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Chapitre 13
Comme raconté dans les premiers chapitres, Walid vit depuis 1 an à Toulouse. Il est marocain, il a réussi à avoir un visa pour pouvoir faire ses études en France. Il habite une petite chambre d’étudiant non loin de l’université qu’il peut payer grâce à sa bourse d’études. Il profite de la vie sur Toulouse pour rencontrer des mecs et des nanas, ce qu’il tait à sa famille au bled. Un jour, son cousin Malik, qui habitait dans la région parisienne, vient s’installer chez lui après la perte de son travail. Malik comprend vite que Walid n’a rien contre les hommes et que Malik lui plait bien. Ce-dernier essaie plein de trucs pour faire craquer Walid, sans succès. Mais un jour, après une soirée bien arrosée, Malik embrasse son cousin qui cède à ses pulsions et rend les baisers de son cousin. C’est le début d’une longue histoire car de fil en aiguille, les deux cousins baisent ensemble, constatant qu’ils sont bi. Et finalement, Malik avoue à Walid qu’il est amoureux de lui depuis toujours. Walid lui répond qu’il partage aussi ces sentiments. Ils décident alors d’emménager ensemble dans un petit appartement. Après un plan à trois avec un pote de la fac, Malik reçoit un appel de son oncle Bachir qui lui annonce qu’il vient en France et les deux cousins comprennent qu’ils vont devoir l’accueillir...et cacher bien sûr leur relation spéciale... Bachir couche dans le même lit que Walid et très vite, Walid constate que son oncle est assez ouvert... car ce-dernier baise son neveu ! Après que Walid lui a raconté ça, Malik décide de mettre son oncle à l’épreuve. Ils finissent par faire l’amour tous les trois. A la fin, Bachir leur annonce que le père de Walid va venir passer quelques jours aussi ici. Walid pense alors : « Putain ! Alors que la baise avec mon étalon d’oncle commençait à devenir vraiment intéressante, voilà que papa vient déjà tout gâcher ! »
Ça y est, Khaled est arrivé. Walid, son fils, le regarde de la tête aux pieds. Khaled est de petite taille. Il a 42 ans. Il a des cheveux courts et frisés, noirs. Il est rasé de près et il a une petite moustache. Il a une peau sombre. Il est de stature mince.
Il semble content d’être ici. Walid lui demande :
- Alors, papa, que viens-tu faire ici ?
- Ça fait longtemps que je voulais voir mon fils préféré... Et étant donné que Bachir est venu et que je ne l’ai pas vu depuis un moment, je me suis dit que je pouvais faire de deux pierres un coup.
- Ok cool..., dit Walid, un peu énervé de devoir abandonner les parties de jambe en l’air avec son oncle.
- Et tu vas dormir où, oncle Khaled ? Tu veux que je te laisse le canapé ? Je peux très bien dormir par terre, propose Malik.
- Non, dis pas de bêtises. Je vais dormir dans la chambre à côté de Bachir. On se serrera, hein, Bachir ?
- Oui, t’inquiète. Comme dans notre jeunesse.
- Vous avez déjà dormi dans le même lit ?, s’étonne Walid.
- Tu sais, Walid, on est cousin. A l’époque, on n’avait pas le luxe que vous avez maintenant. Quand on avait de la visite, on n’avait qu’une paillasse pour dormir et on laissait le lit aux invités. Et parfois, les cousins dormaient ensemble dans un lit et les cousines dans une autre chambre.
Voilà, Walid en était sûr ! Il ne pourra même pas profiter de son oncle en secret. Il soupire.
- On mange quoi ?, s’enquiert Khaled.
- Je vais voir ce que j’ai dans le frigo, répond Walid.
Il se rend dans la cuisine et il leur mijote un bon petit plat. Il est de meilleure humeur quand il se rend compte qu’il dormira sur le canapé avec Malik. Au moins, il pourra se rattraper avec lui !
Sur les coups de 11h, Khaled dit qu’il va se coucher. Malik prépare le canapé et il le met en mode lit tandis que Walid prépare la chambre pour son père. Une fois seul, Malik se blottit dans les bras de son amoureux.
- C’est dommage qu’on ne puisse plus profiter de la bite de Bachir... mais si tu as toujours envie de moi, je peux essayer de remplacer sa queue !
Walid se retourne, souriant :
- T’es bête ! J’ai toujours envie de toi ! C’est difficile de pas te sauter dessus quand ils sont là.
Les deux rebeus s’embrassent et Malik sent la bite de Walid gonfler contre son ventre. Il le serre fort contre lui en disant :
- Tu m’as trop manqué, mon amour !
- Toi aussi, bébé !
