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Chapitre-4
Je m’appelle Youness, je travaille comme plombier et j’ai 30 ans lorsque je fais la connaissance d’Alexis sur une application de rencontre. Moi, au début, je faisais 1,80 m pour 85 kg tandis que lui a 29 ans, il est plutôt petit (1,70m) et il fait 75 kg. Son profil sur l’application le décrivait comme étant un « bodybuilder ».
J’ai fait la connaissance d’Alexis, un mec super mignon qui après plusieurs rencontres, a voulu faire de moi un pacha rebeu. Depuis, il me fait suivre depuis un régime spécial à base de nourriture riche en protéines et de shakes afin que je prenne de la masse et que je jute plus de sperme. En gros, il veut que je devienne son « taureau reproducteur ». Il me sert, mais en contrepartie, mon jus n’appartient qu’à lui. Au bout de 10 semaines, j’ai emménagé chez lui. Et finalement, au bout de 4 mois, je me suis bien transformé : j’ai pris du muscle et aussi du poids : je suis passé de 85 à 115 kg. Malgré mon scepticisme, Alexis m’a convaincu de continuer et je me suis rendu compte que je me transformais en véritable taureau reproducteur : chaque soir, j’arrive à jouir bien 8 fois d’affilée. Et quelques semaines plus tard, mon alimentation est toujours plus riche. J’attends presque les 125 kg. Je finis par me rendre compte que maintenant pour moi manger et être excité sont étroitement liés.
« Tu ne peux plus baiser sans en même temps manger ! » Cette phrase prononcée par Alexis résonne depuis une semaine dans mes oreilles.
Aujourd’hui, on retourne dans le sex-shop qui s’occupe de confectionner le harnais qu’Alexis me fait faire sur-mesure. Il ne manque plus que les trous. Sur le chemin, Alexis me fait arrêter dans un kebab et je mange 2 grecs bien pleins. Mon ventre se retrouve de nouveau bien plein. Et bien sûr, je bande ! Alexis et moi nous dirigeons alors vers les toilettes et il me vide alors bien les couilles. Alexis déballe le matos du rebeu et il avale immédiatement la queue tendue tout en malaxant les grosses couilles de taureau. Alexis fait des gorges profondes, ce qui me fait couiner. Je prends appui contre le mur et tel un pacha, je laisse Alexis s’occuper de ma teub. Parfois, le passif se met à me lécher la bite de haut en bas avant de passer au gland et de reprendre la suce. Au bout de 5 minutes, je sens mon jus monter et ma teub se met alors à juter. Le sperme sort par longs jets puissants qui mitraillent le fond de la gorge d’Alexis qui a la bouche grande ouverte et qui branle ma bite tout en accueillant en lui mon nectar tant désiré. Je gicle une dizaine de jets. Quand j’ai fini, Alexis avale avec plaisir ma semence, puis il se précipite sur ma queue qu’il nettoie avec application. Il se relève et on sort des toilettes.
Ensuite, on se rend dans le sex-shop. Le vendeur me fait essayer le harnais, puis il explique qu’avec ma stature corporelle actuelle, il préférerait placer la boucle au milieu de la ligne de trous, au cas où je prendrai ou perdrai du poids. Alexis s’écrie :
- Non ! Depuis que je le connais, Youness prend du poids et je ne crois pas qu’il voudrait changer ça.
- Hm ok. Un petit gourmand, hein ?, dit le vendeur en me faisant un clin d’œil.
Je souris un peu gêné sans rien dire. Le vendeur perce alors les trous selon les indications d’Alexis. Ce-dernier paie quand le travail est fini et nous retournons à la maison avec le harnais.
Une fois arrivés, Alexis me donne mon cadeau et j’enfile le harnais. Il passe alors une commande à un livreur de pizza. Je trouve le harnais très excitant. Il est fait d’une lanière de cuir de 7 cm et de plusieurs anneaux. Il commence en bas par un cockring large et lourd d’où part une courroie en cuir qui arrive à une sorte de ceinture. Cette ceinture, bien serrée, se trouve sous mon ventre. Une autre ceinture se trouve entre le haut de mon ventre et mon torse. Un anneau se trouve en dessous de mon diaphragme et un autre autour de mon nombril. Plusieurs courroies parcourent mon ventre, mes côtes, mes épaules, de telle sorte que mon ventre se retrouve bien ficelé. D’autres courroies parcourent mon dos, de telle sorte que je ne peux revêtir ou enlever le harnais sans aide.
Une fois qu’Alexis a fermé toutes les boucles, il s’exclame :
- C’est le parfait équipement pour mon taureau reproducteur ! Il te plaît ? Ça t’excite ?
- Oui ! Mais je ne bande pas (la sonnette retentit) ... mais je crois que ça va changer !
Alexis va ouvrir la porte et il rapporte mon « dîner » : une portion de lasagnes, 1 pizza normale, 2 pizzas jumbo, 3 portions de tiramisu. Ma queue se dresse devant tout ça, sachant qu’un moment de sexe très intense allait avoir lieu.
