En cette fin de journée d'août il y a encore beaucoup de monde dans la piscine où je passe presque tous mes après-midi, compte tenu des températures insupportables de cet été. Quand je ne suis pas dans l'eau, je m'allonge et mes lunettes de soleil me permettent "d'analyser la situation", en toute tranquillité... Et je ne m'en prive pas! Derrière les verres foncés, je me rince l'oeil, en tout anonymat, pendant de longues heures. Je peux, à loisir et sans vergogne, détailler les corps des mecs qui m'entourent, imaginant toutes sortes d'aventures avec ceux dont la corpulence ou la musculature, la beauté du visage, ou encore la bosse de leur speedo... déclenchent immédiatement en moi des rêves d'un érotisme fou. Et c'est précisément en faisant cet inventaire complet des garçons du jour que mon attention a été attirée par un grand gaillard noir, baraqué, à la peau extraordinairement brillante. Le seul fait qu'il s'agisse d'un black aurait suffi, il est vrai, à éveiller mon intérêt. D'autant plus qu'il a la vingtaine, une carrure de sportif, de beaux traits masculins, et cette qualité de peau parfaite, lisse, signe d'une insolente santé. Plus je mate ce gars et plus son visage me semble familier. Je l'ai déjà vu, ce gars, c'est sûr... Mais où ? J'essaye de me souvenir quand j'ai pu le rencontrer... simplement le remarquer, l'observer de près ? Lui parler ? Non, je ne crois pas : il est beaucoup plus jeune que moi; en plus, sa virilité m'en aurait dissuadé. Je ne vois pas comment j'aurais osé l'approcher. Tout à coup, ça y est ! Je sais : je l'ai croisé tout simplement dans le métro. C'est ça, tous les matins, il arrive à la même heure que moi, ou presque; et nous partons dans la même direction... Je l'ai maté plus d'une fois sur le quai de la station, marchant de long en large, écouteurs vissés dans les oreilles. Ou bien assis dans la même voiture que moi. Je me suis avancé tout près, mais je n'ai jamais cherché à être sur sa banquette, ni à lui parler. Sa dégaine, sa belle gueule sous sa casquette, sa façon de s'habiller, m'ont depuis longtemps frappé et intéressé. Aujourd'hui, en maillot, c'est sûr je ne l'ai pas immédiatement reconnu. Ce qui, en fait, m'a aidé à le resituer, c'est justement sa casquette... Sorti de l'eau, et se rapprochant de ses potes, il s'est recoiffé avec, et bien qu'il soit presque nu, ne portant qu'un boxer très court, rouge (!), j'ai retrouvé dans ma tête l'image du beau jeune noir, croisé maintes fois, en début de journée. Il parle, debout, avec deux gars, à peu près du même âge, bruns, allongés à ses pieds. J'ai l'impression que ce sont deux rebeux, tout à fait à mon goût eux-aussi. Depuis que j'ai repéré ce trio, je ne les quitte plus des yeux, abandonnant mon inventaire des autres jeunes beautés mâles de la journée. Les trois gars discutent, se marrent, et, même si je suis à plus d'une vingtaine de mètres d'eux, je trouve leurs corps bien proportionnés, avec des bras et des jambes solides. À cette distance, je ne vois pas très bien si le sexe des rebeux est aussi apparent et volumineux que celui de leur pote black... À cause de cet affreux bermuda qui, non seulement, leur arrive au genou, mais cache totalement la bosse de leur entrejambe. Il n'y a qu'au moment où ils sortent de l'eau que les garçons vêtus de cet accoutrement ridicule laissent deviner leur anatomie masculine. Mais là les deux jeunes arabes sont hors de l'eau, allongés, appuyés sur leurs coudes, matant sans doute quelque meuf à leur goût...
