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Chapitre 6
Salut,
Ça fait maintenant plus de trois mois que Julien et moi sommes devenus des sex-friends. Il a pris goût à ma bite et il aime qu'on se retrouve discrètement pour s'envoyer en l'air. Les occasions ne manquent pas, on aime faire du sport tous les deux, on se retrouve pour boire une bière...
Je me fais souvent la réflexion que Julien est un mec posé, calme, responsable, carré... Mais au fil du temps, c’est au lit, dans l'intimité, qu'il devient vraiment salope, affamé et dépravé ! Je sais que la période des vacances estivales approche et qu’il va bientôt partir en vacances avec sa famille... et que je vais devoir me passer de son cul pendant quelques temps ! Quel putain de sevrage ! Mais je suis bien décidé à savourer un moment de sexe !
Il arrive chez moi vers 17h et il entre. Je nous sers une bière et on se met à parler. Pendant ce temps, il fait passer doucement sa main sur mon paquet qu’il commence à masser. Quand il remarque que ma queue prend du volume, il s’approche de moi et il me roule une grosse pelle.
Puis, il se glisse entre mes jambes et il se met à genoux. Il sort ma bite de mon pantalon. J’ai prévu le coup, je ne porte pas de caleçon. Il enfonce délicatement ma queue dans sa bouche et il me pompe goulûment tout en me regardant droit dans les yeux. Il entame une suce lente... puis il accélère. Parfois, je fais un truc que j’adore : je lui fais faire une gorge profonde, je maintiens sa tête durant quelques secondes et je le relâche, sa bite ressort de ma bouche et il reprend son souffle avant de replonger sur ma bite. Je le laisse s’en occuper pendant quelques minutes avant de bloquer sa tête car je sens que mon jus monte. Il me regarde fixement et moi, je pousse un râle et je lui déverse une bonne dose de jus. Ce sont bien 8 grosses giclées qu’il n’a pas d’autre choix que de prendre tout en bouche. Je retire doucement, il ouvre sa bouche pleine de foutre et il avale mon nectar.
Julien se relève. Il bande à mort. D’un geste dominant, je le retourne, je le plaque contre moi et je masse sa bite encore enfermée dans son pantalon. Puis, je passe ma main dans son pantalon et je m’empare de sa bite. Je le branle à travers son boxer. Ensuite, j’ouvre sa braguette, j’en sors sa teub que je continue de branler. Il ne tarde pas à gicler de longs jets puissants et libérateurs sur le carrelage.
Et comme d’habitude, son petit cul d’hétéro me fait toujours envie. Je le caresse à travers son caleçon qu’il a gardé… et malgré sa jouissance, il se cambre, m’offrant son petit trou. Je baisse alors son caleçon, je lui fais retirer son pantalon… et je me mets à lui bouffer le cul. Je plonge ma langue dans son anus et je la fais tournoyer dedans. Je masse en même temps ses miches et je me remets à bander très vite. Ses petits gémissements me font aussi de l’effet. Parfois, ma langue sort pour lécher sa raie. J’en profite aussi pour mordiller ses fesses avant d’y replonger ma langue et de reprendre mon bouffage de cul. La pointe de ma langue titille sa rosette, humidifie bien son intérieur pendant qu’il m’encourage en me caressant la tête ou en écartant bien ses fesses à l’aide de ses deux mains.
Au bout d’une dizaine de minutes, je me relève, je le plaque sur la table en l’insultant :
- Allez, ma petite salope d’hétéro ! Je vais t’en mettre plein le cul !
- Oh oui !
- Tu aimes ma grosse queue, avoue, petite pute !
- Putain, oui ! Je l’adore !
Je me mets à le baiser hyper fort. La table bouge au rythme de mes coups de bite. Je pilonne ce petit cul d’hétéro à fond. Julien kiffe et il le fait bien entendre : il pousse de forts gémissements !
Finalement, on passe dans ma chambre. Je le mets sur le lit en levrette et je reprends ma baise. Je le défonce à fond. Mes mains posées dans son dos, je le défonce bien. Mes cuisses frappent ses fesses qui vacillent. Mes couilles fouettent sa raie. Je le laboure avec ardeur. Parfois, j’écarte bien ses fesses, admirant ma queue entrer et sortir rapidement de son anus. Puis, je reprends la baise et je lui laboure le cul.
Après, je le fais mettre sur le dos et je le pénètre avant d’entamer une baise sauvage. Il sourit, il gémit. Je trouve qu’il encaisse de mieux en mieux. Je me penche au-dessus de lui et je l’embrasse goulûment. Je le secoue maintenant comme un prunier. Je lui donne parfois de grands coups de bite qui lui défoncent le fond de son cul. Mes grosses couilles lui frappent bien les fesses à chaque fois que je m’enfonce dans ses entrailles. Je le possède complètement.
Ensuite, je m’allonge sur le lit et Julien vient me sucer. Puis, il s’empale sur ma bite ruisselante de sa salive et de ma mouille, jusqu’à ce qu’il soit complétement embroché dessus. Il commence alors à se défoncer le cul sur ma queue. Il gémit fort pendant que je lui triture les tétons. Et soudain, une envie me prend : je pose mes mains autour de son cou... et je serre légèrement. Il devient rouge, il manque un peu d’air... mais il me regarde sans prononcer un mot. Il a un regard soumis. La soumission de mon pote hétéro me donne encore plus envie de lui. Je saisis fermement ses hanches pour mettre son cul en l’air et je donne des coups de reins bien secs qui le font gueuler à mort. Je me déchaine dans son cul pendant qu’il se branle. Dans un gémissement ultime, il jouit fort sur mon ventre. Une quantité incroyable de sperme gicle arrose mon ventre et mon torse.
Je sens son anus se contracter sous son orgasme. J’accélère le pilonnage et je le marque de mon jus. Je jute une bonne dose dans son cul. Il quitte ma queue et se place à côté de moi. Je lui dis alors :
- Garde bien mon jus dans ton cul !
Il fait un « oui » de la tête et quelques minutes plus tard, il se rhabille et je lui roule une grosse pelle.
- Ton petit cul va me manquer pendant ces vacances !
- Moi, c’est ta queue qui va me manquer. Allez, viens !
Je monte dans sa voiture et on part car sa femme m’a invité à manger. On se retrouve tous à table. Sa femme et ses gosses sont cool. Julien est encore plus prévenant avec sa femme depuis leur dispute où je l’ai baisé pendant qu’il réglait leur conflit au téléphone. Il est un très bon père. C’est tout ça que je trouve hyper jouissif : regarder Julien, en famille, tout en sachant que je l'ai fécondé.
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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