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Nouvel ouvrier

Depuis quelques mois, juste en face de chez moi, on construit un nouveau bâtiment. Et bien qu'il s'agisse d'un immeuble de grandes dimensions, peu d'ouvriers travaillent ensemble sur le chantier. A plusieurs reprises, de ma salle de bains, située du côté de la nouvelle construction, j'ai regardé les maçons en plein travail. Ils sont une dizaine, tout au plus, ayant pour la plupart plus de la quarantaine. De solides gaillards, que les efforts physiques quotidiens ont peu à peu rendus encore plus résistants. Beaucoup ne parlent pas français : il s'agit probablement d'hommes venus d'Europe de l'Est, qui ne cherchent pas vraiment le contact avec leurs compagnons de travail français. Eux-aussi peu loquaces, animés sans doute d'un sentiment de supériorité vis à vis de ces migrants de l'Est, qu'ils considèrent comme de véritables concurrents. A la pause déjeuner, d'ailleurs, deux groupes bien distincts se constituent, et les échanges entre les deux se limitent à quelques apostrophes, ironiques plus qu'amicales, lancées par les autochtones à l'adresse de leurs compagnons étrangers. Ces derniers, ne comprenant pas toujours le sens de ces remarques, mais leur répondent dans leur langue, faisant peut-être des commentaires tout aussi ambigus...

J'ai noté ce matin qu'un nouvel ouvrier s'était joint au groupe habituel. Il m'a été facile de remarquer qu'il s'agissait d'un nouveau venu, car c'est un grand Noir, beaucoup plus jeune que les autres. Au moment du déjeuner, il s'est mis sur le côté, seul dans un coin assez sombre, où il a mangé son sandwich sans dire un mot. A la reprise du travail, je l'ai vu, en plein soleil, creuser une tranchée le long du trottoir. Il s'était d'abord mis torse nu, puis sans doute brûlé par le soleil de ce début de mois de juin, il a préféré remettre un tee-shirt. J'ai trouvé qu'il n'avait vraiment pas le beau rôle. Ses compagnons (ou le chef de chantier) profitaient sûrement du fait qu'il venait d'arriver - ou qu'il n'avait pas de qualification professionnelle (?) - pour lui refiler le "sale boulot". Je n'ai pu m'empêcher de sortir de chez moi, et, passant volontairement devant lui, demander s'il ne voulait pas que je lui apporte de l'eau fraîche. Il m'a remercié, m'expliquant qu'il pouvait aller boire quand il avait soif : un petit frigo était à leur disposition, et il y avait mis une bouteille au frais. Ses remerciements étaient accompagnés d'un large sourire. C'était un beau mec, moins de trente ans, bien bâti. Il avait un accent africain, mais parlait parfaitement le français, comme quelqu'un qui a fait des études. Je me suis débrouillé ce soir-là pour passer devant le chantier, juste au moment du départ des ouvriers. Le Noir a été l'un des derniers à le quitter, quand le chef de chantier fermait les deux battants d'un portail provisoire. Le Noir marcha dans ma direction et, en me croisant, me remercia de nouveau.
- " Non c'est normal. C'est tellement pénible ce que vous faites. Vous devez être épuisé. Vous habitez loin ?"
- " Je dois prendre le bus... j'habite à St L. C'est pas trop loin..."
- " Si vous voulez, avant de rentrer chez vous, vous pouvez prendre une douche chez moi... J'habite juste là. Ça ne doit pas être agréable de partir du chantier sans s'être lavé..."

Il me regarde sans répondre. Il doit se demander comment il doit réagir à ma proposition. Il ne me connaît pas, soupçonne sûrement qu'accepter entraînera quelque compensation... Il finit par répondre, un peu embarrassé :
- " C'est gentil... Mais... C'est vrai, l'endroit où j'habite, il n'y a pas de douche... Mais je vais vous déranger..."

Son chef de chantier a depuis longtemps pris sa voiture et quitté les lieux. Il peut donc me suivre sans attirer l'attention. En nous dirigeant ensemble vers chez moi, je lui demande son prénom, d'où il vient, etc. Il s'appelle Moussa, est Sénégalais. Il a étudié l'informatique, croyait trouver un job dans ce domaine en arrivant en France. Après des semaines de galère, il a été hébergé par des amis de son pays et a dû se résoudre à travailler dans le bâtiment. Il s'exprime bien, terminant toujours ses phrases par un superbe sourire. Quel beau gars !

Pendant qu'il se douche, je cherche dans mes affaires du linge propre pour le lui prêter. Heureusement, il a à peu près la même taille que moi. Bien que nettement mieux bâti et plus athlétique, avec un superbe torse en V, il a un bassin assez étroit, ce qui me permet de lui prêter un tee-shirt et l'un de mes slips; je choisis un boxer CK, avec des rayures verticales noires et rouges. A travers la porte de la salle de bains, je lui dis que je lui passe du linge propre. Il me remercie et ,entrouvrant la porte, prend ce que je lui tends. J'aurais volontiers jeté un coup d'oeil à l'intérieur... Quand il sort, propre et en sous-vêtements, la beauté de son corps m'apparaît brutalement. C'est un splendide garçon, avec de solides cuisses et mollets, un ventre plat mettant bien en évidence les ondulations de ses abdominaux, des bras aux muscles longs. Sa peau est très noire et brillante. Il remarque sûrement mon intérêt non dissimulé pour son physique. Je me permets même de lui dire clairement mon admiration :
- " Dis donc, Moussa, t'es sacrément bien bâti !" Je l'ai tutoyé sans m'en rendre compte...
- " Tu trouves ? C'est parce que j'ai fait beaucoup de sport... Du foot, j'ai même failli devenir footballeur professionnel. Je jouais à l'US Gorée. Un dirigeant de l'OM de Marseille voulait me faire venir jouer en France. Mes parents, ils voulaient pas, ils voulaient que je termine mes études... Je continue encore à faire du sport... au chantier !..." Et Moussa éclate de rire. Je lui propose de boire quelque chose avec moi. Mais il me dit qu'il doit rentrer chez lui.
- " Mais tu peux dormir ici, chez moi... Enfin, si tu veux. Comme ça, demain, tu es déjà sur place... A moins que tu doives à tout prix rentrer chez toi..."
- " Non... je suis pas obligé de rentrer... Mais mes copains vont se demander ce que je suis devenu..."
- " Appelle-les... Tiens prends mon portable..."

