Mon demi-frère me surprend

Chapitre 3

Salut,

Comme je vous l’ai raconté dans le premier chapitre, Cédric, le fils du nouveau compagnon de ma mère, m’a pris en flag en train de me branler, et quelques jours plus tard, en plein confinement, je l’ai retrouvé sur mon lit, nu, où il m’a demandé de le sucer. De fil en aiguille, il m’a sodomisé. Et je dois dire que j’ai beaucoup aimé... et je peux vous dire que j’en ai profité. On baise sans arrêt. Un jour, il a même amené son mec et on a baisé ensemble.

Depuis le retour des beaux jours, Cédric sort beaucoup. Je ne sais pas vraiment ce qu’il fait. Même à son père, il ne dit rien. Mais on profite de chaque minute ensemble pour baiser. Il est comme un lapin en chaleur, il me défonce et il m’ensemence dès qu’il en a l’occasion.

Un jour, ma mère et mon beau-père nous annoncent qu’ils vont passer le week-end ensemble en Vendée. Ils nous disent de ne, par contre, pas « faire les cons ». Cédric sourit et me lance un clin d’œil.

Le samedi arrivé, je n’ai pas prévu de fêtes ou de choses dans ce genre. Je bosse pour la fac. On est toujours en cours à distance, c’est pour cela que je ne suis toujours pas rentré dans mon petit appartement universitaire. Dans l’après-midi, Cédric frappe à ma porte et il est accompagné :

- Je te présente un pote, Ibrahim. On fait du sport ensemble.

Ibrahim me sourit, il est très mignon, avec un sourire qui pourrait faire fondre n’importe qui.

- Va te préparer, on a tous les deux envie de ton petit cul.

Je ne me fais pas prier et je me précipite dans la salle de bains. A mon retour, ils sont sur mon lit, nus.

Cédric a 23 ans, il est mince, musclé sec. Il a des épaules assez larges avec des biceps bien développés. Il a un corps en V, avec un torse musclé : ses pectoraux sont bien apparents ainsi que ses tablettes de chocolat. Il a une coupe de cheveux à l’iroquoise : ses cheveux, châtains, sont rasés sur les côtés et sur le dessus, il a une touffe. Il a des tatouages sur le torse, les avant-bras, le ventre, les mollets. Sa queue de 18 cm et ses couilles sont assez foncées. Ces-dernières sont grosses. Les poils de son pubis et de ses couilles sont bien entretenus : ses couilles sont rasées et son pubis a un léger duvet, tout comme son ventre. Il a des cuisses bien musclées ainsi que des mollets et des pieds imposants. Des poils drus et épais recouvrent toutes ses jambes.

Quant à Ibrahim, il doit avoir 30 ans, c’est un rebeu, de taille moyenne, avec des cheveux épais et mi-longs, une barbe fine. Il est mince, voir maigre. Mais ses muscles sont assez saillants, surtout ses abdos. Il a une peau très sombre, presque noire. Ses tétons sont gros et complètement noirs. Il a des poils frisés qui commencent dans le cou et qui recouvrent entièrement son corps. Les poils de son pubis sont noirs et très courts. Il a de petites couilles rasées noires, et une queue assez fine de 22 cm. Elle est complètement noire avec un gland rosâtre. Elle est un peu recourbée vers le bas et elle a l’air vraiment longue.

Ils sont posés sur le lit, leur bite tendue. Je me précipite entre les jambes d’Ibrahim et je commence à lécher sa teub de bas en haut, avec de grands coups de langue. Puis je m’empare de la queue de Cédric à qui j’inflige le même traitement. Puis j’enfonce sa queue dans ma bouche et je la suce. Ensuite, je repasse à Ibrahim qui me caresse la tête tout en gémissant.

- Je t’avais dit qu’il suçait bien ! Mieux que ta meuf, non ?

- Oh oui ! C’est trop bon, continue !

