Premier épisode
Rappel chapitre 1 :
Dès la première soirée à La Havane, j'ai rencontré sur le Malecon un trio de jeunes Cubains particulièrement séduisants. Ayant refusé, par précaution, de passer "une nuit de folie" avec les trois garçons, j'ai choisi de ne goûter dans un premier temps que l'énorme sexe de Felipe, que j'avais pu tâter sous la table du "Las Vegas", où ils m'avaient entraîné dans la soirée. Ses deux compères, Raoul et Hernán, nullement vexés, une fois leur bière avalée sont repartis draguer quelque autre touriste sur le Malecon. De son côté, Felipe, l'heureux élu, m'emmenait, à quelques centaines de mètres de là, dans une maison où nous avons loué une chambre, au confort minimum, certes, mais où Félipe a pu me donner plus qu'un aperçu de son extraordinaire virilité, qualité fort répandue, selon lui, chez les jeunes mâles cubains. La beauté de son corps, le talent incomparable de mon premier amant, la taille exceptionnelle de son instrument, tout, lors de cette première expérience cubaine, m'a convaincu de la renouveler dès le lendemain, mais cette fois à quatre (!), avec ses deux copains, tout aussi sexys, et, je le suppose, au moins aussi chauds.... Puisqu'ils étaient prêts, m'avaient-ils dit, à se faire sucer et à baiser un "maricon", tout en se targuant d'être hétéros à 100%...
Me voilà donc marchant tranquillement le long du Malecon, pour le deuxième soir consécutif. Toujours autant de garçons, adolescents ou un peu plus âgés, assis sur le muret, ou marchant le long de la mer. Leurs sourires, la beauté de leurs traits, les bosses de leurs pantalons ou bermudas, sont autant de moyens de séduction, qu'ils savent mettre en valeur pour entrer en communication avec les nombreux hommes qui déambulent sur le boulevard, en quête d'aventures exclusivemet masculines. Mais ce soir je ne veux pas succomber à la tentation... Ce que je cherche, c'est le trio rencontré hier soir, et dont Felipe a été le digne représentant. Mais j'ai beau marcher, rien... aucun des trois n'est venu ce soir. Je finis par m'asseoir, un peu décu qu'ils ne soient pas rendez-vous. Je poireaute depuis presqu'une heure; j'ai dû refuser les services de pas mal de jeunes mecs, tous plus beaux et plus sexys les uns que les autres, mais je ne veux pas trahir ma parole. Et puis j'ai un tel souvenir du plaisir que m'a donné Felipe hiers soir, que je ne voudrais pas, par précipitation, vivre ce soir quelque chose de moins... disons : satisfaisant...
C'est Raoul qui va arriver le premier. Il marche vite, et dès qu'il me voit court vers moi. Il s'excuse du retard, m'explique que Felipe et Hernán ne vont pas tarder. Il me demande si je vais bien, si j'ai aimé hier soir avec Felipe... Je lui dis que c'était super, que son copain est un vrai professionnel... Il rigole, se penche et me chuchote à l'oreille : "Ce soir, c'est pas une, mais trois bites que tu vas devoir sucer !... et prendre dans le cul !! Demain, tu ne pourras plus marcher." Je lui raconte que pendant que j'attendais des tas de gars m'ont fait des propositions, et que j'ai refusé. "T'as eu raison ! On te l'a déjà dit, c'est pas la première fois qu'on baise tous les trois ensemble... Un Allemand, il nous voulait toujours tous les trois, on l'enculait, il nous suçait, il s'est même fait pénétrer par deux d'entre nous en même temps... Felipe et Hernán lui ont démonté le cul et pendant ce temps il me suçait... Il gémissait comme une pute. Si tu veux cette nuit on te fait pareil." Pendant que Raoul me fait saliver d'envie, tout en parlant il se touche la bite, qui a nettement gonflé son paquet. Je suis excité comme un bouc. Le jeune Cubain me montre discètement qu'il bande. Sans doute pour me chauffer un peu plus, il bouge sa queue sous son pantalon, la plaçant le long de sa cuisse. Bel engin ! Le petit salaud doit être bien membré lui aussi. Cachant son érection, en repliant sa jambe, il me dit : "Vas-y, touche-la... T'as vu comme elle est dure ?... Elle te plaît ? Ce soir, petit veinard, tu vas la goûter... Je t'avertis : elle est très juteuse !" Cette petite introduction aux plaisirs annoncés m'a fait passer le temps, sans que je m'en rende compte. Les deux copains de Raoul sont arrivés, tout sourire. Ils me tendent leurs mains larges et à la peau râpeuse. Ils m'expliquent qu'ils travaillent sur un chantier assez lointain, et qu'ils sont passés chez eux pour se doucher... en prévision de ce qui nous attend tous les quatre. "Tu es toujours d'accord ?" me demande Felipe. "Ce soir, on va aller dans une autre maison. C'est mieux, et on peut rester dormir tous les quatre après. Enfin, dormir, c'est toi qui vois..."