Le grand black longe le bord de la piscine et va vers le bâtiment des vestiaires et des douches. Est-ce qu'il s'en va déjà? Non, il doit seulement aller aux toilettes, puisque ses potes sont restés allongés. Sans réfléchir plus longtemps, je me lève et me dirige moi aussi vers le bâtiment. Je retrouve, comme prévu, le beau noir aux toilettes, debout, devant un urinoir. Je me place juste à côté. Mais la vitre dépolie qui nous sépare m'empêche de voir quoi que ce soit... Je comprends quand même, à son geste, qu'il en est à se secouer la bite, pour faire tomber les dernières gouttes. Il range son matériel. Au moment où il se recule, nos regards se croisent : il me semble étonné. A-t-il reconnu ma tête ? Ou a-t-il compris que je suis un de ces mecs, sans doute innombrables, attirés par les jeunes blacks ? Peut-être a-t-il deviné les deux choses à la fois... Je quitte mon urinoir et me retrouve à ses côtés au lavabo. Il a terminé de se laver les mains, moi non. Quand il glisse ses mains dans le souffleur pour les sécher, nos regards se croisent pour la deuxième fois. Il esquisse un sourire et me salue, à distance, d'un signe de tête. Je murmure un "Bonjour", tout en me rapprochant du sèche-mains. Quand j'arrive près de lui : "On se connaît, non ?" Je suis comme pris de court par sa question et lui réponds, gêné... : "Oui... bien sûr... on se voit, le matin... on prend souvent le même métro..." "Ah ouais... c'est ça..." Et tout en remontant vers la piscine, marchant à mes côtés, il rajoute, à voix basse : "Ouais... j'avais remarqué que vous me matiez... Je me trompe ?..." "Non... pas vraiment... j'aime regarder les belles choses... enfin... les belles personnes !". Le beau noir sourit, flatté sans doute, et profitant que personne n'est proche de nous, se touche le paquet en me demandant : "Vous aimez ce genre de belles choses ?". Je reste un peu interloqué. Son allusion et son geste sont tellement inattendus. J'arrive quand même à répondre : "Oui... par exemple !" "Je m'en doutais... C'est une très belle chose... vous savez. Je ne serais pas contre de vous en donner la preuve... Mais aujourd'hui je suis avec deux potes, deux frangins... on habite au même endroit... Faut d'ailleurs que j'aille les retrouver... Si vous voulez, on parle un peu ensemble... mais tout à l'heure..." "À plus tard..." Tout en regagnant mon coin, là où, pour suivre ce beau mec aux toilettes, j'ai imprudemment laissé mes affaires sans surveillance. Tout y est, heureusement. Je réfléchis à ce qu'il va bien pouvoir se produire à présent... Il m'a dit qu'il "n'avait rien contre..." Mais est-ce qu'il va me proposer de venir chez moi, ou d'aller quelque part ?... un endroit qu'il connaît... Va-t-il me demander du fric ? La présence de ses deux copains ne risque-t-elle pas de le gêner, et, du coup, de faire capoter tout plan avec moi... Au moins, aujourd'hui... Toujours allongé sur ma serviette, je regarde de temps en temps en direction du trio. Ils parlent beaucoup entre eux, d'assez près, comme s'ils voulaient ne pas être entendus des gens autour. Cette rencontre inattendue, ces quelques mots échangés et si explicites... tout ce que je suis en train de m'imaginer depuis, a provoqué chez moi une légère érection... Je cherche à la cacher en étendant ma chemise sur mon ventre. Je ne peux m'empêcher de regarder sans cesse ce qu'ils font. À un moment, mon regard croise celui d'un des deux rebeux, le plus "âgé". Et, sans se méfier le moins du monde de qui pourrait le voir, le lascar tend la main vers le bermuda de son voisin et, ostensiblement, prend le paquet de celui, qui, si j'ai bien compris, doit être son jeune frère. Il serre plusieurs fois le tissu du bermuda et ce que le bermuda contient, tout en m'interrogeant à distance... Levant plusieurs fois le menton, il semble me demander : "Alors, ça t'intéresse ?... C'est ça que tu cherches ?..." Immédiatement je tourne la tête, gêné, avant que quelqu'un ne découvre que cette embarrassante question m'est destinée. Personne, par chance, n'a vu la scène. Le grand black se redresse et vient vers moi, un grand sourire illuminant son visage. Il s'assoit à mes côtés, et me demande : "Alors t'as vu mon copain ?... Pourquoi t'as pas répondu ?" Tiens, il m'a subitement tutoyé. "Qu'est-ce que je devais lui répondre ?..." "Je sais pas... que ça t'intéresse ?... Mes deux potes aussi, ils veulent te montrer de belles choses... des choses comme tu les aimes..."