Sur ces mots, le rebeu pose ses mains sur ma tête et il commence à imposer un rythme lent tout en voulant enfoncer sa queue toujours plus loin dans ma gorge. Puis il me fait passer à la bite de Cédric. Il me fait alors mettre sur le ventre et il se met à me triturer le cul. Puis il écarte mes fesses et il y enfonce un doigt. Je me crispe mais j’ai eu la bonne idée de me mettre un peu de gel après la douche. Il y met un autre doigt et il se met à me fouiller le cul tandis que je suce mon demi-frère qui me murmure à l’oreille :

- Tu t’es déjà fait prendre par une aussi grosse queue ?

- Non, je ne crois pas.

- Tu vas voir, elle va te faire du bien !

Au bout de 5 minutes, Ibrahim me fait signe. Il se tient debout et je me mets à genoux devant lui et je le suce. Très vite, il prend le contrôle et il se met à me baiser la gueule. J’arrive à prendre presque ses 22 cm en entier dans ma bouche.

Il me fait ensuite remonter vers lui et il me malaxe le cul tandis qu’il m’embrasse dans le cou ou mordille mes tétons. Cédric vient se placer derrière nous, il se colle contre moi et il fait glisser sa queue contre ma raie tout en m’embrassant dans le dos. Puis il me fait me retourner et il dit de me baisser. Je comprends le message et je me remets à le sucer. Ibrahim me fouille de nouveau le cul puis il se relève. Je me retourne et je prends sa queue en bouche. Cédric frotte sa tige contre ma nuque. Puis il me fait me relever et il me place à quatre pattes sur le lit, le cul au rebord. Il prend du gel et il m’en enduit l’anus. Ibrahim arrive alors et frotte son gland contre ma rosette. Et il s’enfonce dans mon trou lentement. Pendant ce temps, Cédric se place devant moi. Il me regarde droit dans les yeux, avec un regard de rapace. Il scrute ma réaction alors que la bite s’enfonce toujours plus profondément. Je ne ressens pas de douleur. J’apprécie à fond. La queue arrive au fond de mon anus mais elle n’est pas encore rentrée complétement. Ibrahim continue sa poussée et je pousse un cri de plaisir quand son gland pousse les limites de mes intestins. Je prends trop mon pied. Cédric sourit et il m’embrasse goulument. Il kiffe me voir me faire enculer par son pote à la grosse queue.

Finalement, je sens les poils de pubis du rebeu collés contre mes fesses. Il s’écrie :

- Putain, il a un trop bon cul ! Super chaud en plus !

- Je te l’avais dit ! Vas-y, défonce son petit trou !

Ibrahim bouge de gauche à droite, me laissant m’adapter à sa queue. Puis, il commence à me baiser avec des mouvements réguliers, amples mais lents. Cédric m’enfonce sa queue dans la bouche et je la suce avec plaisir. Puis, il commence à entrer et sortir sa queue de mon cul complètement à chaque coup de reins. Je la sens bien passer, elle me fait vraiment du bien. Ibrahim est super endurant. Il me baise ainsi pendant presque une heure. Cédric me défonce la gueule à coups de bite ou il se place derrière Ibrahim pour mater le spectacle de sa bite s’enfoncer en moi, tout en se branlant. Ibrahim dit au bout d’une heure :

- Ton cul est trop bon ! Tu encaisses trop bien ma grosse queue en plus ! Je n’ai jamais pu baiser sans avoir á me finir à la main !

Il monte sur le lit, se place au-dessus de moi, se couche sur mon dos, ses bras autour de mon cou et il reprend sa baise. Il accélère le rythme et je sens sa queue se raidir, son souffle s’accélérer. Son gland se gonfle et il lâche au moins 7 bonnes giclées dans mon cul. Je ressens ce jus chaud et plutôt liquide qui m’envahit. Puis il sort.

Cédric me laisse peu de répit et il me fait mettre sur le dos. Il plaque mes jambes contre son torse et il s’enfonce directement dans mon cul, et va taper le fond de mes entrailles.