Sans plus attendre, je les suis à travers les rues du centre, de moins en moins animées en nous éloignant du Malecon. On arrive devant un immeuble peint en vert, on entre par un grand portail. La maison est moins délabrée que celle d'hier soir. C'est une femme qui nous reçoit. Elle reconnaît les garçons, leur fait la bise et rappelle à Felipe que c'est 20 $. J'ai compris, je sors un billet que je donne à Felipe, qui à son tour le tend à la propriétaire. La chambre se trouve au rez-de chaussée. C'est propre, il y a deux grands lits, une salle de bain avec douche. L'éclairage au néon n'est guère chaleureux. Felipe éteint le néon et allume les deux lampes de chevet. C'est mieux. Hernán et Raoul s'allongent sur le même lit, s'embrassent du bout des lèvres. Felipe s'approchent du lit et leur dit : "Con la lengua, maricones !!" (= Avec la langue, pédés !). Je regarde la scène, amusé, comprenant bien que ce n'est qu'un jeu destiné à m'exciter. Puis Felipe s'approche de moi, frotte son paquet contre le mien. "Tu te souviens de ma bite ? Elle oui... elle se rappelle ton cul... et elle meurt d'envie de se faire sucer comme hier soir... Vas-y, déshabille-moi... Fais-moi bander... bouffe-moi la queue..." Raoul et Hernán ont quitté le lit et sont venus contre moi; ils frottent leur chibre contre mon cul, me donnant des petits coups de bites pour que je sente bien qu'ils bandent déjà tous les deux. C'est moi qui le premier me fous à poil, suivi par le trio. J'ai un début d'érection, mais eux-aussi, les jeunes mecs, bandent presque totalement. Celle de Felipe, avec ses 22 ou 23 centimètres est de loin la plus belle. Impressionnante. Mais Raoul est bien monté, au moins 18 centimètres, avec deux belles couilles pendantes. Quant à Hernán, sa bite est très épaisse, ses couilles très foncées, grosses aussi, collées à la base de sa verge.
