Premier épisode
Chapitre-2
Salut à tous,
Moi, c’est Nico, j’ai 20 ans, je suis étudiant en littérature à Bordeaux. J’habite dans une petite ville dans la proche banlieue de Bordeaux. Je vis encore chez mes parents. Je suis homo, j’ai fait mon coming-out il y a 2 ans, mais je ne le crie pas non plus sur tous les toits. Seule ma famille est au courant, ainsi que mes amis proches.
Moi, je suis mince, je fais 1,80m. J’ai un corps plutôt imberbe. J’ai de beaux abdos et des pecs développés Je suis blond, les yeux bleus, les cheveux courts et je porte des lunettes. Le problème, c’est que je suis mince et que j’ai un énorme cul. J’en ai toujours eu un en fait. Mes hanches et mon cul de meuf me complexent énormément.
Comme je vous l’ai raconté dans le premier chapitre, la crise du Covid a frappé, la fac a été fermée, on est passé en cours à distance. Et puis est venu le confinement. Je me retrouve donc enfermé dans la maison de mes parents, avec mon père, Guy, ma mère, Sylvie, et mon frère, Christophe. Mon frère a 25 ans, il vient de finir ses études d’ingénieur et il cherchait du travail au moment où la crise du Covid a commencé. Il a une copine qui étudie sur Paris et qui, bien sûr, n’est pas chez nous au moment du confinement. Christophe est un chaud lapin et au bout d’un moment, n’en pouvant plus de ne pas pouvoir baiser et surtout attirer par mon gros cul, il m’a dragué un moment avant que je succombe et que je le laisse me baiser avec sa grosse bite.
Ça fait déjà deux semaines que mon frère me baise matin, midi et soir, quand nos parents sont en télétravail devant leur ordi, devant la télé ou au lit. Il se fait plaisir et il se sert de mon gros cul à sa guise. On fait ça en cachette, bien sûr.
Un jour, mon frère me demande de porter un string, pour « mettre mon cul en valeur », comme il dit. Pour lui faire plaisir, j’en commande un sur Internet. Trois jours plus tard, je le reçois dans un paquet discret. Mes parents sont bien sûr curieux mais je fais bien gaffe de ne pas l’ouvrir devant eux. Alors que j’ai un cours en ligne peu intéressant, je ne peux plus attendre et je déballe ma commande. Je suis trop impatient d’essayer mon nouvel « atout »... Je me déshabille et j’enfile le bout de tissu.
Soudain, la porte de ma chambre s’ouvre et je me retourne, catastrophé. Je vois alors mon père qui regarde mon énorme cul dans lequel disparait la ficelle que je viens d’enfiler. Au bout de quelques secondes (qui me paraissent être une éternité), il se ressaisit, il murmure un « désolé » et il referme la porte. Moi, je me rhabille directement, mort de honte...
Quand je redescends pour le dîner, j’arrive à peine à supporter son regard. Mais mon père ne fait pas allusion à ce qu’il a vu.
Le lendemain, je me réveille vers 7h30 en sursaut : je dois me dépêcher. Je vais vite dans la salle de bains car j’ai un cours en ligne à 8h. Je me douche en quatrième vitesse. Quand je sors de la pièce, j’entends une porte s’ouvrir. Je vois alors mon père qui sort de sa cambre, complètement nu. Il se frotte les yeux et il passe à côté de moi, il entre dans la salle de bains et il referme la porte. Je suis complètement abasourdi. C’est la première fois, en fait, que je vois mon père nu. Mes parents sont très pudiques en fait. Mais ce qui me laisse aussi sans voix, c’est son morceau !
Mon père est assez grand, il a 45 ans. Il a un visage lisse, des cheveux bruns mais certains sont blancs. Il porte des lunettes noires qui le rajeunissent. Il joue au volley-ball donc il est assez sportif. Il a de beaux pecs et des biceps bien formés. Son torse est recouvert de poils noirs plutôt longs. Une épaisse ligne de poils descend de son torse vers son pubis extrêmement poilu. Sa bite au repos est vraiment impressionnante. Elle pend mollement entre ses jambes et au rythme de ses mouvements, elle bouge de gauche à droite. Elle a l’air vraiment très épaisse. Son gros gland est enfermé dans un long prépuce qui le moule bien.