On commence par la pizza jumbo. Elle est avec du salami, des légumes et beaucoup de fromage. Alexis prend un morceau et il l’enfonce dans ma bouche. Je mâche goulûment et il me donne un deuxième. Je bande dur. Le cockring met bien en évidence ma bite. On en voit les veines saillantes. Alexis vient se mettre entre mes jambes pendant que je continue de manger. Il me suce doucement et je sens le jus monter dans mes couilles. Quand j’ai fini d’avaler une part, il retire ma queue de sa bouche. Je prends le morceau suivant et il reprend sa suce. Quand j’ai fini la première pizza, Alexis me suce plus rapidement et je jute dans sa bouche. Ma queue est prise de soubresauts et elle envoie 11 jets puissants au fond de sa gorge.
Alexis se redresse. Il semble content de la quantité énorme que je lui ai envoyée dans son estomac. Je sens déjà mon ventre faire pression contre les courroies du harnais. Alexis va me chercher une bière. Je la bois avidement, d’un coup. Alors, il va m’en chercher une autre. Mais il ne me laisse pas la terminer. Il me donne les lasagnes qu’il a fait réchauffer. Il me donne la becquetée. Je rebande immédiatement. Alexis vient alors s’empaler sur ma queue. Sa teub, énorme, de 22 cm, épaisse, est collée contre mon ventre. Il a deux énormes couilles. Il se met à aller et venir son ma teub tout en me fourrant les lasagnes avec une fourchette. Il contrôle mon orgasme. Mais arrivé à la moitié de la portion de lasagnes, j’éjacule 6 giclées dans son cul. Il continue de me donner à manger, toujours empalé sur ma bite... qui ne débande pas. Il me fait finir la portion de lasagnes. Puis, il passe à la deuxième pizza jumbo. Il me fait passer des énormes morceaux que je mange. Lui recommence à monter et descendre sur ma queue. Je mange plus lentement car ça commence à faire beaucoup. Alexis ralentit alors la cadence. Finalement, je termine la pizza et il me chevauche comme un damné jusqu’à ce que je jute une troisième fois. Cette fois, je gicle 4 jets assez abondants.
Alexis se relève et il m’apporte une autre bière. Je la bois pendant qu’il me masse et me caresse mon ventre qui a pris encore un peu plus de volume. Je vide 4 bières en 15 minutes. Alexis me sert alors la dernière pizza. Il me la fait manger plutôt lentement. Je bande de nouveau. Alexis me branle tout en me faisant bouffer. Arriver au tiers, je jouis sous ses caresses trois petits jets. Mais mon érection ne baisse pas. Je continue de manger et Alexis me fait jouir quand il me donne le dernier morceau. 5 jets de sperme blanc et épais.
Je bois 2 autres bières et il m’entraine dans la chambre. Je mange les 3 parts de tiramisu pendant qu’il me suce. Je jouis deux autres fois. Il vient ensuite se poser contre moi et il m’embrasse. Je suis vraiment plein. Je n’en peux plus. Alexis me caresse ventre qui se retrouve complètement comprimé par les courroies.
Au bout d’une demi-heure, Alexis va chercher deux plaques de chocolat qu’il commence à me donner à manger tout en frottant son petit cul qui dégouline de sperme contre ma queue. Évidemment, je rebande. Cette fois, il se met sur le dos. Je me mets debout, je place son cul au bord du lit et j’enfonce ma bite dans son anus.
Je me donne à fond dans son cul, tel un taureau reproducteur. Mes grosses cuisses cognent fortement contre ses fesses. Sa grosse bite se dresse contre ses abdos. Mon ventre vient la cogner à chaque fois que je m’y enfonce. Je prends une cadence très rapide, très brutale. Je me donne à fond. Je le regarde dans ses yeux remplis d’envie. Ma queue se met à faire piston et à faire expulser de grosses vagues du jus déposé tout à l’heure. Puis, je marque une pause, il se colle contre moi et il me redonne du chocolat, ma bite toujours dans son anus. Je reprends ensuite ma baise intense. Alexis caresse mon bide tout en m’enfournant du chocolat dans la bouche. Mes grosses couilles frappent ses fesses. Parfois, je ressors ma queue entièrement avant de la renfoncer d’un coup sec. Je remarque alors qu’elle est bien blanche, recouverte de mon sperme de tout à l’heure. Je le déboîte bien, dans des mouvements amples et brusques. Son corps se retrouve à vibrer sous mes coups de bite.
Quand Alexis enfonce le dernier morceau de chocolat dans ma bouche, je jouis dans son cul. Lui éjacule sans se toucher. Ses giclées sont impressionnantes : elles giclent sur son corps, sur son visage, sur le lit et sur le mur derrière lui. Il éjacule une dizaine de jets. Quant à moi, je jouis 6 jets assez puissants dans son cul. Quand ma queue quitte son anus, je vois un sperme plus ou moins épais en dégouliner.