Je lui demande discrètement ce qu'il en pense... ce que nous pouvons faire à trois, si les frangins sont d'accord... où nous pourrions aller... Le black, qui s'appelle Julien (on s'est rapidement présentés), m'explique qu'ils en ont déjà parlé tous les trois et que Kacem et Medhi, son jeune frère, ont proposé d'aller dans un atelier qu'ils connaissent. Il n'y a personne à cette heure-ci, un samedi. Ils savent comment entrer. Je lui demande si ce n'est pas dangereux... si le patron ou quelqu'un d'autre ne risque pas de nous surprendre... "T'en fais pas, Kacem il y travaille ... il est sûr, y'a pas de souci !". Il m'explique qu'il faut juste prendre le métro et descendre à deux stations d'ici... J'ai un peu la trouille... Trois jeunes mecs à la fois... Ils peuvent me casser la gueule, me faucher tout ce que j'ai... C'est vrai que j'ai pas trop de fric. Trente euros, je crois, pas plus... Je le dis à Julien : je ne pourrai pas les payer. Il me répond aussi sec, à voix basse : "T'inquiète ! Nous, on fait pas le tapin... On fait pas ça pour du fric... C'est juste histoire de se vider les couilles... Tous les trois, dans ce domaine, on a des besoins pas communs... Si tu vois ce que je veux dire..." Et il conclut avec un clin d'oeil appuyé. Je finis par accepter de les suivre. On se donne rendez-vous dehors, après avoir pris notre douche.
On se retrouve sur le parking, devant la piscine. Je les suis. Métro. Deux stations. On descend tous les quatre. Je marche à une dizaine de mètres derrière eux. Le quartier où ils m'emmènent est calme : de petites maisons, personne dans la rue, à part des gamins qui jouent au ballon. On arrive devant un bâtiment en bois; les trois passent sur un côté du bâtiment. Kacem, l'aîné, me fait signe de les suivre. Je le vois prendre une clé dans la fissure d'un mur. Il ouvre une porte sur le côté et entre. Les trois sont déjà dedans quand je pointe mon nez à la porte. C'est un atelier de menuiserie, avec de grands établis, des machines. L'endroit sent bon. L'aîné des rebeux s'approche de moi : "Moi, c'est Kacem... mon frère, c'est Mehdi..." "Bonjour... Julien m'a déjà dit vos prénoms..." Je suis plutôt mal à l'aise... Ces trois jeunes mecs sont vraiment superbes ! Bien virils. Mais je me demande ce qu'ils comptent faire, ce qu'ils espèrent... C'est le black qui brise la glace : tout en s'adressant à moi, de façon subitement autoritaire : "Alors, qu'est-ce t'attends ? Toi qui aimes les belles choses... Ouvre ma braguette et montre-nous ce que tu sais faire avec les belles choses..." Julien s'est assis sur un établi et a ouvert les premiers boutons de sa braguette. Un peu intimidé de faire ça devant les deux autres, je m'approche de lui et écarte bien les deux pans de son jeans. Je vois tout de suite un gros sexe qui gonfle son slip blanc. Il n'a plus son maillot rouge, mais un slip blanc KC, tout aussi excitant ! Je libère, non sans mal, son énorme queue noire. Un organe splendide, long et régulier, non circoncis. Pour m'aider, il baisse son jeans et expose devant moi son appareil génital au complet : verge et couilles. De très grosses boules brillantes. C'est un organe comme j'en ai rarement eu en mains... ni en bouche. Il se rase, donc pas un poil noir frisé, comme en ont les garçons noirs, n'ira se coincer dans mes dents... Julien bande déjà, mais j'ai l'impression que son sexe peut encore croître tant en volume qu'en longueur ! J'ai sous mon nez une vraie bite de black, avec en plus la vigueur de la jeunesse... Je me baisse pour la prendre en bouche, avale le gland et quelques centimètres, mais dois renoncer à aller plus loin... "Allez, suce-moi ! avale-la ! Qu'est-ce tu fous ?... T'as plus envie ? Tu la trouves pas à ton goût ?" Je ne réponds pas et essaye, au risque de me décrocher la mâchoire, de prendre le maximum de ce splendide morceau de chair. Julien appuie sur ma tête pour que sa bite s'enfonce bien dans ma gorge. Je m'étrangle et, en me débattant, recrache cette bite trop grosse pour moi. Plutôt que d'essayer de l'avaler, je préfère lécher la longue verge de Julien, m'attardant sur son beau gland, plus clair, bouffant ses grosses couilles... Le goût et l'odeur de mâle noir qui s'en dégagent me ravissent... Le black se laisse faire et je sens à la raideur de sa bite que ça lui plaît. D'ailleurs, il le dit à voix haute : "Putain, les mecs, c'est une bouffeuse de bites super-pro qu'on a trouvée ! Préparez vos queues, elle suce comme une vraie pute, parole !" Le fait que Julien s'est adressé à ses potes, me pousse à les chercher du regard. Ils sont tous les deux assis, côte à côte, sur un autre établi, derrière moi. Tous les deux sont torse nu et ne portent plus qu'un boxer, très bariolé. Chaque boxer a une énorme bosse, que les frangins malaxent à pleine main. Ils se chauffent, sûrement excités par le spectacle de Julien se faisant sucer.