Les jours suivants, mon père prend tout de suite la place après moi dans la salle de bains... et je le vois à chaque fois nu, son morceau pendant entre ses jambes, se balançant de gauche à droite sous ses pas.
Un jour, alors que j’entends l’eau couler... Je me surprends à regarder par le trou de la serrure. Je peux le voir alors nu, sous la douche, avec son gros morceau entre les jambes. Je me mets à admirer ses mains qui glissent sur son corps, étalant le gel douche. Assez souvent, elles passent sur sa queue... qui grossit à vue d’œil et je mate alors son énorme gourdin. A ma grande surprise, je sens ma bite prendre du volume dans mon pantalon... Je mate mon père qui se rince avant de saisir sa serviette. Je me retire alors dans ma chambre et je me branle vite fait avant le début des cours. Puis, je me rends compte que j’ai une autre solution. Je me glisse dans la chambre de mon frère... en manque et je me faufile dans ses draps. Je le suce rapidement avant de le chevaucher comme quelqu’un bien en manque. J’éjacule vite, mon frère a besoin de plus de temps, mais il me remplit bien le cul. Les couilles vides et le cul plein, je me pose devant l’ordi et je me connecte à mon cours. Cependant, je n’arrive pas à me concentrer... Il faut que je digère d’abord ce que je viens de faire... Je suis allé m’empaler sur la queue de mon frère car mon père m’avait bien excité ! Je me demande aussi et surtout si c’est une coïncidence que mon paternel se promène ainsi devant moi après m’avoir vu nu en string.
Vers 10h, je descends pour prendre un café et je trouve mon père assis devant son ordi en pleine réunion. Je passe devant lui et je saisis une tasse. Soudain, j’entends une voix qui vient de la réunion :
- Oh ! Franck ! Tu m’entends ?
- Euh... oui... désolé.
Je me retourne et je regarde mon père. Je me détourne et je sirote mon café. Un sentiment s’empare alors de moi. Le même qu’il y a quelques semaines quand mon frère observait mon cul en cachette. Je sens le regard de mon père braqué sur moi... et sur mon postérieur ! Je me retourne soudainement et je vois les yeux de mon père se diriger rapidement sur l’ordi. En effet, mon père me matait le cul ! Je finis mon café et je remonte « en cours ».
Vers midi, au moment où le professeur termine son cours et que je ferme mon ordi portable, on frappe à la porte. Je pense à mon frère qui vient se vider les couilles... mais c’est mon père qui rentre :
- Je te dérange ?
- Non.
- On va pas tarder à passer à table.
- Ah ok ! J’arrive.
Mon père reste planté là, sans rien dire.
- Autre chose, papa ?
- Oui... je voulais te demander quelque chose...
Il s’assoit sur mon lit et il se tait. Puis, il brise le silence :
- C’est par rapport à ce que j’ai vu l’autre jour...
- Ah...
- Pourquoi tu portes des strings ?
Je ne veux bien sûr pas révéler que c’est à cause de mon frère avec qui je baise...
- Comme ça... Je pensais que ça allait bien mettre mon cul en valeur.
- Ça, c’est sûr !
- Quoi ?
- Non rien... C’est juste qu’il est bien formé.
- Arrête.... C’est un cul de meuf !
- C’est peut-être pour ça que je dis ça, dit-il en rigolant. Non, plus sérieusement. J’ai vu un reportage. Tu te prostitues pas ? Tu fais pas des shows sur Internet, Nico ? Tu sais que si tu as besoin d’argent...
- Non ! Mais t’es fou !
- Nico, je voulais juste te dire que l’Internet n’oublie jamais...