Je me baisse et attaque aussitôt la queue de Felipe. Je la connais, je sais qu'il reste endurant et ne va pas éjaculer tout de suite. Le beau mec qui m'a baisé hier soir semble flatté que je l'aie à nouveau choisi en premier. Couché sur le dos, au pied de son lit, il se laisse sucer par moi, à genoux par terre. Hernán et Raoul se sont allongés côte à côte sur l'autre lit et se masturbent. Ils s'astiquent la queue lentement. Le spectacle est splendide. Tout en savourant un chibre et des couilles d'un gabarit rare, je vois deux autres jeunes mâles se donner du plaisir. Au bout de quelques minutes, Felipe les appelle, leur propose de se faire sucer eux-aussi. Les deux copains se lèvent et sans lâcher leur bite, qu'ils continuent de masturber, s'approchent de nous. Ils sont tous les trois assis au bord du lit, face à moi, les deux nouvelles bites bien bandées offertes à ma bouche gourmande. Je lâche celle de Felipe et décide de goûter les deux autres. Incroyable : trois jeunes et belles queues cuivrées, bien raides, rien que pour moi !. Aucune n'est circoncise. Je les prends l'une après l'autre, avale chaque gland en le décalotant avec mes lèvres. Les trois sexes sentent bien la bite, le mâle. Ce parfum est étourdissant. Celle de Hernán est vraiment épaisse et j'ai du mal à en avaler, ne serait-ce que la moitié, comme d'ailleurs celle de Felipe, grosse et longue à la fois. Sans doute, est-ce celle de Raoul que je peux le mieux prendre en bouche, de même ses couilles, d'une taille que bien des Européens envieraient, mais que, en proportion de celles de ses potes, je peux prendre en bouche et baigner de ma salive. Chaque fois, Raoul apprécie et gémit de plaisir. Je sens que d'être assis côte à côte, de se faire pomper de la sorte, et surtout de voir les voisins se faire bouffer la bite eux-aussi, a un effet excitant sur le trio. Je sens qu'ils se lâchent. Ils ont passé leur bras autour de l'épaule du voisin, se sont peu à peu rapprochés davantage. Leurs corps se touchent... C'est Hernán, le premier, qui a tendu ses lèvres vers celles de Felipe. J'ai vu l'instant d'hésitation des deux garçons, et puis ce baiser sans retenue qui a suivi. Ils s'embrassent maintenant en mêlant leurs langues. Ils me donnent l'impression que ce n'est pas la première fois et qu'ils éprouvent tous les deux un véritable plaisir. Puis, Felipe, qui est au milieu, se tourne vers Raoul et lui tend sa langue. Leurs lèvres se rapprochent. Et à mon grand étonnement, ils se roulent une pelle endiablée... Puis, soulevant légèrement leurs fesses, ils rappochent leurs bites de celle d'Hernán. Les trois glands, rouges d'excitation, se touchent maintenant : je peux les lécher, à ma guise, les prendre dans ma bouche, les noyer de salive. Je ne sais pas combien de temps tout ça a duré. Mais le plaisir était évident et personne ne voulait abréger ce magnifique moment de luxure et de jouissance.
J'ai essayé de donner du plaisir à chacun, de façon équitable, pompant chaque bite avec la même application. Mais je dois reconnaître que celle de Raoul, la moins épaisse des trois, a ma préférence, car je peux l'avaler presque en totalité, ce qui d'ailleurs le fait délirer et lui fait faire des folies avec la bouche et le corps de ses potes. Peu à peu, sans un mot, deux couples se sont formés : Felipe m'a tiré sur le lit et, sans me demander mon avis, a commencé à me doigter le cul, puis à pousser le bout de sa queue entre mes fesses. Je me suis laissé faire, me rappelant tout le plaisir que ce jeune mâle Cubain a su me donner hier soir. Sa bite est entrée lentement, glissant avec cette dextérité qui est la sienne quand il s'agit de pénétrer un cul. La douleur est tout de même assez forte, mais je supporte, car je veux qu'il me possède comme hier soir. Sans doute préoccupé par ce que Felipe me fait subir, je ne me suis pas rendu compte que Raoul et Hernán, sur le lit voisin, ont décidé de baiser ensemble de leur côté. Raoul, couché sur le dos, jambes écartées, appuyées sur les épaules d'Hernán, est en train de se faire prendre par son copain. Si je ne prenais pas auatant de plaiir à me faire mettre par Felipe, ça vaudrait le coup de les regarder baiser. Deux garçons aussi bien faits, aux corps café au lait musclés, qui niquent ensemble, ça vaut tous les films pornos ! Felipe a réussi à tout faire entrer... Sa bite me fait exploser le cul... Mais je suis aux anges, je retrouve ces indescriptibles sensations de douleur et de bonheur mêlés que j'ai éprouvées hier soir. J'entends Raoul gémir. Je ne sais pas s'il c'est la première fois qu'il se fait enculer, qu'il est vierge du cul, mais de toute façon prendre une bite aussi épaisse que celle d'Hernán ne doit pas être évident.