"Occupe-toi un peu aussi de mes potes ! ". Je me retourne et m'avance devant les deux rebeux. Employant mes deux mains, je saisis leurs bites dans les boxers. Ils bandent comme des boucs, les salauds... Je glisse une main dans l'entrejambe de chaque boxer et sors les deux verges. Eux-aussi sont membrés comme des ânes ! Etonnamment, c'est Mehdi, le plus jeune, qui a la plus longue. Ils baissent leur boxer pour me permettre de mieux m'occuper de leur sexe. Ce sont deux très gros zebs, épais, et, comme je l'ai dit, un peu plus long chez Mehdi. Ils sont circoncis, mais l'opération a été bien faite : mise à part la différence de couleur, aucune déformation n'a "abîmé" leur bite. À la différence de leur pote black, les deux frères ne se rasent pas, ni l'un ni l'autre. Mais ils ont tout de même "dégagé" leurs queues en se coupant les poils très court. Seules leurs cuisses restent très velues, ainsi que leur scrotum et leur entrejambe. Quel superbe duo arabe ! Même si tous les deux sont bien membrés, la queue de Julien me semble quand même encore plus impressionnante. Je commence à sucer celle du plus jeune, qui avance son bas-ventre pour que je la prenne bien en bouche. Je n'arrive pas non plus à l'avaler entière, mais elle m'excite beaucoup, tant elle est sent fort la bite et me paraît dure comme la pierre ! Son frère (jaloux ?) approche aussi son zeb de mes lèvres. J'essaye de les prendre toutes les deux en bouche. Les frangins poussent de leur côté. J'arrive à peine à avaler les deux glands à la fois... Eux comme moi comprenons que je ne pourrai pas savourer les deux bites en même temps. Mehdi se recule légèrement, pour que je lèche et pompe le chibre de son grand frère. Tout en suçant l'aîné, je branle le plus jeune, pour éviter que son sexe ne se ramolisse... Ce serait dommage : elle est trop belle cette queue bicolore, raide comme une trique ! Puis j'alterne, bouffant une queue et masturbant l'autre, conservant ainsi à chaque zeb son volume et sa fermeté. Ils ne gémissent pas, ni ne parlent, mais à leur respiration toujours plus sonore, je comprends que leur excitation grandit et qu'ils prennent leur pied tous les deux ! De quoi me donner encore pus de courage... Je sens subitement que Julien est derrière moi. Il défait ma ceinture, baisse mon froc. Je sens ses mains me caresser le cul. Il le malaxe. C'est une sensation sublime. Puis il me donne de grandes claques sonores sur les fesses. "C'est qu'en plus, elle a un beau cul, la salope !... Tu te fais niquer souvent ? T'as le cul bien ouvert, j'espère... Sinon, tu vas déguster, la suceuse !" Je ne bronche pas, bien sûr. Mais l'intervention de Julien a fait éclater de rire les deux rebeux. Le black renchérit : "Les mecs, pendant qu'elle vous bouffe la queue... je la prends par le cul... Vous êtes OK ? Je vous prépare le terrain !" Julien a enfoncé deux doigts dans mon trou et essaye de bien m'ouvrir, sans ménagement... Ça me fait mal, et, en me retournant, je lui demande d' "aller doucement". "Ta gueule, la salope ! Je fais ce que je veux ! Et je t'avertis : tu vas la sentir, j'adore niquer les putes dans ton genre !". Je suis toujours penché sur les zebs des rebeux, pendant que Julien, me crachant dans le cul, étale avec ses doigts sa salive dans mon fion... Je dois reconnaître que la pénétration de ses doigts, même assez profondément, me donne de délicieuses sensations. Mais, je sais bien que ce n'est qu'un début; j'appréhende terriblement le moment où il plantera son énorme chibre entre mes fesses. Très vite, je le sens forcer le passage. Son gland n'entrant