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Chapitre 5
C’est au lycée que j’ai connu ma bande de potes. Il y a Giovanni et Stefano, deux italiens, Rachid et Alan, deux rebeus, Lucas, et moi, Nico. On s’est connu au lycée, on était dans la même classe. Dans notre jeunesse, on a fait les 400 coups ensemble, au lycée puis à la fac. Nous sommes inséparables. Les années sont passées, on a terminé nos études, on s’est marié, on a tous fondé une famille.
Et voilà, aujourd’hui, nous avons 50 ans. On a tous notre petit train-train (genre métro, boulot, dodo). Mais malgré tout, nous nous voyons souvent. On va assister à des matchs, on faisait partie de la même équipe de foot, on sortait dans les bars. Moi, je suis blond, les yeux bleus, un peu poilu, monté 17 cm. J’ai une femme, Aurore, et deux filles de 15 et 18 ans. Ma femme et moi avons une vie sexuelle plutôt calme. Nous habitons dans une grande maison dans la banlieue de Poitiers. Je travaille comme informaticien, ma femme est contrôleuse de train, ce qui fait qu’elle est souvent en déplacement. Mais je sors avec mes potes dès que j’en ai l’occasion. Je pensais tous savoir d’eux... jusqu’au soir où j’ai surpris Alan en train de sucer Rachid qui l’a ensuite baisé... ce qui semble m’avoir bizarrement excité ! Ça m’a bouleversé. Nous qui étions censés ne pas avoir de secret les uns pour les autres, j’étais attristé par le fait que mes deux potes rebeus nous cachaient des choses. Un soir, alors que j’étais seul chez moi, Giovanni est venu me voir, on a fumé un joint et on a fait des blagues à Alan puis à Rachid. Ce-dernier m’a envoyé plus tard un message, pensant que j’étais un de ses mecs rencontrés sur un site de rencontre. Il m’a envoyé des photos de sa bite... qui m’a fait de l’effet. Je l’ai finalement fait venir et nous avons baisé ensemble... Puis, c’est Alan qui m’a fait venir chez lui et qui a commencé par me rouler une grosse pelle avant que je le baise... Et quelques jours plus tard, Rachid et Alan m’ont attiré à une prétendue soirée entre potes durant laquelle on fait un plan à 3. A la fin, Alan m’a surpris en me déclarant son amour. Je n’ai pas eu le temps de répondre qu’il s’était déjà enfui…
Trois semaines se sont écoulées depuis le plan à 3. J’ai envoyé des messages à Alan pour essayer de clarifier la situation. J’ai aussi essayé de l’appeler. Rien. Pas de réponse. Je n’ai pas osé demander aux autres... que je n’ai pas beaucoup vus non plus, étant donné le boulot que j’ai eu... mais aussi devant l’étendue des révélations de ces derniers temps. Alan et Rachid qui couchent ensemble... puis l’un, puis l’autre et tous les deux avec moi.
Cependant, il y a une phrase résonne sans arrêt dans ma tête : « Je suce presque aussi bien que Giovanni ». Ça avait laissé échapper Rachid la dernière fois. Je me pose bien sûr beaucoup de questions sur moi et ma sexualité... mais aussi sur le fait que mes potes m’ont bien caché des choses !
Aujourd’hui, je suis à l’entrainement de foot. Je joue dans un club avec Stefano et Giovanni. Les deux Italiens et moi aimons le foot et nous nous retrouvons 2 fois par semaine sur le terrain pour l’entrainement.
Aujourd’hui, Stefano est malade. Quand Giovanni et moi rentrons dans les vestiaires à la fin de l’entrainement, Giovanni se met à me raconter que Lucas, ce coureur de jupon, a charmé une meuf de 25 ans et qu’il est allé se la taper dans sa voiture sur le parking du bar.
- Vous êtes sortis quand ?
- Ben, samedi dernier !
- Ah oui, c’est vrai ! Je devais finir des trucs au boulot. Qui était là ?