- Putain, Ibrahim, tu l’as bien engrossé ! Je glisse dans son cul !

Il prend alors immédiatement une cadence rapide et sauvage. Ses grosses couilles me frappent le cul et je couine sous l’effet de sa teub, certes pas aussi grosse que celle du rebeu, mais il sait très bien s’en servir. Il me prend par la taille et ses mains puissantes m’agrippent, lui permettant ainsi de me baiser contre plus puissamment. Il me regarde droit dans les yeux en se pinçant les lèvres. Sa queue et ses couilles balancent le sperme d’Ibrahim un peu partout sur moi.

- Je vais pas tenir longtemps, bébé !

Sa respiration s’accélère et il continue de me baiser tandis qu’il me remplit. Je sens son jus bouillonnant aller s’ajouter au sperme du rebeu. il se calme et finalement, ses coups de reins s’arrêtent. Les deux mecs se posent à côté de moi et ils parlent. Ibrahim me donne son numéro car il veut à tout prix me rebaiser.

Finalement, on boit une petite bière et le rebeu s’en va. Cédric et moi mangeons ensemble, regardons un film. Puis vers minuit, il me dit :

- On dort ensemble cette nuit ?

- Oui, volontiers.

On va dans son lit et on se fout directement à poil. Il me prend dans ses bras, il me pose la tête sur son torse et il me caresse les cheveux. Puis sa main passe vers mes épaules et il me sort :

- Tu es tendu ! Tu veux que je te fasse un massage ?

- Oh oui !

Il se place derrière moi, je m’assois entre ses jambes et il commence à me masser la nuque et les épaules. Puis une main descend vers mes cuisses et les masse aussi.

- Tu es tellement beau, Nico.

Et là il se penche vers moi et je l’embrasse à pleine bouche. Nous nous roulons une pelle tendre et câline. Sa main qui me massait la cuisse remonte vers ma queue qui est à moitié molle et il l’actionne. Et à ma plus grande surprise, il se lève et prend ma bite en bouche. Il la suce tendrement, lentement en utilisant bien ses lèvres. Il se relève et il me regarde droit dans les yeux :

- Tu sais, je ne suce que les mecs qui me plaisent vraiment et qui en valent la peine.

Je me sens tout retourné après cette déclaration. Je le regarde droit dans les yeux et un courant passe entre nous. Je me précipite sur lui pour l’embrasser. Puis il reprend sa suce. Il se débrouille vraiment bien. Au bout de 5 minutes, il remonte vers moi et il m’embrasse. Moi, je descends et je le suce à mon tour. Puis à un moment, il lève ses jambes et j’ai une vue imprenable sur son cul broussailleux, plein de poils. Ma langue plonge dans sa raie et joue avec ses poils. Puis elle titille sa rosette. Il gémit de plaisir. Ma langue s’enfonce alors dans son trou et commence à bien le travailler. Il murmure alors :

- Nico, baise-moi !

Sans me faire prier, je me relève et je pose mon gland sur son trou. Ma queue bien dure s’y enfonce et va très vite trouver le fond de ses entrailles. Je n’aurais pas cru qu’il était si ouvert. Je commence à donner des coups de bites longs et réguliers, profonds, qui le font bien gémir. Je me penche sur lui, nos corps se touchent et je l’embrasse goulument en continuant de le baiser. Il gémit comme jamais.

- Putain, tu as une trop bonne queue !

Je me relève et j’accélère le rythme. J’adore voir les poils de sa raie se coller sur ma queue et accompagner mes allers-et-retours. Mes couilles frappent sa raie. J’admire aussi son corps magnifique. Je caresse ses biceps bien développés, ses pectoraux gonflés et ses tablettes de chocolat. Mes doigts jouent avec les poils de son pubis. Mon demi-frère en profite pour se branler. Je le regarde ensuite tendrement et je l’embrasse de nouveau.

Je lui fais l’amour ainsi pendant 15 minutes. Je le baise franchement, il couine à chaque mouvement. Puis je plaque ma queue dans ses entrailles et je jute. Je compte seulement 3 jets pulser hors de ma bite mais ils sont puissants et vont fouetter le fond de son cul.

