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Chapitre 3
Matowu et sa famille vivent ensemble dans une grande maison à M., en Nouvelle-Aquitaine. Ce black a une grande famille. Il a une femme, 5 fils nés de son union avec sa première épouse et 3 fils nés de sa deuxième union. Deux de ses fils lui ont aussi offert 4 petits-fils de 18, 20, 22 et 25 ans.
Matowu a 55 ans et il est le maître incontesté de la maison. Il règne en père et en grand-père. C’est un mâle dominant, un alpha. Son propre père jusqu’à son dernier petit-fils sont voués à être à son service. En sa présence, on parle à voix basse. Personne n’oserait jamais contester ses décisions. Son pouvoir spirituel est indiscutable. Pour les membres de sa famille, c’est une relation normale et inerrante à leur nature. Même sur le plan sexuel, ils sont là pour le servir.
Aujourd’hui, Matowu a une réunion à la banque. Son conseiller aimerait le voir pour faire de nouveaux placements. Son aîné, Samuel, a décroché une grosse promotion et vu que tout l’argent de la famille est destiné à Matowu, c’est lui qui gère le pécule familial. Il a fait des placements, gagné beaucoup d’argent grâce à ses actions. Et son conseiller lui annonce qu’il a encore réussi à faire plus de rendements. Matowu est très content d’apprendre que Samuel a eu un bonus très conséquent qui a bien alimenté le compte familial. Suivant les conseils de l’employé de banque, il place cet apport dans la pierre.
Sur le chemin du retour, Janis, qui sert aujourd’hui de chauffeur, remarque le sourire radieux de son grand-père. Il est en effet super fier de son aîné. De retour à la maison, il voit son fils dans la cuisine.
- Samuel, va te préparer et viens me rejoindre dans ma chambre. On a quelque chose à fêter.
Samuel s’exécute et disparait. Pierre arrive et sert un rafraichissement à son père puis disparait. Une demi-heure plus tard, Samuel frappe à la porte de la chambre de son père et il entre, complètement nu. Matowu le fait assoir et l’observe.
Samuel fait un peu tâche dans la famille. Alors que ses autres fils et petits-fils sont minces et/ou musclés, Samuel est gros. Il a 43 ans, il porte des lunettes. Il a le crâne rasé et un bouc. Il a des seins énormes et pendants, un très gros ventre dur. Il a des bras et des cuisses énormes, très puissantes. Il a quelques poils sur le torse et au niveau du pubis, sinon il est imberbe. Il a une peau café au lait.
Matowu apprécie tout de même de ne pas avoir toujours des corps musclés et bien formés. Il aime bien toucher ce corps moelleux et dodu. Il prend alors la parole :
- Je te félicite, mon fils. Mon banquier m’a dit que tu avais eu un très gros bonus, en plus de ton augmentation. Je suis fier de toi.
Samuel sourit et relève la tête, fier comme un coq.
- Merci, père.
- J’ai envie de te remercier. Aujourd’hui, tu décides ce que tu aimerais recevoir de ma part, en cadeau.
Samuel ne met pas une seconde à réfléchir avant de dire :
- Père, j’aimerais être votre chose aujourd’hui. Défoncez-moi en ne prenant aucun égard pour moi.
Matowu sourit. Il reconnait bien son fils. Il a toujours aimé sa place au service du père. Il a toujours apprécié se faire défoncer par l’immense bite paternelle.
- Très bien, viens t’occuper de moi alors !
Matowu s’enfonce dans son fauteuil et il observe son fils qui vient vers lui et qui se met à genoux devant sa grosse bite, encore molle. Samuel, par contre, bande déjà d’excitation. Sa queue est fine et longue, elle doit bien faire 20 cm. Elle est complètement noire, tout comme ses petites couilles.
Samuel prend la belle queue de son père en main et il l'enfonce doucement dans sa gorge, savourant cette bite qui ouvre sa mâchoire et qui va de plus en plus profondément dans sa gorge en grand. Il ressort parfois pour reprendre son souffle puis il s’enfonce jusqu’à ce qu’il sente le morceau au milieu de son larynx. Il suce son père un moment puis il la ressort de sa bouche et la lèche, passant sa langue sur le long de cet anaconda et la faisant tourner de temps en temps lentement autour du gland. Il descend parfois sur ses couilles où il passe partout.
Matowu lui fait faire des gorges profondes et Samuel kiffe, ça se voit sur son visage. Il se sent totalement à sa place. Pendant ce temps, la main de Matowu descend le long du dos de Samuel et il lui caresse le cul. Samuel lui tend ses fesses pour lui présenter son trou. Matowu lui met alors un doigt dans son trou, puis deux et enfin trois. Ça rentre tout seul. Il se dit que son fils s’est soit bien préparé soit qu’il mouille bien. Matowu fait d’amples mouvements, Samuel adore sentir son gland venir au bord de ses lèvres et repartir au fin fond de sa gorge.