- Je sais, papa. T’inquiète. C’est pas du tout ça !
- Ok !
Il se lève alors et il me prend dans ses bras. Je sens alors soudain ma bite bondir dans mon leggin... ce qu’il ne manque pas de remarquer. Gêné, il me dit :
- Eh ben ! Je te fais de l’effet.
- N’importe quoi... Je pensais à autre chose.
Il plaque alors une main sur mes fesses tout en matant son entre-jambe qui est déformée par une bosse.
- Ok. Regarde, moi aussi, ma queue pense à autre chose.
- J’ai bien senti que tu me regardais le cul ce matin.
- Pas que ce matin... Et toi, je sens bien ton regard sur mon paquet chaque matin !
- Quoi... Je ... je...
Il rigole et il quitte la pièce, me laissant sans voix. Une bouffée de chaleur m’envahit.
L’après-midi et le dîner se passent sans accroc. Je passe la soirée dans ma chambre à jouer à un jeu en ligne. Vers 23h, je descends pour boire un thé et je tombe sur mon père qui est endormi devant la télé, sur le canapé. Il porte un débardeur et un petit short. J’aperçois alors que son short forme un pli... sous lequel je découvre sa bite... Le cochon ne porte pas de slip ! J’admire la bosse que forme son paquet... et je vois quelques détails de sa queue massive à travers le trou. Je m’assois alors à côté de lui, hypnotisé par cette bosse. Son short est remonté et il moule aussi bien ses grosses couilles.
- Papa, tu dors ?
Pas de réponse. Ma main gauche se met alors à caresser sa cuisse. Sa peau est chaude et ses poils chatouillent ma main... Tout ceci me fait directement bander. Puis, ma main passe sur la bosse formée par son short. Je la tâte doucement. Il ne porte en effet aucun sous-vêtement, sa queue ainsi que son gland se distinguent nettement. Ne pouvant plus résister, je passe prudemment ma main dans le trou formé par la jambe et mes doigts atteignent son morceau. Je me mets à le caresser. Puis, ils glissent vers ses couilles. Elles sont molles et énormes. Je vois alors que je lui fais de l’effet. Son paquet prend du volume. Je sens alors sa main s’abattre sur mon cul et commencer à le malaxer.
- Putain ! Quel cul !
Je me redresse, choqué.
- Pardon... je voulais pas... je sais pas ce qui m’a pris !
Mon père se lève alors et il me saisit par le bras alors que je veux fuir. Je me retrouve le dos plaqué contre son corps. Je sens, coincé contre mon cul, son paquet qui prend du volume. Il m’enlace et je sens son souffle chaud dans mon cou.
- Si ma queue te plaît autant, approche-t ’en pour l’observer de plus près, me susurre-t-il à l’oreille.
Je me retourne alors lentement tandis qu’il fait glisser son short le long de ses jambes. Je m’agenouille alors devant sa bite et je l’observe de près : sa queue bandée est magnifique. Elle doit faire dans les 17 cm. Elle est hyper dure, veinée et vraiment bien épaisse, aussi épaisse qu’une cannette de soda. Il a des grosses couilles bien pendantes, ballottantes et poilues. Son gland rouge est bien gros.
- Tu as le droit de la toucher, si tu veux.
Ma main s’approche de son morceau et elle commence à l’actionner. Il est bien dur. Ma main n’arrive pas à en faire le tour. Mon père me pose sa main sur ma tête et il me fait approcher de son morceau. Mes lèvres touchent ses couilles poilues. Une odeur de mâle s’en dégage.
- Lèche mes couilles, murmure-t-il.
Je m’exécute.
- C’est bien ! Tu fais ça bien !
Je lèche ses grosses couilles tout en matant son énorme morceau.
- Elle te fait envie, demande-t-il comme s’il lisait dans mes pensées.
- Oui...
- Ouvre la bouche...
