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Chapitre 4
Salut, moi c’est Dylan, j’ai 24 ans. Je suis de taille moyenne (1,78m), j’ai les cheveux châtains et les yeux verts. Je suis musclé assez fin. Dans les premiers chapitres, je vous ai raconté l’histoire (réelle) de ma rencontre avec Mehdi, un stagiaire de mon magasin. Mehdi est un rebeu de 27 ans, bien musclé, monté 19 cm.
Je vous ai raconté dans le chapitre 3 comment Mehdi m’a livré à ses copains et comment ils m’ont baisé pendant toute une nuit. Depuis, Mehdi et ses copains m’ont souvent baisé pendant quelques mois. J’ai fini par me raser le cul pour être tout lisse. Quand ils m’ont baisé, ils me féminisaient dans leurs propos ou parlaient entre eux en arabe et rigolaient, ils m'insultaient, ils me disaient que j'avais une bouche à pipes et un vrai cul de femelle, et ils me demandaient même d'approuver ou d'en demander encore plus. Ils adoraient me doigter et me limer en me demandant de cambrer mon cul au max et de bien gémir.
Cependant, cette époque très sexe dans ma vie s’est bientôt calmée. Mehdi a trouvé une copine et il voulait rester fidèle. On se voyait de temps en temps pour faire un jogging qui se terminait parfois par une séance de suce mais j’avais le sentiment que cette étincelle de désir immense n’était plus là. Puis pendant quelques mois, plus de nouvelles.
Hier, j’ai revu Mehdi. Il m’a recontacté par SMS et on s’est donné rendez-vous pour faire un footing.
Comme d’habitude, il porte un t-débardeur et un petit short qui révèle sa peau de rebeu ainsi que ses bras et ses cuisses bien musclées. J’adore ses avant-bras et ses jambes poilues. Comme d’habitude, il ne porte pas de caleçon et lors de notre footing, j’adore voir son sexe se balancer au rythme de ses foulées de droite à gauche. A la fin de notre séance, Mehdi me demande :
- Tu veux passer chez moi ?
J’acquiesce avec plaisir car je sais qu’il va me donner son biberon à téter. Sur le chemin, je vois que quelque chose ne va pas :
- Mehdi, tout va bien ?
- Bof..., répond-il après un instant d’hésitation. Ma meuf m’a largué.
- Allez, t’en fais pas, lui dis-je en passant mon bras autour de son cou. Je vais te faire du bien, tu vas voir, je vais te la faire oublier.
Il ne répond pas mais un petit sourire se dessine sur ses lèvres. On arrive chez lui. Une meuf attend devant son palier. Il me tape alors la bise et me dit :
- Je t’appelle, il faut que je parle à cette pouf.
Comprenant le message, je repars, frustré. J’avais trop envie de sa queue !
Le lendemain, en fin d’aprèm alors que je suis encore au boulot, je sens mon portable vibrer. Je vois que c’est Mehdi, je réponds immédiatement, truc que je ne fais pas normalement.
- Salut, t’es chez toi ?
- Non, je suis au boulot.
- Tu finis à quelle heure ?
- 19h.
- Je peux passer après ? Vers 20h ?
- Oui, avec plaisir.
- A plus alors, bises.
Et il raccroche. Il n’a pas l’air d’avoir le moral... mais je suis bien décidé à le lui remonter.
J’attends Mehdi, et il arrive vers 20h30. En retard, comme d’habitude... Mais je ne lui en tiens pas rigueur.
- Tu veux boire une bière ?
- T’aurais pas quelque chose de plus fort ?
- Whisky-coca ?
- D’accord mais sans le coca.
Je lui sers un verre, je lui mets des glaçons et je m’assois à côté de lui.
- Alors que deviens-tu, lui demande-je
Il commence à me raconter ce qu’il a fait depuis ces derniers mois : changement de boulot, romance avec sa meuf qui l’a ensuite largué, sa déprime. C’est vrai que ça fait un moment que je n’ai pas eu de ses nouvelles. Je le laisse parler mais bon, Mehdi n’est pas un grand bavard. Il esquisse les grandes lignes puis il se tait. Un silence pesant s’installe. J'essaie de relancer la conversation mais ses réponses sont brèves.
Je ne sais pas quoi lui dire... mais en le regardant comme ça, ce rebeu qui a l’air si macho et qui est en fait si fragile, je craque pour lui et je passe mon bras autour de son cou. Mes yeux tombent alors sur son paquet : le tissu de son survêt moule bien sa queue. Une envie me prend soudain et je pose ma main sur son entre-jambe.
Il se met alors à soupirer, il penche la tête en arrière et il met sa main derrière ma tête, la faisant descendre sur sa bosse. Je m’amuse alors à embrasser le tissu, à caresser sa queue à travers son survêt. Et très vite, il soulève son bassin et fait descendre son pantalon et son boxer. Il bande déjà bien. Il me dit :
- C'est mieux comme ça, non ? Allez, suce-moi !
Et enfin je retrouve sa belle queue tendue sous mes yeux. L’eau m’en vient à la bouche. Sa bite de 19 cm en main est vraiment belle, épaisse, circoncise, veinée et puissante. Je la prends dans ma main gauche et je me mets à la branler tandis que je masse ses grosses couilles de la main droite. Je me mets entre ses jambes, à quatre pattes, et j’admire la vue : ses grosses couilles reposent sur le canapé entre ses jambes musclées et velues, la teub bien tendue, et en arrière-plan, son corps hyper musclé.