pas dans mon trou, je sens une douleur atroce et ne suis plus en mesure de poursuivre mes fellations sur les deux jeunes arabes. Eux-mêmes semblent avoir le souffle coupé par le spectacle de leur pote black m'embrochant brutalement par derrière... Je ressens une brûlure insoutenable. Et ce salaud de Julien qui pousse toujours pour que mon cul, centimètre par centimètre, avale entièrement sa bite ! J'ai beau crier :"Arrête ! arrête ! Julien. Tu me fais trop mal...", j'ai l'impression que ça l'excite davantage, et qu'il pousse encore plus fort. À un moment je sens qu'enfin son bas-ventre s'est collé à mes fesses : le salaud a dû réussir à enfoncer sa queue jusqu'au bout. Je sens cet énorme dard en moi, comme s'il me remplissait tout le ventre... La souffrance est énorme; jamais on ne m'avait baisé de la sorte. Même quand j'ai fait l'amour avec un autre black, dont le sexe n'avait pourtant rien à envier à celui de Julien ! Mais lui, au moins, avait mis la manière. Je garde d'ailleurs de cette nuit d'amour un souvenir de tendresse et de jouissance partagées. Après quelques secondes à peine, Julien a commencé à me labourer le fion avec son organe d'acier. Il est totalement déchaîné, me donnant des coups très violents, qui me paraissent risquer de me transpercer le ventre. Je pleure carrément et supplie mon bourreau de me prendre moins sauvagement, lui expliquant que ça lui donnera à lui aussi plus de plaisir. Mais il n'en a rien à foutre ! Je crois même que niquer un pédé, de cette manière, devant des potes, lui plaît trop, pour qu'il s'avise de m'écouter. Il fait une véritable démonstration à ses copains rebeux. Une façon d'affirmer sa supériorité de mâle, d'éloigner tout soupcon de sensation de plaisir à sodomiser un mec. En quelque sorte, il leur prouve qu'il n'a rien d'un homo. Lui, il préfère ne pas s'éclater à enculer une fiote, pourvu qu'il donne une leçon de virilité à ses potes et enlève définitivement à un pédé le goût de la sodomie... Les deux rebeux regardent en silence la scène. Ils me donnent le sentiment d'être très impressionnés par la performance du black.
Julien arrête enfin, brusquement, ses va et vient dans mon cul. Mehdi l'interroge : "T'as joui ?"... Julien ne répond pas, mais tente de retirer sa grosse queue, encore très dure, de mon cul. "Regarde...", il fait voir aux deux arabes sa bite gluante de foutre, et le sperme qui coule de mon trou... Je n'ai bien sûr rien dit; j'ai souffert en silence, craignant que Julien ne plante à nouveau son dard dans mon trou resté ouvert. "À vous les mecs ! Videz-vous les couilles !" Kacem me demande de venir me coucher sur l'autre établi, la où ils sont assis avec son frère. Je monte sur la longue table de bois et m'allonge sur le dos. "Non, pas comme ça. Laisse-moi me coucher en premier et vient t'asseoir sur ma bite." J'obéis, sans broncher. L'arabe bande bien, sa queue est droite et bien dressée vers le haut. Je n'ai aucun mal à la faire entrer dans mon cul, celui-ci, après le passage de la bite de Julien, ne s'étant qu'à peine refermé. Kacem me demande de monter et descendre sur son zeb pour bien m'empaler et l'exciter. Il m'aide, en me soulevant par les cuisses, puis en me laissant bien redescendre jusqu'au fond sur son chibre. Je me suis déjà fait limer de cette manière et, d'habitude, j'apprécie beaucoup. Mais, aujourd'hui, après m'être fait défoncer le cul pendant plus d'un quart d'heure par l'énorme zob de Julien, la bite de Kacem, bien qu'elle entre très bien vient me frapper le rectum, précisément là où le gland du black s'est enfoncé sauvagement.