Malik se met à branler la queue de son cousin... mais ce-dernier a trop envie d’être passif ! Walid disparait sous les couvertures et il saisit les 23 cm de son cousin. Il tape le gland contre sa langue et il enfonce la teub dans sa bouche. Il se met à sucer goulument la bite. Malik lui caresse les cheveux. Il adore quand son cousin se comporte comme une chienne. Parfois, il appuie sur sa tête pour qu’il lui fasse une gorge profonde. Finalement, il remonte vers son cousin et il l’embrasse passionnément.
Ensuite, Walid se retourne et il frotte ses fesses contre la bite tendue alors que Malik le prend dans ses bras. Ils sont dans le noir donc Walid ferme les yeux et il ne peut qu’imaginer son cousin, nu. Malik a un corps fin tout en muscles, sans un poil, un torse bien dessiné, avec de deux jolis tétons marron. Il a de beaux abdos bien développés, de gros biceps, des jambes musclées et un peu poilues, un cul bien rebondi, ferme et lisse. Son torse est un peu poilu, son ventre l’est plus. Mais ce sont surtout ses assez grosses couilles sans un poil et sa queue longue de 23 cm, épaisse.
Malik caresse le corps de Walid et il fait pareil, il se le représente nu. Walid a 20 ans, c’est un beau petit minet. Il a les cheveux courts noirs, une barbe de trois jours. Il est mince avec une peau mate. Ses tétons sont gros et noirs. Il a juste quelques poils sur le pubis, le ventre et sur les couilles. Il a une bonne teub de 20 cm qui est bien marron. Elle devient rose sous et sur le gland. Il a de grosses couilles bien noires. Même s’il est mince, il a un gros cul poilu bien bombé, bien formé.
D’un geste de hanche parfait, Walid réussit à bloquer le gland de Malik dans son anus. Malik le ressort et il se met à doigter son cousin avec de la salive. Puis, il remet le gland dans le trou. Il s’enfonce alors doucement. Walid essaie de réprimer ses gémissements. Une fois sa bite entrée à la moitié, Malik se met à faire des allers-retours lents, enfonçant toujours plus son morceau dans le trou offert jusqu’à qu’il soit entièrement dans son anus. Il prend Walid dans ses bras et il entame une baise rapide et régulière. Walid sent bien la grosse bite l’ouvrir. Les couilles claquent contre son périnée.
Après quelques minutes, il le fait mettre à quatre pattes. Il s’enfonce rapidement en lui, et il commence à le pilonner rapidement. La bite entre et sort hyper vite tel un piston qui défonce le trou de Walid. Les grosses boules fouettent le cul bruyamment. Walid prend peur à l’idée que son père les entende. Les cuisses de Malik rebondissent sur les fesses de Walid qui vacillent et vibrent. Sous le poids de Malik, Walid finit par se retrouver sur le ventre. La grosse bite continue de coulisser rapidement dans le trou de Walid.
Dans un mouvement bestial, Malik enfonce entièrement sa bite dans l’anus et Walid sent sa bite être prise de secousses pour éjaculer une bonne dose dedans. Malik se met à tasser son jus épais qui remplit tout son trou. Finalement, il ressort et un épais filet de sperme en coule et va souiller les draps. Walid se branle, il jute dans sa main et il ne voit pas d’autre choix que d’avaler son sperme... ce qu’il fait avec plaisir. Malik prend Walid dans ses bras et ils s’endorment ainsi.
Dans la nuit, Walid se réveille. Est-ce un bruit qui l’a réveillé ? Il tend l’oreille mais il n’entend que Malik qui ronfle. Il se rendort vite.
Le lendemain, son réveil le sort de ses rêves. Il va se doucher et il se prépare un café avant d’aller à la fac. Quand il sort de la cuisine, il tombe sur son père qui le salue. Content, Walid va dans sa chambre, il prend des habits propres dans son armoire et il saisit son sac à dos. Soudain, il voit quelque chose par terre. Il regarde... et il prend peur : du sperme séché ! Il se dépêche de prendre un mouchoir et avec de la bave, il nettoie la tâche. Il est horrifié : il espère que son père n’a rien vu, il n’a pas envie qu’il apprenne le secret que partagent Malik et lui. Il se relève et il inspecte le sol. En levant la tête, il voit une autre tâche sur la table de chevet. Quelle honte ! Il s’empresse de la nettoyer. Puis il se relève. Son père rentre alors dans la chambre. Walid espère n’avoir rien oublié. Son père lui demande :
- Tu rentres à quelle heure ce soir ?
- Je serais pas là avant 18h.
- Bonne journée, mon fils. Apprends bien !
- Oui, papa.
Walid dit au revoir à tout le monde et il quitte l’appartement. Mais il apprend, une fois arrivé à la fac, que son dernier cours n’a pas lieu en raison d’un arrêt maladie de son prof. Content, il constate qu’il aura fini à 14h !