Je sors et le jus coule lentement de son trou. Il se relève alors, il prend ce sperme et s’en sert de lubrifiant pour se branler. Je l’observe et je suis en admiration devant ce mec. Je me sens alors tout chamboulé.

Il se lève et il se place devant ma bouche et il jute 4 jets qui fusent immédiatement au fond de ma gorge. J’avale tout et nous nous couchons l’un à côté de l’autre. Il me prend dans ses bras, on s’embrasse et il s’endort dans mes bras. Moi, je ne trouve pas le sommeil. Je le regarde et je dois me rendre à l’évidence que je ressens pour mon demi-frère un sentiment nouveau et fort.

Puis, je finis par m’endormir. Le lendemain, on passe la journée ensemble à baiser et à sortir. J’ai l’impression qu’une complicité nouvelle s’installe.

Mais deux semaines après, je rentre plutôt d’une sortie avec des amis. Quand je franchis la porte, j’entends des bruits bizarres provenant de l’étage. Je vais voir et j’entends des gémissements. Ils viennent de la chambre de nos parents. Mais je sais qu’ils ne sont pas là. La porte est entrebâillée, je l’ouvre discrètement. Et là, mo cœur fait un bond dans ma poitrine. Cédric est en train de se faire baiser par une grosse queue noire. Mais je ne reconnais pas la queue de son copain, avec qui nous nous sommes déjà bien amusés.

Ma bite bondit dans mon pantalon et je la sors pour me branler devant le spectacle. Le black est debout et il baise Cédric qui est en levrette sur le lit. Le mec a un cul très sexy, bien rebondi, des jambes musclées, un dos en V, des cheveux noirs et crépus. Il a des couilles assez imposantes qui se balancent sous sa queue qui a l’air de bander bien dure ! En tout cas, elle ouvre bien le cul de mon demi-frère. A un moment, le black sort et le trou béant de Cédric apparait. Je comprends pourquoi il n’était pas si serré que cela... Il aime se faire défoncer par de grosses teubs ! La queue du black est magnifique, elle doit faire bien 20 cm. Elle replonge dans le cul de Cédric, sans capote. Le black s’empare des hanches du céfran et il le baise comme un fou. Cédric gémit fort. Les couilles frappent son cul et font un bon bruit de baise.

- Tu aimes ma bite dans ton cul, hein, petite salope ?

- Oh oui !

- Je te baise bien, hein, salope ?

- Oh oui, c’est trop bon !

Je suis vraiment choqué. Le black parle à Cédric comme à une petite pute, lui qui d’habitude la joue grand macho. Et en plus, il semble adorer ça ! Le black le pilonne à fond. Puis il le met sur le côté, restant toujours debout et il reprend sa baise.

- Tu sens ma grosse queue ?

- Oui, putain ! Trop bon !

Le black l’encule de toutes ses forces.

- Je vais t’engrosser, salope !

- Oh oui, vas-y, jute en moi !

- Oh, putain, ça y est, je te remplis !

Il donne un grand coup de rein, il gueule et je vois ses couilles pomper pour se vider dans ses intestins. Moi, je n’en peux plus et je jouis silencieusement cinq gros jets sur la porte et sur le sol de la chambre. Je repars sur la pointe de pieds, lui laissant le soin de nettoyer...ou d’expliquer ça à ma mère !

Puis je vais dans ma chambre, je m’enferme et je réfléchis. Même si la situation m’a grave excitée, un sentiment bizarre s’empare de moi... un sentiment de solitude et d’abandon. Je me sens déchiré de l’intérieur. Je me rends alors à l’évidence... je suis fou amoureux de mon demi-frère Cédric... qui semble être une grosse chaudasse qui baise avec tout ce qui bouge... Je me mets alors à pleurer en me rendant compte de la situation.

Merci à David pour son idée.

J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire réelle. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).