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Chapitre 11
Salut,
Comme je vous l’ai raconté dans le premier chapitre, Cédric, le fils du nouveau compagnon de ma mère, m’a pris en flag en train de me branler. Quelques jours plus tard, en plein confinement, je l’ai retrouvé sur mon lit, nu, où il m’a demandé de le sucer. De fil en aiguille, il m’a sodomisé. Et je dois avouer que j’ai beaucoup aimé... et je peux vous dire que depuis, j’en profite. Mais un jour, je l’ai surpris en train de se faire baiser par un black... ce qui m’a bizarrement chamboulé et je me suis mis à pleurer. J’ai alors compris que j’étais amoureux de Cédric, mon demi-frère, une grosse chaudasse qui baisait avec tout ce qui bougeait... J’ai donc décidé de me faire une raison et de reprendre mes plans cul. Après m’être fait baiser par un beau black, Cédric s’est montré jaloux... et j’ai compris qu’il était aussi amoureux de moi. Cependant, il m’a fait une révélation qui m’a un peu chamboulé : il baisait régulièrement avec mon père... ce qui m’a rendu jaloux... et fou de rage. Finalement, Cédric m’a avoué son amour et il m’a promis d’arrêter de coucher à droite et à gauche. Nous avons finalement emménagé ensemble. On a quand même dû dire à mon père la vérité, étant donné qu’il n’arrêtait pas d’envoyer des messages à Cédric pour lui demander de coucher avec lui. Je dois avouer que j’ai été un peu brutal et sans cœur en faisant cette annonce. En allant chez lui à l’improviste pour m’excuser, j’ai retrouvé mon père en train de baiser ... avec le père de Cédric. Ce-dernier n’a pas voulu me croire et après avoir confronté son père à mes dires, les « vieux » ne se sont pas privés de baiser dans la maison de ma mère... ce qui m’a excité au plus haut point et ce qui m’a donné très envie de Cédric. Après ces évènements chargés en émotions, Cédric m’a surpris en me disant : « Je crois qu’il est temps d’officialiser notre relation auprès du reste de notre famille ! »
Je suis étendu sur la plage et je profite du calme ainsi que du bruit des vagues. Cela fait presque 3 mois que j’ai surpris mon beau-père et mon père en train de s’envoyer en l’air. Entre temps, peu après ces évènements, Cédric et moi avons officialisé un jour à table notre relation. Ma mère a été choquée mais mon beau-père n’a eu d’autre choix que de nous soutenir. Il savait bien sûr ce qui était en jeu. Ma mère a mis du temps à se faire à l’idée que son fils était homo et qu’il sortait avec le fils de son compagnon. Peu avant qu’on parte en vacances, elle nous a fait venir à la maison et on a parlé de tout ça. On a mis les choses à plat (sans bien sûr mentionner que son compagnon était l’amant de mon père...) et quand elle a compris qu’on était réellement amoureux, elle a eu l’air plutôt rassurée.
Cédric et moi sommes donc en Espagne, non loin de Barcelone, sur une plage « normale ». Je repense à tout le parcours qu’on a fait depuis... A y réfléchir, j’ai eu un effet positif sur lui, il me semble. Il a arrêté de courir derrière les mecs à droite et à gauche, on a emménagé ensemble et il a trouvé du travail. Et c’est lui qui a insisté pour me payer ces vacances. Je suis comblé.
Pour le moment, je lis un livre sur ma serviette de plage tandis que Cédric fait de la natation. Quand je finis mon chapitre, je lève les yeux et je le vois sortir de l’eau. Pas mal de regards se tournent vers lui et le suivent ostensiblement. Et je comprends bien pourquoi...
Cédric est mince, musclé sec. Il a des épaules assez larges avec des biceps bien développés. Il a un corps en V, avec un torse musclé : ses pectoraux sont bien apparents... et des tablettes de chocolat. Il a une coupe de cheveux à l’iroquoise : ses cheveux, châtains, sont rasés sur les côtés et sur le dessus, une touffe. Il a des tatouages sur le torse, les avant-bras, le ventre, les mollets. Il a des cuisses bien musclées et des mollets et des pieds imposants. Des poils drus et épais recouvrent toutes ses jambes.
A chaque fois que je vois nu, je me retrouve le souffle coupé. C’est vrai que c’est un mec canon !
Je vois les gouttelettes d’eau de mer perler sur son magnifique corps. Elles coulent le long de son cou, passent sur ses magnifiques pectoraux. Elles freinent un peu au sommet de ce muscle avant de redescendre de l’autre côté, puis elles atteignent vite ses abdos où elles jouent aux montagnes russes avant d’atterrir dans son maillot. Mes yeux se posent alors sur son paquet…
Le tissu forme une bosse volumineuse. Il laisse même entrevoir le dessin de son gros gland. Son sexe semble plaqué sur ses grosses couilles. Je me l’imagine nu … et ma queue se met à frétiller.
