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Chapitre 4
Salut à tous,
Je m’appelle Nico, j’ai 32 ans et j’ai ouvert il y a quelques années un groupe d’aide aux personnes dans le genre alcoolique anonyme. Mais ce n’est pas un problème d’alcool qu’ont les participants de ce groupe. Ils ont des problèmes liés à leur grosse verge. Certains ont des problèmes de poids, certains ont des problèmes d’addiction... comme certains ont des complexes ou des ennuis à cause de ce qu’ils ont entre les jambes. Dans le premier chapitre, je vous ai raconté comment Tom m’a donné l’idée de commencer ce groupe qui s’appelle « Mon gros membre » et où les mecs viennent parler de leurs problèmes ainsi que de leurs traumatismes...
Tom m’a aidé à créer ce groupe dans les locaux d’une association de quartier. Le premier mois, nous nous sommes retrouvés à deux, nous n’avions pas de succès, et à défaut d’aider des gens, on a baisé ensemble. On s’est fait surprendre par un nouveau participant, Jonathan, qu’on a par la suite aidé. Il s’est lui aussi mis à vouloir me baiser après avoir vu comment je m’étais occupé de la teub de Tom. Quelques semaines après l’arrivée de Jonathan, 3 nouveaux membres sont venus intégrer le groupe, dont Andy. Au début, il était assez silencieux, il écoutait les autres. Puis, ils se sont ouverts. Et Andy a fini par me séduire et on a aussi couché ensemble.
Malgré le fait que j’ai couché avec 3 membres de mon groupe, on se voit tous régulièrement et je pense vraiment qu’on s’entraide mutuellement et que les mecs se sentent mieux dans leur peau et dans leur vie.
Deux mois après que j’ai couché avec Andy, on se retrouve tous un soir et Tom amène un nouvel arrivant : Matthieu, qui a l’air vraiment déprimé. Son visage est pâle, on lit la fatigue physique et mentale sur ses traits. Quand je lui demande de se présenter et de nous parler des raisons de sa venue, il commence à parler :
- Ma réputation m’a précédé...
Ne comprenant pas, je lui demande d’expliquer, lui disant que personne ne le connait ici et qu’il n’a pas de peur à avoir :
- Je suis déprimé... tout ça à cause de la taille de ma queue. Je suis incapable de tenir une relation.
Après un moment de silence où il semble se retenir de pleur, il reprend :
- J’ai une queue de 27 cm. Dans ma dernière relation, qui vient de se terminer il a quelques semaines, mon ex fétichisait tout simplement ma bite. Vous savez, je ne suis pas extroverti, je ne recherche pas à attirer l’attention. Mais par exemple, je ne peux pas aller à la piscine : dès que les gens posent leurs yeux sur mon maillot, ils pensent que je bande, que je suis excité. Ça a entrainé de nombreux conflits ! Donc, je vais à des lacs ou des rivières retirés pour nager. Je suis homo et les mecs (mais aussi les femmes) sont curieux et ils ne s’intéressent qu’à ma queue. Mais quand on arrive à l’acte et que je mets une capote (j’achète les plus grosses sur le marché, elles font 24 cm), donc elles ne recouvrent pas toute ma bite ... et ça, ça ne plait pas aux mecs... si la taille ne les a pas fait fuir jusqu’ici. La capote me serre trop en plus, elle me fait parfois débander. Comment je sais que les mecs s’intéressent qu’à ma queue ? Ils disent qu’ils veulent plus que du sexe puis on couche ensemble et ils ne se manifestent plus... et ça, ça me blesse... ça me blesse que personne ne s’intéresse à moi.
Tom prend alors la parole et il raconte une histoire similaire. Matthieu hoche de la tête puis il reprend :
- Voilà, ce sont des choses que je ne veux plus. Avec le temps, je ne suis plus intéressé par les personnes qui sont intéressées par la taille de ma queue. Autant le dire... Je n’en peux plus... si ce groupe ne peut pas m’aider... je ne sais pas comment je peux continuer... j’en ai marre d’être considéré comme un « symbole phallique ». Mon dernier mec en date avec qui je suis sorti ne pensait qu’à baiser à longueur de temps avec moi. Mais on ne faisait rien d’autre ensemble, on ne sortait pas. Il a même pris des photos de moi nus pour les poster sur un blog ou un truc dans ce genre. Je me suis senti comme un morceau de viande, rien de plus.
Nous passons notre séance à donner des conseils à Matthieu et à essayer de le consoler. Je vois que le sentiment de vouloir aider quelqu’un est très bénéfique aux autres membres du groupe. Puis, à la fin, je donne mon numéro à Matthieu au cas où il ait besoin de parler. Je me fais vraiment du souci pour lui ...
Un soir, tard, Matthieu m’appelle et il me demande s’il peut passer. Je lui donne mon adresse et je le reçois. Je lui sers une bière et on se met à parler. Il me raconte qu’il ne va pas bien et qu’il ne sait pas quoi faire. Je lui donne des conseils, je lui parle de différentes solutions qui s’offrent à lui.
Les larmes aux yeux, il me dit :
- Ça fait du bien de parler à cœur ouvert avec quelqu’un qui me comprend.