- Tous étaient présents, sauf toi et Alan.
- Oui, ça fait un moment que j’ai pas vu Alan. Tu sais ce qu’il se passe ?
- Non. Je sais pas...
Il reprend et il me décrit en détail le physique de la meuf. On est maintenant dans les douches et je me surprends à zyeuter les bites des mecs qui se douchent. Tous ont entre la quarantaine et la cinquantaine. Certaines queues sont grosses, d’autres petites. Je m’attarde un peu sur la teub de Giovanni qui se balance entre ses jambes.
Giovanni a des cheveux gris très courts et une calvitie prononcée. Il a une barbe grise et un visage fin avec des lunettes. Il a un corps mince (avec un petit ventre) couvert de poils noirs, fins. Il a de jolis tétons roses. Il a une bite marron et des couilles presque noires, rasées, tout comme son pubis. Sa bite est assez longue et épaisse.
Je dois rester trop longtemps à contempler sa queue car il me dit :
- Ben alors, tu veux me sucer ou pourquoi tu mates ma bite comme ça ?
Il se met à rigoler. Moi aussi, lui disant qu’il est con. Mais je dois avouer qu’elle me fait bien envie... Je secoue la tête afin de chasser ces idées. On se sèche et on retourne dans la salle où on s’assoit sur le banc. Je m’assois et je vois les mecs qui sont devant les miroirs, aux lavabos et qui discutent, certains presque habillés, d’autres avec encore leur serviette autour des hanches. Tout d’un coup, Giovanni s’écrie :
- Merde ! Je devais aller chercher mon fils au lycée ! A plus, Nico.
Il me tape une bise et il disparait vite fait. Moi, je vais aux lavabos, je prends une crème que je me passe sur le visage. Je m’observe... J’ai l’air fatigué. En effet, je ne dors pas très bien depuis quelques semaines... depuis la soirée « spéciale » avec Rachid, en fait !
Une envie pressante me saisit et je vais aux toilettes, une serviette autour des hanches. Arrivé à une pissotière, je sors ma queue et je me mets à pisser. Un autre mec me suit et il se place à côté de moi. Je lève les yeux : c’est Antoine, un de mes coéquipiers. J’entends qu’il se met à pisser aussi. Discrètement, je regarde sa bite qui pendouille mollement entre ses jambes... mais apparemment pas assez discrètement. Il prend la parole :
- Gio a raison, tu mates les bites, en fait !
- Euh... quoi ... non.
- Tu veux que je t’avoue quelque chose ? Je l’avais déjà remarqué ! Mais ça fait pas longtemps. Je suis sûr qu’il s’est passé un truc qui t’a fait ouvrir les yeux.
- Quoi ? Non. Je ne vois pas de quoi tu parles.
- Tu rougis, Nico !
Je vois alors qu’Antoine se met à caresser sa queue tout en me regardant. Elle est vraiment belle ! Longue et massive, bien épaisse, avec un gros gland. Il se met à bander. Je rentre ma queue derrière ma serviette. Même si je le trouve pas mal, je ne veux pas que tout le monde sache pour moi. Il faut que je préserve les apparences afin que ma vie ne vole pas en éclats. Je fais non de la tête. Je vais me laver les mains. Je vois du coin de l’œil qu’Antoine se branle toujours. Je me dirige vers la porte quand Antoine me barre le passage.
- Arrête, s’il-te-plait ! Laisse-moi passer, dis-je
Tout d’un coup, il me prend la main. Sans même réfléchir, je le pousse contre le mur et je le regarde méchamment. C’est à ce moment-là que ma serviette tombe. Je me retrouve à poil. La queue d’Antoine, qui s’est allongée, frôle la mienne... qui se met immédiatement au garde-à-vous. Antoine, qui avait un regard apeuré, se met à sourire et il profite de ma confusion pour me pousser contre le mur et il me bloque de ses bras. Il me regarde droit dans les yeux... et à la vitesse de l’éclair, il me roule une grosse pelle. J’essaie d’abord de me dégager ... mais un flux de testostérone m’envahit et je finis par répondre à ses baisers torrides.