Cédric avance lentement vers moi et sous ses pas, je vois ces magnifiques muscles qui bougent sous sa peau, par exemple ces magnifiques cuisses. L’eau ruisselle le long de ses cuisses et de ses mollets bien musclés, se frayant un chemin entre ses poils drus et châtains. Puis, mes yeux retombent sur les muscles de son corps que j’aimerais caresser, embrasser…
Il me tire de mes rêveries en me parlant :
- Me revoilà !
- Salut, bébé. Ça va ?
- Oui, mon cœur. Et toi ?
- Je lisais … avant que tu me déranges en te déhanchant, le long de la plage, avec ton corps de dieu.
- Ah, il est si dérangeant ?
- Oh oui.
Cédric rigole et il me prend dans ses bras. Il dépose un délicat baiser sur mon épaule avant de se reculer et de se poser sur sa serviette. Mais nos jambes se frôlent. Quelle sensation exquise de sentir sa peau douce contre ma jambe. Et il n’en faut pas plus pour sentir le désir naître en moi … et pour réveiller ma bite qui prend petit à petit du volume.
Je me retourne alors sur le ventre afin que personne ne remarque mon était d’émoi. Cédric commence à comprendre ce qu’il m’arrive et il me donne une petite tape sur les fesses en rigolant.
Une fois ma bite redevenue normale, je me retourne sur ma serviette et je m’allonge pour profiter des caresses du soleil. Je ferme les yeux... Mais très vite je les réouvre, ... ne pouvant m’empêcher de mater le corps d’Appolon de mon copain. Je le contemple pendant de longues minutes, sentant ma bite vibrer. Je sais bien qu’une seule caresse de sa part le ferait se dresser comme un mât.
Quelques minutes plus tard, il me propose de rentrer et d’aller manger un bout dans un restaurant, la chaleur étant très éprouvante pour lui. On remballe alors nos affaires et on se dirige vers un restaurant espagnol où nous avions mangé une excellente paëlla la veille.
Après un excellent repas sous la clim, nous partons découvrir un peu les alentours. Main dans la main, nous nous promenons, nous rigolons, nous nous amusons. C’est vraiment une belle journée. Souvent, j’observe Cédric et je me dis que j’ai de la chance de l’avoir. Dès qu’il rigole, je me sens transporter de bonheur. Son rire éclaire son visage d’une telle façon qui me fait vibrer. Je sais ce qui m’arrive… je suis tout simplement amoureux.
Le soir, nous découvrons un petit restaurant qui ne paie pas de mine… et où nous mangeons des plats succulents. Etant donné que nous sommes allés la veille en boîte, nous sommes assez fatigués. Nous rentrons à l’hôtel et nous allumons la télé. Je dois d’ailleurs avouer que je suis surpris que Cédric est proposé ça… Il n’est plus le fêtard invétéré qu’il a été… ce qui me convient parfaitement.
Je me loge dans ses bras puissants et je me colle contre lui. Je sens sa peau douce contre la mienne. Les poils de ses jambes frôlent ma peau et je sens ma queue s’exciter. On se regarde souvent d’un regard rempli d’amour… et nous nous embrassons tendrement avant de reprendre le cours du film.
Je caresse inconsciemment son torse musclé, ses biceps énormes. Je jette aussi des coups d’œil à ses aisselles poilues qui me rendent toute chose. Sa main droite est posée sur ma cuisse. J’adore sentir le contact de sa grande main sur ma peau. A un moment, je pose ma main sur son paquet… et je le masse un peu… avant de partir dans les bras de Morphée.
Le lendemain matin, je rouvre les yeux. Je suis toujours dans les bras de mon amoureux qui dort encore. Il m’a laissé dans cette position, inconfortable pour lui, afin que je dorme au plus près de lui. Il ronronne à mon oreille. Je me rends alors compte qu’il a une érection matinale. Je meurs d’envie de la caresser et de la prendre en bouche. Mais je ne veux pas le réveiller. J’essaie alors de calmer mes pulsions et je me tourne sur le côté. Très vite, Cédric passe derrière moi et il me prend dans ses bras. Je me retrouve avec sa bite raide collée contre ma raie… et là, je ne peux plus résister, surtout quand il commence à se frotter à moi.
Je sens son corps musclé contre ma peau… tandis que ses mains se mettent à me malaxer les fesses. Ma main passe sur son corps et mes doigts caressent sa peau douce. Ses lèvres se posent doucement dans mon cou et il se met à m’y embrasser délicatement.
Je me retourne et il me regarde d’un regard rempli d’amour… et de désir. Je l’embrasse alors tendrement pendant de longues minutes. Puis, mes lèvres descendent dans son cou puis le long de son magnifique corps. Mes mains ne peuvent s’empêcher de peloter ses biceps ou ses pecs musclés. Mes lèvres passent ses abdos pour atterrir dans son pubis. Elles se mettent à jouer avec les poils de son pubis. Je hume le parfum de mâle qui s’en dégage. Je bande alors encore plus dur. J’admire son entre-jambe : sa queue et ses couilles sont assez foncées. Ces-dernières sont grosses, elles ont l’air bien remplies. Sa queue de 19 cm se dresse fièrement au-dessus. Les poils de son pubis et de ses couilles sont bien entretenus : ses couilles sont rasées et son pubis a un léger duvet, tout comme son ventre.