Lors de baises précédents, ce qui m'a fait jouir comme un fou, est ce soir une véritable nouvelle torture. Après plus de dix minutes à ce rythme, Kacem me demande de me coucher contre lui, ventre contre ventre. J'ai alors devant moi sa belle gueule de jeune arabe mal rasé, sa belle bouche que j'embrasserais goulûment... Mais je comprends vite qu'il n'a pas envie que tous les deux on se roule une pelle. On serait seuls, peut-être ne serait-il pas contre. Mais embrasser un pédé devant son frère et un pote black... pas question ! Kacem demande à son frère Mehdi de monter lui aussi sur l'établi et de se placer derrière moi. Le frérot fait ce qu'on lui demande. Il est debout, dans mon dos. D'une main, il tient son zeb bien raide. Voir son frère me niquer l'a chauffé pas mal. "Vas-y, Mehdi... Enfonce-lui ton zeb dans le cul... juste au-dessus du mien... Je suis sûr que cette salope elle connaît les doubles pénétrations... Ell doit aimer... Tu devrais bien rentrer : Julien nous a préparé le terrain..." Le jeune se met à genoux et place son gland juste au-dessus de la tige de son frère. "C'est bon, Mehdi... je sens ta bite... crache un peu dessus et ensuite glisse-la petit à petit... Voila... comme ça... tu vois : elle entre bien... continue ; putain, ce mec, c'est un vrai garage à bites !" Les deux zebs, l'un sur l'autre, sont maintenant plantés dans mon cul. J'ai un peu mal, mais pas comme tout à l'heure. "C'est à toi maintenant, Mehdi, de le limer !... Voila, vas-y lentement... je sens bien ta queue qui frotte contre la mienne... Putain, c'est bon !"
Julien, bien entendu, n'a rien perdu du spectacle. La double pénétration des frères rebeux a même redonné du volume et de la vigueur à son membre. Le black monte lui aussi sur l'établi. Je me demande ce qu'il va faire. Essayer d'enfoncer la sienne ? Je vais avoir trois bites dans le cul... Non, ce n'est pas possible ! Il vient vers ma tête, et, passant au-dessus de celle de Kacem, me tend son énorme organe pour que je le suce... Sans protester, je prends en bouche son gland et l'avale comme je peux. J'ai maintenant trois bites dans le corps. J'avais rêvé de le faire un jour, mais avec des queues "normales", pas avec des bites de cheval ! Le visage de Kacem se trouve juste sous les couilles et la verge de Julien. S'il voulait, il pourrait lui lécher les boules... Mais, il se retient. Pas de ça entre "vrais mâles"... Les deux frères vont me limer le cul, à deux, une bonne dizaine de minutes encore, puis Mehdi, le premier gémit, signalant ainsi qu'il est en train de décharger son jus dans mes entrailles. Son grand frère, à son tour, ne tarde pas à déclarer à tout le monde : "Putain, je viens, les mecs... ça y est, je viens.... Allez prends ca, salope ! Je t'envoie la purée !... ue c'est bon... Ce soir, tu t'es bien fait doser, salope ! ... Et que du sperme de vrais mâles ! Ah..., les mecs... que c'est bon de jouir !" Les frangins ont retiré leurs bites de mon cul, entraînant un filet de foutre blanc et épais qui s'est écoulé sous mes couilles, puis sur mes cuisses. Julien s'est branlé à toute vitesse et, en quelques secondes, m'a déchargé une autre dose de jus sur le nez et le front. De voir les deux rebeux m'enculer ensemble l'a vraiment excité ! Je me mets sur le côté pour soulager Kacem qui supporte depuis un bon moment mon poids et celui de son frère. Je reste immobile pendant que les trois mecs, debout, se nettoient la queue comme ils peuvent avec des Kleenex. Je leur demande de m'en passer un. Mehdi me le tend gentiment, et me demande : "Alors ça t'a plu ?" Je ne sais pas quoi répondre. "Trois en même temps... ça fait un peu beaucoup... Surtout que Julien... il y va un peu fort..." Julien réagit aussitôt : "Écoutez-le... Il faut que tu saches, mec, que quand je baise des meufs, je fais pareil !... Toi, tu es pédé, t'es comme une meuf... tu aimes la bite, alors tu as goûté de la vraie bite !... Et quand tu veux, on recommence. Pas vrai, les mec ?"
Rafael
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