J’obéis et il place son gland sur ma langue. Ma bouche se referme dessus et je commence à le sucer en variant la vitesse. Mon père se recule en arrière, il se pose confortablement dans le canapé pendant que je m’occupe de sa grosse teub. Parfois, je lèche sa queue de tout son long, je l’embrasse avant de reprendre de le sucer en alternant jeu de bouche et de main.
Tout d’un coup, ses mains s’abattent de deux côtés de ma tête et il se met à me baiser la bouche. Il me fait faire des gorges profondes que je supporte bien car maintenant habitué au gros calibre de mon frère. Mon père n’arrête pas de répéter : « Oh oui, c’est trop bon ! »
Soudain, je sens sa bite se durcir et il me dit :
- Je vais te donner ce dont tu as envie !
Sa queue se met à être pris de soubresauts et des jets puissants s’enfoncent directement au fond de ma gorge. Ce sont bien 6 grosses giclées. Son sperme est chaud. Quand son orgasme est passé, je retire sa bite de ma bouche et j’avale le jus que j’ai encore sur la langue. Puis, je nettoie sa queue pour ne pas perdre une seule goutte de ce précieux nectar. Ensuite, je me lève. J’ai la saveur salée-amère de sa semence.
- Merci, dis-je, ne pouvant toujours pas croire que je viens de sucer la queue de mon père.
Après quelques instants de silence durant lesquels mon père a repris son souffle, il dit :
- Tu ne veux pas me montrer ton cul ? Enlève ton leggin...
Mon cœur bat à fond. Je suis tout excité. Je baisse mon leggin et mon père regarde, hébété, mon énorme cul et le string que j’ai mis tout à l’heure avant de descendre. Mon père approche sa main de mes fesses et il se met à les caresser doucement.
- Ouah ! Tu es tellement bandant !
Je me retrouve collé contre son corps, je sens son souffle dans mon cou et ses deux mains entourent mon corps pour malaxer mon cul. Je sens avec surprise sa queue encore dure entre nos ventres. Je lui dis, étonné :
- Tu bandes toujours ?
Sans attendre sa réponse, je me retourne et je pousse mon cul contre sa bite qui s’enfonce mollement dans ma raie. Je me mets alors à le faire tourner en formant des cercles avec mes hanches.
- Oh putain !, laisse échapper mon père.
Ses mains se posent sur mes hanches, là où la ficelle du string est bien tendue. Je sens sa grosse bitte entre mes miches… j‘apprécie cette sensation. Il se penche alors au-dessus de moi et il me dit :
- On a pas encore fini ! Je sais ce qu’il te faut !
Il me prend par la main et il m’entraine dans ma chambre. Il me pousse sur le lit et il enlève mon leggin. Il se positionne devant moi en disant :
- Je vais t’avouer un secret... J’adore baiser de bons culs bien rebondis... peu importe que ce soit un mec ou une meuf...
Il place alors le string de côté, puis il écarte mes grosses fesses. Il crache deux fois sur mon trou et il enfourne sa langue dans mon anus. Il me fait alors un anulingus de dingue. Je gémis mais il me plaque sa main sur la bouche pour que je ne fasse pas trop de bruit. Puis, il se retire et il se met à jouer avec mes fesses. Tout d’abord, il les prend dans ses mains et il les fait remuer de gauche à droite, ce qui les fait bien vibrer. Ensuite, il les malaxe, il les caresse. Ses doigts passent dans ma raie et entrent dans mon anus pour ressortir et reprendre les caresses. Puis, il se penche dessus et il le mordille. Il semble vraiment les apprécier ! Ça me fait trop d’effet ! Je bande direct ! Après, il donne de petites tapes sur mes fesses ce qui les fait ainsi bien onduler. Il les malaxe, ses doigts s’enfonçant dans mes fesses comme dans un ballon mou.