Il mange au Resto Universitaire puis il rentre chez lui. Il ouvre la porte d’entrée et il pose ses affaires. Il ne voit personne. Il se dit que les autres ont dû sortir. Il va aux toilettes et quand il en sort, il tend l’oreille. Il entend des bruits de... Oui... ce sont bien des gémissements ! Il rigole et il se dit que Malik n’a pas dû être long à profiter de la situation pour rebaiser avec leur oncle. Il se demande où est son père. Il regarde son portable et il voit un message de Malik qui lui annonce qu’il doit bosser plus longtemps et qu’ils ne doivent pas l’attendre pour manger. Surpris, Walid se demande qui se trouve dans la chambre. Sur la pointe des pieds, il va à la porte de la chambre et il tend l’oreille. En effet, il entend le lit grincer. Il ouvre doucement la porte. Les grincements laissent supposer des bruits réguliers de baise. Il regarde dans le miroir de son armoire et il se trouve comme frappé par la foudre : il constate que son oncle est là, en train de baiser, sa grosse queue enfoncée dans le trou serré ... de son père !
Bachir s’arrête et il demande :
- Ça va ? Ça fait un moment que tu t’es pas pris ma queue !
- Ça va ! T’arrête pas ! C’est trop bon ! Vas-y, défonce-moi !
Walid est choqué d’entendre son père parler ainsi. Bachir reprend la baise et Walid voit sa grosse queue bandée faire des allers-retours rapides dans le trou de son père. Il admire l’épaisse touffe de poils qui entoure la queue et qui cogne contre la peau paternelle. Il voit aussi son trou, serré, qui accueille ce monstre qui le distend au maximum. Il admire le basson de son oncle qui fait des allers-retours pour baiser son père. Il adopte un rythme lent au début, puis il accélère la cadence. Bachir dit :
- C’est tellement bon ! Ton cul m’avait trop manqué !
- Et moi, j’étais trop en manque de ta grosse queue !
Walid voit que la bite de son oncle entre et sort dans de longs mouvements saccadés et rapides. Il admire aussi les grosses couilles poilues qui se balancent sous les coups de reins. Ses couilles vont buter contre ses fesses, à chaque pénétration, bruyamment. Il admire aussi le cul velu de son oncle qui fait des va-et-vient.
Puis, Walid voit son oncle sortir du cul de son père qui se précipite sur la grosse teub et qui la suce comme une sucette. Walid peut admirer les deux mecs, nus.
Bachir doit bien avoir 50 ou 55 ans, il est le travailleur immigré typique des années 70. Il a des cheveux sauvages et touffus, grisonnants, une moustache fournie, une barbe rasée de telle sorte qu’on la devine quand même. Il n’est pas très grand et il est mince, sans être musclé. Mais quelle bite ! Un énorme morceau de 26 cm pendouillant sous d’énormes couilles noires et poilues ! Son pubis surplombe sa queue, il est extrêmement velu avec des poils longs, noirs et frisés.
Quant à son père, il a un corps mince, sans être vraiment musclé. Son torse ainsi que son ventre sont recouverts de poils épais et frisés qui forment un tapis. Ses bras et ses jambes sont aussi bien poilus. Son pubis est extrêmement étendu, velu, avec des poils noirs, drus et longs, formant un vrai buisson de poils noirs. Il a une bite épaisse marron foncée de bien 22 cm. Elle est recourbée vers l’avant avec un gland rosâtre. Il a de grosses boules bien remplies, presque noires, extrêmement poilues.
Walid se dit alors qu’il n’avait jamais vu son père nu. Puis, il réfléchit. Faux. Une fois, il était rentré dans la salle de bains alors qu’il habitait encore à la maison. C’était tôt le matin, il avait ouvert la porte alors que son père se rasait, nu. Il devait avoir eu la gaule du matin car sa bite était en demi-molle. Il l’avait observée pendant quelques secondes, se disant qu’elle était énorme et bien large.
Khaled tient le monstre de Bachir entre ses deux mains et il avale le gros gland ainsi que la moitié de la queue qu’il se met à sucer lentement. Walid a une belle vue sur le cul dilaté de son père. Bachir caresse la tête de son cousin. Puis, Bachir se relève et Khaled se met sur le dos. Bachir, debout, enfonce lentement son gland dans le trou... puis le reste suit, sans trop d’effort. Walid voit les poils du pubis de Bachir atterrir lentement contre le cul de son père. Puis, l’actif entame de lents va-et-vient. Les 22 cm de Khaled sont tendus contre son ventre et Bachir les saisit pour les branler. Puis, il se met à accélérer les mouvements de baise. Dans le miroir, Walid aperçoit les grosses boules de son oncle fouetter le cul de son père tandis que le pubis s’écrase contre les couilles paternelles. Khaled gémit doucement et Walid se rend compte qu’il encaisse bien cette grosse bite. Il le voit saisir sa bite et la branler. Puis, il l’entend dire :
- Ta grosse bite m’avait manqué, Bachir !