Il se recule et il me regarde droit dans les yeux en souriant. Puis, il se rapproche et il m’embrasse tendrement en passant sa main derrière ma tête. Il murmure :
- J’ai envie de toi, Nico.
- Moi aussi, m’entends-je dire...
Ma main passe aussi derrière sa tête et nous nous embrassons sensuellement. Soudain, on entend un bruit. On récupère nos serviettes et on se retrouve rapidement dans une cabine. Je me mets à branler la queue d’Antoine et il me fait non de la tête. Trois mecs viennent pisser puis se cassent. Quand on est seuls, Antoine dit :
- C’est trop glauque ici.
- Ok.
Un peu déçu, je lâche sa bite et je me prépare à ressortir.
- Attends qu’on ne bande plus, me conseille Antoine.
Au bout de 5 minutes, on ressort et on va dans le vestiaire qui est maintenant désert. Antoine referme la porte, il met le verrou et il m’entraine dans les douches. Il fait couler l’eau et il me colle contre lui.
- Là, ce sera mieux !
Il me roule de nouveau un patin. Nos mains parcourent le corps de l’autre. Nos bites sont de nouveau dressées ! Je me recule et je l’observe :
Antoine est vraiment un beau gosse ! Il est grand (1,85m), très masculin avec une mâchoire carrée. Il a des cheveux bruns, bien coiffés, rasés sur le côté, une barbe bien taillée noire. Il a un corps bronzé, avec de larges épaules. Il a de petits seins et un petit ventre arrondi. Ses bras sont énormes, très musclés. Il est très poilu sur tout le corps. Ses poils frisés et noirs démarrent dans son cou, ils recouvrent ses épaules, ils tapissent entièrement son corps, du torse au pubis, ne laissant pas un centimètre carré de peau imberbe. Ses cuisses puissantes de footballer sont aussi bien velues. Son dos est velu aussi et son cul est embroussaillé de poils noirs et frisés. Ses couilles sont marron et poilues, sa bite est épaisse, plus claire que ses couilles. Il a un gros gland rose, une bite veinée de 22 cm.
Sa grosse queue me fait vraiment très envie. Je me mets à genoux devant lui et je commence à lécher son gros gland. Sa bite, plutôt fine, entre dans ma bouche. Je n’arrive pas à la prendre sur toute sa longueur mais j’en saisis la base et je la branle pendant que je le suce. Il pousse un gémissement. Mais très vite, il me fait me relever. Je pense que je me débrouille mal mais il dit :
- Avec les mecs, je suis passif... donc c’est à moi de te donner du plaisir !
Antoine se pense au-dessus de mon corps et il se met à me lécher les tétons. Je n’ai jamais vraiment aimé ça... mais là, c’est autre chose. Il en titille la pointe, sa langue semble jouer avec... je gémis doucement. Puis, il plonge sa bouche et il se met à me téter comme s’il voulait pomper mon lait. Il passe d’un téton à l’autre avant de se relever et de me rouler une grosse pelle. Sa main branle un peu ma queue tandis que sa langue s’enroule autour de la mienne. Puis, il me fait soulever mon aisselle et il se met à la lécher délicatement. Je me laisse faire, subissant ce traitement pour la première fois. Mais, sa langue me fait du bien, j’apprécie qu’il s’occupe de mes poils.
Après quelques minutes, sa langue descend le long de mon corps et il soupèse mes couilles avant de les gober. Il les lèche et il remonte lentement vers ma queue. Il titille mon gland et son frein avant d’enfoncer ma queue dans sa bouche. Il se branle pendant ce temps. Il fait de temps en temps des gorges profondes avant de reprendre une suce lente et mouillée. Je lui caresse la tête et, trop excité, je lui fais comprendre d’un geste de me sucer plus vite. Il s’occupe vraiment bien de moi. Je dois avouer que les mecs savent mieux y faire que les meufs ! J’essaie de contenir mes gémissements... mais difficile ! Parfois, il fait remonter mon prépuce sur mon gland et il passe sa langue dans le bout de chair du prépuce... avant de le décalotter et de l’y renfoncer dans sa bouche.