Felipe et Hernán vont accomplir leur rôle d'actif avec une fougue incroyable. Comme s'il y avait competition entre eux. J'ai de plus en plus mal et mon amant ne me donne pas l'impression d'être sur le point de jouir. Sur l'autre lit, Hernán a retiré sa bite du cul de Raoul et se branle au-dessus de son ventre. Raoul aussi se masturbe. Je demande à Felipe d'en faire autant. Moi, j'ai déjà joui depuis un bon bout de temps et mouillé le drap. Aussi, je ne suis pas fâché quand Felipe sort sa queue de mon cul et se met à se branler. Je me retourne et tend mon visage vers sa bite, espérant recevoir sa décharge en pleine gueule. J'entends Raoul et Hernán râler en même temps : ça y est, ils ne vont pas tarder à éjaculer. Je voudrais voir ça de près. Mais Felipe m'envoie un premier jet de sperme en pleine gueule. Deux autres suivent, tout aussi puissants et abondants. Son foutre coule le long de mes joues et de mon cou. Putain, qu'est-ce qu'il jute ! Comment a-t-il pu fabriquer autant de sperme depuis hier soir ? Raoul et Hernán se sont levés et se sont rapprochés de notre lit : ils viennent me montrer qu'eux aussi ont juté. C'est surtout le ventre de Raoul qui est couvert de sperme : une belle crème blanche qui a couvert son nombril, ses poils de bite, ses couilles. Une giclée a aussi zebré son torse. Je tends la main, étale le foutre visqueux sur sa poitrine. J'adorerais lécher toute cette semence. Hernán qui a lâché sa purée sur le ventre de son pote a encore un filet visqueux qui pend de son gland. Il n'y a pas de doute : les trois sont des mecs vraiment bien membrés et aux couilles extraordinairement pleines. En revanche, je ne m'attendais pas à ce que deux d'entre eux baisent ensemble devant nous. Surtout avec un tel naturel. Signe que ce n'était pas la première fois, et que ça les a pas gênés de faire ça devant leur pote...
Comme on pouvait passer la nuit dans cette chambre, on s'est un peu reposés. Puis Raoul m'a demandé si je ne voulais pas faire comme l'Allemand... Me faire prendre par Felipe et Hernán, une double pénétration, et le sucer pendant ce temps. L'idée me plaît bien... Mais vu que ce sont les deux qui ont les queues les plus épaisses, j'ai peur de trop souffrir. Déjà la seule bite de Felipe m'a terriblement fait mal ! Alors deux !! Bien sûr, je n'ai jamais baisé avec trois jeunes mecs pour moi tout seul, c'est sûrement un truc inoubliable. Felipe a beau me dire qu'ils vont me pénétrer doucement, qu'ils savent comment s'y prendre pour me faire jouir, je n'accepte pas de leur confier mon cul... Je propose seulement qu'ils me baisent l'un après l'autre, aussi longtemps qu'ils voudront, de se faire sucer, même lécher le cul, la rondelle, mais pas de double pénétration.
Je ne vous raconterai pas en détail la suite de cette nuit de sexe. Je me suis fait niquer dans des positions que je n'avais jamais expérientées. J'ai sucé Felipe quand Hernán m'enculait. Mais celui qui m'a le mieux baisé, disons, le plus tendrement, c'est Raoul ! Il m'a pris sur le côté, et m'a embrassé tout en me pénétrant doucement, doucement. Je ne sais pas comment il a fait pour en avoir encore, mais il m'a rempli de cul de foutre chaud et est resté sans bouger, sa bite plantée dans mon cul, jusqu'à ce qu'il débande totalement et la sorte toute molle de mon cul.
Sous la douche, le matin, j'ai encore branlé Hernán, qui lui aussi a encore juté ! Des mecs capables d'éjaculer autant de fois en si peu de temps j'en ai jamais rencontrés depuis. Vive les Cubains !
Rafael
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