Mon père se redresse et il tape son gland contre mon anus. Il place ensuite mes jambes contre ses épaules... et je sens alors son gland me pénétrer. Je dois me concentrer pour ne pas crier car sa bite écartèle bien mon anus serré. Mon père pousse un gémissement quand son gland pénètre mon premier sphincter. Sa grosse queue s’enfonce alors doucement en moi. Je souffle comme une femme enceinte pour essayer de me détendre afin de ne pas avoir trop mal. Ma bite est dressée et je la branle, tellement je suis excité. Ma main libre caresse son torse et passe à travers sa magnifique pilosité. Finalement, son anaconda est complètement enfoncé dans mon anus qui se retrouve dilaté à fond !
- Putain ! Mon fils ! Ta chatte est trop bonne ! Bien serrée, comme je les aime !
Il retire sa queue de mon cul, son gland joue avec ma rosette, puis elle se renfonce dans mon trou bien ouvert. Tout en me regardant droit dans les yeux, il se met à me faire l’amour, lentement, sensuellement.
- Je m’en doutais que ton cul était si bon !
Il se met à le frapper et il vacille, formant de grosses vagues. Il accélère le rythme et ses couilles claquent contre mes fesses bien rebondies. J’admire dans le miroir de mon armoire comment sa grosse queue entre et sort de mon trou. Je commence à pousser des petits gémissements mais il plaque sa main sur ma bouche en disant :
- Ferme-la ! Faudrait pas que ta mère et ton frère nous entendent !
Il entame ensuite de puissants et rapides va-et-vient.
- Tu aimes ?
- Oh oui !
- Je savais que tu allais apprécier ma queue ! La queue de ton père !
- Oui ! Vas-y ! Baise-moi, papa !
En entendant ces mots, il se met à accélérer. Je me fais véritablement défoncer ! Ses coups de bite sont rapides et profonds. Sa main est toujours devant la bouche ! Heureusement car sinon je crierais mon plaisir dans toute la maison !
- Enfin un bon trou ! Ça fait des semaines que j’ai pas baisé !
- Même pas avec maman ?
- Non, on ne baise plus ensemble...
- Alors, fais-toi plaisir dans mon trou !
Mon père, ravi par ma réponse, redouble la violence de ses coups de bite. Il ne cesse de répéter : « Ton cul est génial ! Si serré ! ». Moi, je gémis dans sa main qui en empêche les sons de sortir.
- Tu veux que je jute où ?
- Dans mon cul !
- C’est vrai ? Tu es vraiment mon fils tout craché ! Je vais t’engrosser !
L’idée alors que mon père va me mettre enceinte m’excite à fond. Je sens ses coups de bites s’accélérer, je sens sa queue devenir plus raide. Et dans un ultime coup de reins, il enfonce sa bite au fond de mes entrailles et je sens alors une énorme quantité de sperme envahir mon anus. Ce sont bien 8 grosses giclées puissantes qui me fouettent les intestins. Moi, je suis tellement excité que j’éjacule en même temps dans mon string s’en même m’être branlé. Des dizaines de jets viennent salir le morceau de tissu.
Je me redresse et je sens alors le jus de mâle paternel couler le long de mes jambes.
- Je suis content d’avoir trouvé un trou pour me vider quand j’en ai envie. Je reviens peut-être cette nuit...
- D’accord... avec plaisir, dis-je, subjugué par ce magnifique orgasme.
Mon père quitte ma chambre sur la pointe des pieds et il rejoint ma mère dans la sienne. Je vais me faire une petite toilette avant de me coucher dans mon lit. Mais je ne peux fermer les yeux. Je viens de me faire baiser par mon père... qui m’a avoué baiser (souvent ?) avec des meufs... et des mecs. Je viens de devenir l’amant de mon père... et je continue à être celui de mon frère... car une heure plus tard, j’entends la porte de ma chambre s’ouvrir et une voix murmure :
- Tu dors ?
- Non.
C’est mon frère qui vient se vider les couilles ... je me retourne sur le dos, prêt à recevoir sa grosse queue ainsi que sa semence. Je souris quand je me dis qu’il va baiser, sans le savoir, dans le sperme de notre père....
A suivre...
Merci à Arthur pour ses idées.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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