Quelques minutes plus tard, il saisit une bouteille de gel douche et il s’en enduit le trou. Dommage, son cul me faisait envie, je le lui aurais bien brouté. J’enfonce mon index dans son trou. Il cambre bien ses fesses et ma queue durcit encore plus. Je pose mon gland sur sa rosette et je m’enfonce lentement dans son trou. Il gémit doucement tandis que ma queue traverse ses sphincters. Arrivé au fond, je marque une pause et Antoine se met à faire des mouvements avec son cul. Il monte et descend sur ma bite. Puis, j’agrippe ses hanches et je me mets à le baiser. Il a accepté ma queue sans capote dans son cul ! Je suis aux anges. Je regarde ma teub entrer et sortir dans son anus. Les poils de son cul mouillé se collent à ma bite et en accompagnent les mouvements. Son anus est très serré et je dois bien me concentrer pour ne pas jouir trop vite.
Dans un cri bestial, je le plaque contre le mur et je me mets à pilonner son cul. Mes cuisses cognent bruyamment contre ses fesses. J’adore ! Je l’enlace dans mes bras et je continue de le défoncer tout en lui roulant une pelle. Puis, je me redresse, je saisis ses hanches et je me mets à le baiser tel un chien, en bougeant seulement mes fesses rapidement. Il semble bien sentir ma queue car il gueule bien de plaisir.
Je le fais mettre à quatre pattes et je reprends mon pilonnage. Je vois qu’il se branle à fond. Il me dit :
- Jute-moi dans le cul dès que tu peux !
- D’accord.
- Dis-moi quand tu es sur le point de jouir.
- Ok.
Je continue de le défoncer. Mes couilles frappent contre son périnée. J’agrippe ses épaules et je lui mets des coups de bite puissants et rapides. Je m’arrête, je ressors lentement et rapidement, je m’enfonce dans ses entrailles. Ça le fait gueuler à fond. Puis, je reprends la défonce de son anus, avec des coups de reins profonds et rapides. Parfois, je me penche sur son dos pour l’embrasser dans le cou, sans m’arrêter de le défoncer.
- Je vais pas tarder à jouir, dis-je
- Vas-y, remplis-moi !
-
Il accélère sa branle, moi j’accélère mes mouvements de baise. Je passe mes bras sous les siens, je le serre fort contre moi et je l’embrasse dans le cou. Il est le premier à jouir. Il gueule et j’entends son sperme qui atterrit lourdement sur le sol des douches. Dans un ultime coup de reins, je me vide en lui. Je compte bien 7 jets puissants sortir de ma teub pour mitrailler le fond de son cul. Quand je me retire, je vois un flot de sperme sortir de son anus et tomber sur le sol. Son cul dégouline bien, je l’ai bien rempli !
Il se retourne et il m’embrasse tendrement. On se douche ensuite, sans pouvoir s’arrêter de se toucher et de s’embrasser. On sort des vestiaires et on se quitte en souriant. Mais on ne se touche plus. On doit préserver les apparences.
Je monte dans ma voiture et je repasse ce moment intense dans ma tête. Une chose est sûre... Ma bisexualité se confirme. Et là, je viens de me faire draguer par un mec et de le baiser. Je n’en reviens pas. Ce genre de trucs n’arrivent que dans des pornos, en fait ... Quelle expérience étrange... mais excitante. Cependant, des pensées bizarres m’envahissent. Je me dis alors que je trouve dommage qu’il ne m’ait pas baisé ! Et bizarrement, les paroles de Rachid me reviennent en tête : je suce presque aussi bien que Giovanni !
A suivre…
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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