- Et toi, c’est ton trou qui m’avait manqué !
- Ça fait trop d’années qu’on s’était pas vu !
- Oui ! Il va falloir se voir plus souvent !
- Oui ! Vas-y, bébé, baise-moi !
Bachir accélère la cadence et il pilonne le cul offert de Khaled. Parfois, il sort sa bite, joue avec le gland sur l’anus avant de la renfoncer sur toute sa longueur. Au bout de quelques minutes, Bachir quitte le trou et il se pose sur le lit. Khaled grimpe sur le corps de son cousin, il saisit la teub dressée et il s’empale lentement dessus. La queue glisse en lui et il se retrouve complètement embroché dessus. Walid a une belle sur le cul de son père qui se met à monter et descendre le long de ce monstre. Il a une belle vue sur la raie poilue paternelle ainsi que sur le trou qui avale cette énorme bite et qui se retrouve collé aux couilles énormes.
Khaled dirige la baise et Bachir se laisse faire. Parfois, les deux cousins se roulent des pelles. Il entend au bout de 5 minutes Bachir dire :
- Je vais pas tarder à jouir !
- Oui ! Vas-y, remplis-moi ! J’ai envie de ton sperme !
Walid est choqué d’entendre parler son père ainsi. Khaled accélère le mouvement et Bachir pousse un râle. Walid voit alors ses grosses couilles pomper le jus hors de sa queue. Walid connait le sentiment que son père éprouve : il l’a ressenti la même chose deux jours auparavant. Il se remémore ses couilles de taureau qui lui ont bien rempli le cul. Il se souvient des contractions de la bite qui a expulsé le jus fort en lui. Il ne semblait pas s’arrêter de le remplir.
Finalement, son père se relève, la bite de Bachir retombant lourdement sur son ventre, et il voit le sperme dégouliner hors de son trou béant pour atterrir sur la bite à moitié molle. Khaled se pose à côté de Bachir et il se branle. Bachir se met à l’embrasser sur la bouche tout en triturant ses tétons. Khaled jouit au bout de quelques minutes. Ce sont 6 gros jets de sperme blanc qui atterrissent sur la peau marron de son ventre.
Walid referme discrètement la porte et il prend ses affaires. Il sort en catimini de l’appartement. Il s’installe au café du coin où il prend un whisky. Il a besoin de se calmer les nerfs. Ce qu’il vient de voir le perturbe énormément. Il n’aurait jamais cru un truc comme ça possible : son père qui se fait baiser par son oncle Bachir. Il n’avait jamais eu le moindre doute quant à la sexualité de son père. C’est comme si son monde s’effondrait autour de lui. Mais il comprend alors l’empressement et la spontanéité inattendue de son père quant à sa visite. Puis, finalement, il se dit que si c’est son père est homo, il a plus de chance que lui : il n’a pas pu avoir le choix de vivre avec un homme. Il a dû épouser sa mère et avoir des enfants, c’est ce que la société attend des hommes au bled. Ça le conforte dans son choix de vivre avec Malik en France.
Vers 17h, Walid rentre à l’appart. Quand il arrive, il trouve son oncle devant la télé. Il demande :
- Papa est pas là ?
- Non, il est sorti faire quelques courses à la superette du coin. Il veut faire à manger apparemment.
- Il sait cuisiner ?
- Oui, plutôt bien.
Walid est surpris mais il ne dit rien. Il veut aller poser ses affaires dans sa chambre quand Bachir l’arrête :
- Walid, viens là.
Walid s’assoit près de son oncle :
- Il faut qu’on parle, dit Bachir.
- De quoi ?
- De ce que tu as vu tout à l’heure ?
- Je comprends pas.
- Fais pas l’idiot. Si tu as pu nous voir avec ton père dans le miroir, ne crois-tu pas que j’ai pu te voir en train de nous mater.
- Ah...
- Walid... ça t’a donné envie ?
- De... ?
- Baiser avec nous ?
- Beurk ! Non, pas avec mon père !
- Dommage, ça aurait pu être sympa...
- Jamais...
- Bref... Je te demande de ne rien dire au bled.
- Tu crois quoi ! J’ai tout autant à perdre que vous si jamais on le sait là-bas pour Malik et moi.
- Oui !
- Par contre. Je dois t’avouer que vous m’avez surpris. Je ne m’en serais jamais douté. Et ça ne semble pas dater d’hier.
- En effet...
- Oncle Bachir... J’aimerais bien savoir comment vous en êtes venus à baiser...
- D’accord... Je vais tout te raconter...
Bachir prend alors une profonde respiration...
A suivre...
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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