Puis le paternel se relève, prend la grosse tête de Samuel dans les mains et il lui roule une grosse pelle. Puis il la dirige vers ses 26 cm et il les enfonce d’un coup. Ils sont bien raides, bien gonflés, ses veines gorgées de sang sont proéminentes et sa langue en caresse les moindres reliefs. Il sait bien lui travailler la bouche avec sa teub, se dit le père. Samuel s’est fait à cet anaconda depuis les décennies qu’il se fait baiser tous les trous par le membre viril de son père. Le gland bute dans sa gorge, Samuel a son nez dans les poils pubiens, les grosses couilles pendent sous son menton. Matowu donne alors de puissants coups de reins et il baise la bouche de son fils comme un vulgaire trou. Les grosses boules se balancent sous la bite et elles vont buter contre le menton. Il lui pilonne la gorge sans ménagement. Samuel est comme une poupée dans les mains de son père et cette perte de contrôle lui plait énormément. Il place même sa main derrière le cul de son père et imprime un mouvement pour lui signifier d’augmenter la cadence. Matowu prend la tête de son fils entre ses mains et il lui démonte la tête. Puis, la bite ressort de sa gorge, le gland luisant. Samuel crache une épaisse salive qui tapisse les couilles du père et son menton à lui. Matowu le laisse respirer quelques secondes puis il se renfonce bien profond, lui démontant de nouveau la gueule tandis que les couilles battent le menton et le cou du fils.
Le père dit ensuite :
- Mets-toi sur le dos, la tête au bord du lit !
Samuel saute de joie sur le lit et il place sa tête dans le vide. Matowu enfonce ses 26 cm directement au fond de la bouche de son fils et il pine cette bouche comme s'il baisait une chatte. Les va-et-vient sont violents et la queue va buter très loin au fond de sa gorge. Les grosses couilles fouettent le nez et le front de Samuel qui se régale de se faire traiter ainsi.
Après s’être pris une grosse baffe, Samuel se retourne et présente à son paternel son trou bien ouvert. Matowu écarte bien les fesses de sa progéniture et sa bouche vient lécher la raie. Ensuite, il enfonce sa grosse langue dans l’anus qui se met à ramoner son anus. Samuel gémit de bonheur. Matowu sait qu’il adore ce traitement et il fait ça pour le remercier. Après 5 minutes, il pose sa grosse queue sur le trou bien mouillé et il l’enfile direct. Samuel hurle de plaisir d'être enfin écartelé du cul par le monstre paternel. Samuel n’aime que cette position de levrette. Ainsi, il sent son père au mieux et au plus profond en lui.
Il adore sentir la grosse teub dans son anus, elle lui remplit complètement les entrailles, Samuel est au septième ciel. Parfois, Matowu agrippe les hanches de son fils, il lui enfourne sa queue entièrement, la retire puis la remet, il joue avec son gland sur le trou béant, puis il s’enfonce profondément dans le cul, ressort puis reprend sa baise endiablée. Il le lime sans vergogne, Samuel gémit fort. Matowu le tient fermement par les épaules, il lui dévaste l’anus. Le corps de Samuel est secoué, le gros ventre se balancent d’avant en arrière, ses seins vibrent sautent.
Au bout d’une heure de baise intense, alternant le cul et la bouche de son fils, Matowu entame les dernières hostilités. Il défonce le cul de son fils avec une rare violence. La pression de ses mains sur ses hanches se fait encore plus forte, son cul cogne contre son pubis à chaque coup de reins qu'il lui donne, ses couilles se balancent et fouettent les siennes : Samuel n’en peut plus, il hurle, sentant la teub au plus profond de lui. Il sent aussi son sperme monter le long de sa queue alors qu’il ne se touche même pas. Le gros dard de son père frotte sans arrêt sur sa prostate et au bout de 5 minutes, Samuel hurle et une bonne dose de sperme s’échappe de sa bite. Le jus gicle sur le lit. Il compte 7 jets qui fusent et qui se logent sous son gros corps. Les coups de reins de Matowu sont plus rapprochés. Puis il donne un dernier grand coup de bite et il se vide dans la chatte de son fils. Les gros jets de foutre sortent du gland de Matowu et vont s’exploser contre les parois des intestins de son fils. Samuel compte 12 jets qui fouettent ses entrailles. Puis le paternel reprend sa baise, tassant comme un bourrin le jus au fond du cul. Sa queue ramollit, il sort du cul et la bite est immédiatement accompagnée d’un geyser de sperme qui jaillit avec violence hors du trou et va gicler au loin derrière lui. Matowu se relève, complètement en sueur et soufflant comme un bœuf, la bite encore en demi-molle, pendante entre ses jambes comme une troisième jambe.
Matowu tend un sopalin à son fils qui nettoie son cul qui dégouline de sperme puis il éponge le lit où a giclé son propre sperme, formant une petite mare. Samuel est impressionné par la quantité de jus qu’il a craché. Son père l’a encore une fois bien tronché, se dit-il.
Il sort de la chambre, le jus dégoulinant toujours de son cul. Mais il décide de rester complètement nu afin de montrer qu’il a été le trophée de son père. Matowu sourit et ressent de la fierté pour son aîné.
A suivre...
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire réelle. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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