièce et je me colle contre le corps viril de Marcello qui semble vouloir rester pour un deuxième round.
A suivre...
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
Autres histoires de l'auteur :