Je suis épuisé. Je me pose sur le lit. Alexis semble satisfait. Il y a de quoi : je viens de jouir 8 fois. Plus une fois dans le kebab. 9 fois au total aujourd’hui !
Les jours suivants, je m’habitue de plus en plus au harnais et quand je rentre du boulot, je demande à Alexis de me le mettre et finalement, je décide de le porter tout le temps, avec comme seul autre vêtement un pantalon de jogging. Ça me plait surtout de voir mon ventre être mis en valeur par le harnais. Il pend vraiment entre les courroies. C’est un bon sentiment.
Un matin, peu avant de partir, alors qu’Alexis est dans la douche, je me rends au frigo et je prends un « bout » de fromage que je me mets à dévorer. Soudain, Alexis entre dans la cuisine et il me surprend en train d’avaler un morceau entier de comté, la queue à la main en train de me branler. Il me regarde et il me dit méchamment :
- Tu fais quoi là ? Ton sperme m’appartient ! Et au lieu de me le donner, tu bouffes comme un porc pour t’engraisser !
Je le regarde alors, désemparé :
- Mais j’ai faim... et je suis déjà gros.
- N’importe quoi !, hurle-t-il. Tu es MON taureau reproducteur ! Ça veut dire que c’est MOI qui te contrôle !
J’arrête de manger et je vais dans le salon, la tête basse. Je me rends au boulot, un peu triste. Je lui envoie des messages pendant la journée. Pas de réponse. Le soir, il ne dit pas un mot et il n’y a bien sûr pas de sexe.
Le lendemain, au petit-déjeuner, je commence à manger. Là, il vient me sucer. Mais il n’y met pas la volonté habituelle. Je finis par lui demander ce qui ne va pas. Il se redresse et il explose :
- Je fais tout pour toi ! Tu peux être le pacha ici, qui se fait servir et qui se fait nourrir du matin au soir, qui n’a rien à faire à part me donner son sperme ! Et tu fais quoi toi ? Tu te branles en t’empiffrant dans le frigo. Je trouve ça vraiment dégueu !
- Oui, désolé, tu as raison ... mais j’avais faim, répliqué-je. Et quand je mange, j’ai besoin de me vider les couilles.
- Ah oui ! Et c’est comme ça que tu vas devenir un gros plein de soupe ! Crois-moi !
- Je pensais que tu aimais que je grossisse.
- Je ne veux pas te faire grossir ! Je contrôle ton excitation avec la nourriture. Et en tant que taureau reproducteur, tu as besoin de masse. Tu dois faire un stock de protéines ! Tu as besoin de masse pour bien baiser. Mais mon but n’est pas de t’engraisser de façon incontrôlée !
- C’est bon, j’ai compris..., maugréé-je.
- Est-ce qu’on doit reprendre là où on s’est arrêté, demande Alexis.
- Oui !, dis-je.
- Alors j’ai besoin d’une preuve que tu le désires vraiment.
- Quel genre de preuve ?
- Un tatouage ! Mais pas n’importe lequel.
J’observe alors Alexis. Il a pris vraiment du muscle ces dernières semaines. Il pèse 80 kg. Ses vêtements serrés mettent bien en évidence ses pectoraux ainsi que ses abdos. En plus, j’adore ce qu’il a fait de moi... Je ne veux rien perdre de tout cela ! D’un côté, je suis certes devenu dépendant de lui, mais d’un autre, c’est si bon de se faire servir. Je finis par répondre :
- Quel genre de tatouage ?
- Une inscription sur ton torse, en demi-cercle où il y aura marqué : cumslave – propriété d’Alexis.
- Putain ! C’est violent !
- Je sais ! Mais je veux cette preuve. Et tu n’es rien d’autre de plus, en fait. Mais comme ça, ce sera officiel.
- Je vais réfléchir, dis-je.
- Tu as jusqu’à demain 17h... L’heure de ton rendez-vous chez le tatoueur dont voici l’adresse, dit Marc en me tendant un bout de papier. Et encore une chose : sans mon contrôle, tu seras un gros tas de graisse dans moins de 6 mois, surtout à cause de ton excitation. Tu peux me croire !
C’est comme s’il me mettait un pistolet sur la tempe. Mais je sais qu’il a raison. Le reste de la journée, Alexis cuisine pour moi et on a toute l’après-midi ainsi que le soir sexe. Je jouis pas moins de 9 fois. Et quand je me couche, j’ai les couilles vides et le ventre bien plein. C’est là que je prends ma décision. C’est à cause de la baise, je le sais. Mais de toute facon, je suis son « cumslave » et oui, je vais devenir sa propriété.
Le lendemain, on va chez le tatoueur. Quand je vois le résultat, je me sens fier de cette inscription : je suis maintenant lié à lui, je me suis rendu à Alexis qui est responsable de moi. Je viens de lui offrir tout : mon corps, mon excitation... et ma liberté !
A suivre...
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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