Il pose sa main sur ma tête et d’um geste impatient, il me fait comprendre que je devrais me mettre au travail. Je prends sa queue en bouche et je le pompe comme un affamé, alternant les jeux de langue sur sa queue et son gland, le massage de ses couilles et les gorges profondes. Je le suce bien pendant 20 minutes. Puis, il prend un tube de gel que j’avais posé sur la table basse et il me fait monter sur le canapé. Il m’enduit le trou avec le lubrifiant tandis que je le suce toujours.
Il passe ensuite derrière moi, enduit sa queue de gel et me pénètre assez vite. J’en ai le souffle coupé. Mon anus doit s’habituer de nouveau à son morceau. Il enfonce sa queue de tout son long puis il commence à me baiser :
- Putain, cette chatte m’a trop manqué ! J’avais oublié qu’elle était si bonne. Alors, ma petite pute ? Elle te plait ma teub ?
- Oh oui ! Vas-y, baise-moi !
Il adopte alors une cadence de malade. Il donne des coups de queue violents, il me défonce sauvagement. Ses couilles rebondissent sur mon cul, j’adore le bruit que ça fait. Tel un marteau-piqueur, il me défonce. Je gueule de plaisir. Il ralentit parfois pour me donner un grand coup de bite qui s’enfonce tout au fond de moi, avant de reprendre sa baise effrénée. Puis il ralentit et c’est comme s’il jouait avec son gland à l’entrée de mon anus. Il rentre à peine sa queue en moi et la faire ressortir immédiatement, laissant son gland dans mon premier sphincter. Puis il donne des coups de reins puissants mais cette fois plus lents.
Ensuite, il met sa main dans mon dos et il m’entraine sur le sol. Je me retrouve à plat ventre et il garde sa main plaquée contre ma nuque. Il se défoule de nouveau.
- Ton petit cul de salope encaisse bien, c’est génial. Elle t’a manqué, ma queue de rebeu ?
- Ouiiiiii !
- Prends cette bonne queue de rebeu en toi !
En disant ça, la violence de ses coups de queue augmente. Ses abdos claquent contre mes fesses et ses grosses couilles fouettent mon périnée. Dans un miroir, j’admire ce bogoss bien musclé avec sa grosse queue qui s’enfonce et ressort de mon cul à une vitesse démente et ses couilles qui se balancent sous sa bite. Puis il se couche sur moi et seul son bassin se meut. Je sens son souffle dans mon cou et à mon oreille. Il y dépose quelques baisers, chose nouvelle qu’il ne faisait pas auparavant. Ainsi sa queue me travaille bien la prostate, faisant monter mon jus.
Il me fait ensuite changer de position. Il me met sur le dos et s’enfonce en moi. Je retrouve avec mes pieds sur ses épaules, ses mains sur les miennes et il reprend sa baise. Ses coups sont petits mais profonds, il va chercher bien loin en moi. Puis il m’écarte bien les jambes et il me défonce de nouveau.
Cinq minutes plus tard, il me prend par le poignet me fait me lever. Il me conduit vers la fenêtre, me colle devant, je me cambre et il s’enfonce en moi.
- J’ai envie que tout le monde sache que tu es une grosse salope qui aime la bonne queue de rebeu. Je veux montrer à tous que tu es à moi, que tu es ma chienne perso !
Ses coups de reins sont puissants et profonds mais moins rapides. A un moment, il me relève tout en continuant de me baiser et il me roule une grosse pelle. Je vais de surprise en surprise aujourd’hui... puis il pose ses mains sur mes épaules et me défonce à rythme régulier.
- Putain, ça monte, je vais te mettre enceinte, ma petite pute.
Il donne alors de grands coups de reins, enfonçant sa queue bien au fond et il se décharge en moi. Il continue de me baiser quelques secondes puis se retire. Une fontaine de jus gicle de mon cul et va se splasher sur le sol et former une petite mare. Mais je sens mon cul fouetter : Mehdi gicle encore et est en train de m’inonder la raie de son sperme. Il se renfonce en moi, faisant tomber encore plus de jus dans la mare. Il continue de me baiser et sa queue reste toute dure. Son sperme sort de mon anus et dégouline le long de mon périnée et de mes couilles. Sa queue devient toute blanche sous ses coups de reins.
- Putain, tu me fais halluciner ! Tu es trop bonne ! Regarde, ma queue ne débande pas !
Il sort de mon antre et va se poser sur le canapé :
- Vas-y, nettoie-la bien. Peut-être que je vais juter une deuxième fois.
Je me place entre ses jambes et je le suce. J’avale son délictueux sperme qui recouvre sa queue et son gland. Sa queue est tendue et je le suce pendant bien 20 minutes. Peu avant de jouir, il prend sa bite en main, se branle et moi, j’ouvre grand ma bouche pour tout recevoir.
- Putain ça monte, tu es gâté ce soir, j'ai les couilles pleines !
Il se positionne devant et le premier jet part comme une fusée et va frapper le fond de ma gorge. Six autres giclées aussi puissantes vont se caler dans ma bouche et descendent directement dans mon œsophage. La source se tarit, il continue de se branler mais seulement quelques gouttes tombent sur ma langue. Effectivement, il avait de grosses réserves ! Il m'a rempli la bouche ! J’avale tout puis je nettoie sa queue et je me rassois à côté de lui en m'essuyant les lèvres.
Il finit son whisky, on parle encore peu puis il se lève pour partir. C'est là qu'il m'a dit :
- Maintenant que je suis seul, une petite soirée entre potes samedi soir ça te dit ?
- Oui...
Il me met alors une main au cul et, il me chuchote à l’oreille :
- Tu vas te faire exploser la chatte toi, t'es une grosse chanceuse !
Et il me quitte. J’ai hâte d’être à samedi soir !
Merci à Dylan pour ses révélations piquantes.
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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