Ma langue commence à passer le long de sa bite qui est dressée sur son ventre. J’admire ses magnifiques 19 cm qui me rendent fou d’envie. Je lèche sa bite et ses couilles avant d’engouffrer son morceau dans ma bouche. Je me mets à le sucer pendant qu’il me caresse la tête et le dos.
Il me fait venir vers lui et il me roule une grosse pelle. Puis, c’est à son tour de me sucer. Il fait ça super bien. D’abord, il sort la langue qu’il passe sur toute la longueur de ma bite avant de prendre le gland dans sa bouche pour le lécher tel un esquimau. Il lève les yeux de temps en temps et je lis du désir dedans. Je passe mes doigts dans ses cheveux pendant qu’il enfonce un peu plus ma queue dans sa bouche. Il me malaxe les couilles tout en me faisant des gorges profondes. Et très vite, sa langue passe sur mon périnée avant d’atterrir sur mes fesses. Et, tandis que ses lèvres les embrassent, ses deux mains les pétrissent comme si c’était de la pâte à pizza. Ensuite, il me fait un anulingus de malade qui me fait gueuler de bonheur. Je me mets à mouiller du cul. Je ressens sa langue tournoyer dans mon anus ce qui me fait gémir bien fort. Puis, il se met à la faire rentrer et sortir, comme si elle me baisait … je gueule à fond...
Au bout de 10 minutes de ce traitement, Cédric se relève et il pose son gland sur mon trou. Je n’ai pas besoin de gel... Il m’a tellement bien bouffé le cul que je mouille en abondance. Il enfonce alors lentement son anaconda dans mon anus. Ses 19 cm m’écartent bien mes sphincters... mais je me décontracte et je savoure son énorme membre me pénétrer. Une fois que sa queue est à moitié dans mon cul, il se penche sur moi et il se met à m’embrasser dans le cou, tout en me serrant dans ses bras contre son torse musclé. Et finalement, je sens ses grosses couilles plaquées contre mes fesses. Cédric me murmure à l’oreille :
- Je t’aime, mon amour !
- Moi aussi, bébé.
- Tu as envie que je te prenne ?
- Oui... fais-moi l’amour.
Il fait presque ressortir sa queue de mon cul puis il y re-rentre doucement. Il répète plusieurs fois cette opération, tout en m’embrassant dans le cou ou dans le dos. Je sens sa bite coulisser en moi ... et j’aime ça ! Puis, petit à petit, il accélère la cadence.
- Bébé ?
- Oui, mon cœur ?
- Défonce-moi !
- Avec plaisir !
Cédric saisit alors mes hanches et il se met à me pilonner. Puis, très vite, je me retrouve sur le dos, il emboîte de nouveau sa queue dans mon fondement et il se met à me pilonner. Nos yeux sont ancrés l’un en l’autre. Je lis une profonde envie et un grand amour dans son regard. Il se penche sur moi et il m’embrasse tout en me baisant sauvagement. Ses cuisses puissantes et musclées frappent mes fesses. Il donne de bons coups de butoir qui me font gémir. Le duvet de son pubis cogne contre mes couilles qui sont comme posées sur un tapis moelleux. Puis, Cédric se redresse, il saisit mes jambes et il augmente la cadence, m’arrachant de grands cris de plaisir.
Il me défonce non-stop pendant une vingtaine de minutes. Il est super endurant. Il fait de grands allers-retours avec sa bite, il est tel un marteau-piqueur qui me pilonne le cul. Je gémis fort, je suis comme au septième ciel. C’est vraiment un amant hors-pair. Finalement, il se bloque au fond de mon anus et je sens alors son sperme chaud envahir mon colon ! Le premier jet me mitraille le fond de mes entrailles... comme le deuxième puis le troisième. Il donne quelques coups secs et il continue de juter. J’ai presque l’impression qu’il ne va jamais s’arrêter ! Après avoir déposé une dizaine de giclées au fond de moi, il se retire et un tsunami de sperme jaillit hors de mon anus pour souiller les draps.
Cédric prend ma queue en bouche. Il se met à me sucer à fond, comme un dieu. Et il me faut peu de temps avant de jouir dans sa bouche. Je crois que je jute une bonne quantité de jus ! Il avale tout, fièrement, avant de venir se poser dans mes bras. Il m’embrasse alors tendrement et je sens que son haleine sent le sperme... mon sperme...
On reste ainsi pendant de longues minutes dans les bras l’un de l’autre. Il n’y a pas de doute pour moi : je suis amoureux de Cédric, mon demi-frère, et même si notre histoire semblait mal partie au début, tout est maintenant pour le mieux.
FIN
Merci à David pour ces idées.
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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