Il pose alors sa main sur ma jambe, les yeux remplis de reconnaissance. Puis, il se jette sur moi et il me roule une grosse pelle. Surpris, je ne réagis d’abord pas... puis, je le repousse. Il semble blessé. Mais moi aussi, rempli de testostérone, voyant son engin gonfler dans son pantalon, je me jette sur lui et on se roule une grosse pelle pendant de longues minutes.
Matthieu se lève et il me plaque contre lui tout en m’embrassant toujours. Je sens sa queue prendre du volume dans son pantalon tel un anaconda qui se glisse le long de sa jambe. J’ai l’impression que la bite ne s’arrête pas de gonfler et de s’allonger.
N’y tenant plus, je baisse alors son pantalon, libérant un énorme monstre. Je le déshabille et j’observe Matthieu : il a 40-45 ans. Il a des cheveux noirs et quelques cheveux blancs mi-longs. Il a une barbe. Il est mince. Il a un corps recouvert de poils noirs voire grisâtres. Son dos, son pubis, ses bras et ses jambes son aussi velues. Sa grosse bite pend entre ses jambes tel un python. Ça lui fait comme une troisième jambe. Elle est épaisse, veinée, avec un gros gland rose. Ses couilles ont quelques poils, elles sont rondes et grosses.
Je m’agenouille alors devant Matthieu dont j’admire la queue. Elle est vraiment impressionnante, vue de près. C’est dément ! Je me jette comme un affamé sur cette teub, j’ouvre ma bouche en grand et j’essaie d’avaler le morceau. Mes mâchoires se font ouvrir au maximum. J’arrive à en avaler les trois quarts. Je me mets alors à le sucer. Des fois, il sort sa queue et il me donne ses grosses boules à lécher.
Au bout de quelques minutes, Matthieu donne des coups de reins pour m’encourager à avaler son morceau en entier. Puis, il finit par me prendre la tête dans ses mains et il se met à me baiser violement la bouche. Je sens le gros gland me taper le fond de la gorge. Parfois, Matthieu bloque ma tête pour que je garde un maximum en bouche son monstre avant de me relâcher. Puis, il reprend son pilonnage. Je vois et je sens ses couilles qui se balancent et qui me frappent le menton.
A un moment, il me laisse reprendre mon souffle et j’en profite pour lécher sa bite sur tout son long. Puis, je reprends ma suce. Puis, Matthieu me retourne avec force et il prend du gel. Il se met à me doigter en utilisant vraiment beaucoup de lubrifiant. Il utilise un doigt, puis deux, trois et enfin 4. Il m’écarte bien le trou. Et très vite, ses doigts sont remplacés par sa barre de chair. Le gland passe d’abord, il m’ouvre bien l’anus. Et il est suivi par le reste qui descend lentement dans mon trou. Je sens son gros bâton passer mes sphincters les uns après les autres. Je me raidis, je mords dans un coussin. Sa teub immense s’enfonce centimètre par centimètre. Après plusieurs tentatives, le gros morceau se retrouve entièrement en moi.
Matthieu attrape alors mes hanches et il se met à me perforer avec sa bite. Mon trou s’adapte à merveille à l’énorme queue de Matthieu qui entame des allers-retours brutaux. Il se déchaine en moi pendant bien 15 minutes. Il ne prend pas de gants, il me baise à fond, il décule par moment avant de replonger sa bite d’un trait jusqu’au fond de mon anus. Je sens aussi son pubis venir s’écraser sur mes fesses. Je couine fort. Matthieu me laboure avec ardeur et je supporte bien. Je sens que je mouille. Il me maltraite la prostate et je sens mon jus monter lentement.
Ses assauts sont maintenant rapides et puissants et il remarque bien que mon cul est endurant car j’encaisse sans broncher. Matthieu semble prendre un plaisir fou. Ensuite, il fait pression sur mon dos et je me retrouve à plat ventre sur le lit. Tel une bête en rut, Matthieu me pilonne sans ménagement, le bruit des couilles frappant mon cul rythment la baise.
Finalement, au bout de 15 autres minutes, Matthieu envoie des rasades bouillantes au fond de mon anus. A chaque giclée, c’est une incroyable quantité de sperme que mon cul semble absorber. Ce sont comme des litres de sperme qui me remplissent le ventre. Matthieu jouit fort et abondamment. Il continue de me défoncer et sans me branler, grâce aux massages de sa queue sur ma prostate, je jouis de longs jets de sperme contre mon ventre et le canapé. Puis, Matthieu finir par ressortir de mon trou qui, béant, laisse échapper un torrent de sperme.
Soudain, Matthieu se rhabille et il m’annonce qu’il doit y aller. Je suis un peu mal à l’aise. Je ne m’attendais pas à ça. Je reste sur le sol, immobile, nu, baignant dans le jus pendant un moment. Quelques heures plus tard, je lui envoie un message et je lui dis que j’aimerais le revoir, qu’on pourrait aller boire un verre et aller ensuite au cinéma. Je ne veux surtout pas qu’il pense que je m’intéresse seulement à sa bite, comme ses ex. Pas de réponse.
A la séance suivante, Matthieu ne vient pas. J’apprends quelques semaines plus tard que Matthieu est victime d’une dépression et qu’il est en cure. Je suis vraiment très attristé de ne pas pouvoir pu l’aider...
A suivre...
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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