A ma grande satisfaction, Moussa est très vite convaincu. Il téléphone à ses co-locataires, sans leur donner de raison, et accepte volontiers de boire un verre avec moi, sur le canapé. Ça me fait tout drôle de me retrouver, tout habillé, assis à côté de ce superbe étalon noir, en tee-shirt et boxer... Moussa remarque vite ma gêne et mes regards furtifs sur l'énorme paquet de son entrejambe. Comme pour me faciliter la chose, il a étendu ses longues jambes devant lui, m'offrant le spectacle de ses cuisses musclées et de l'énorme bosse de son boxer. Je ne sais comment réagir; à l'évidence, il a deviné mon attirance et mes préférences sexuelles. A l'évidence, aussi, il n'est pas gay... Comme pour dégeler l'atmosphère, il me demande :
- " Tu vis seul ? T'es pas marié ?... T'aime les mecs alors ?... " Je souris, sans répondre. Il reprend, pour me mettre à l'aise :
- " Je m'en doutais... Mais ça me gêne pas... Pour gagner un peu de fric... j'ai déjà fait ça... avec des mecs, y'a plein de mecs qui kiffent les blacks ! Comme j'ai pas tellement l'occasion de baiser des femmes... ça soulage !" Et il éclate de son rire sonore. Et il ajoute : "Lâche-toi... si t'as envie, te gêne pas !" Et, en guise d'encouragement, il relève son bassin, décolle ses fesses du canapé et tend vers moi son paquet bien gonflé. Je me rapproche de lui. Moussa me tend sa bouche et colle ses lèvres contre les miennes. Sa langue passe sur nos bouches humidifiant nos lèvres, avant de forcer le passage et d'entrer dans mon palais. Je ne m'attendais pas à cette marque de tendresse, supposant que le beau Sénégalais allait se contenter de recevoir une bonne fellation, à la rigueur de m'explorer le cul en me doigtant. Or, il va me donner une véritable leçon d'amour ! Saisissant mon visage dans une de ses grosses mains rugueuses, il m'immobilise pour dévorer goulûment ma bouche, mon menton, mes joues, mes oreilles. Je sens sa langue et sa salive parcourir mon visage, l'intérieur de mes oreilles, mon cou... Moussa me dévore littéralement. Je suis très vite dans un état d'excitation maximum. Mes mains serrent ses biceps, passent sous son tee-shirt, palpent ses pectoraux, pincent ses gros tétons. Moussa se laisse faire, me prouvant avec ses lèvres et sa langue la fougue qui l'anime. L'une de mes mains se glisse sous la ceinture de son boxer. Moussa m'arrête aussitôt, et me chuchote à l'oreille:
- " Non... sois patient... pourquoi tu te presses comme çà... on a tout notre temps... quand on fait l'amour, on ne doit pas se presser... sinon, on prend pas de plaisir..." Je suis surpris par sa réaction : je croyais qu'il allait se contenter de m'exciter, histoire de "payer" son invitation chez moi. Désormais rassuré sur ses intentions, je me laisse aller, me contentant seulement de lui retirer son tee-shirt, pour mieux découvrir son splendide torse de mâle. Ce que contient son boxer, c'est pour plus tard ! Moussa va alors me montrer, par l'exemple, comment on dévore un partenaire, comment on le rend fou de plaisir, prêt à tout... Il m'a déhabillé, caressé, mordu, malaxé le haut du corps, sans jamais en revanche toucher mon cul, encore moins mon sexe. Je me suis dit : il n'est pas homo... c'est naturel, il n'a pas envie de tout ce qui me différencie d'une femme... Nos ébats vont durer une bonne demi- heure, provoquant chez moi une érection majuscule, et je crois une éjaculation de précum, comme jamais... Mon slip est mouillé; ça me gêne un peu... C'est alors que Moussa me demande :
- " Ça te plait ?... Dis-moi, tu es super excité !... Ça fait longtemps que t'as pas fait l'amour ?..."
- " La vérité... c'est que c'est la première fois avec un Noir... J'ai toujours rêvé de le faire... On dit des tas de choses sur vous... sur la taille de votre sexe... sur vos performances au lit... alors, comme ça m'arrive aujourd'hui, ça me fait doublement bander !" Il éclate de rire. "Oui... j'ai vu depuis longtemps que tu l'avais bien raide... je sais pas pourquoi, nous les Noirs, on vous fait cet effet !... Mais moi aussi tu m'as fait bander... regarde cà !... comment tu la trouves ?" Depuis un moment, je sentais un truc super dur dans son boxer, mais je n'osais pas toucher...
- " Vas-y... descends le boxer et amuse-toi !...". Je ne me le fais pas répéter deux fois : je baisse son boxer et fais apparaître son énorme bâton de chair noire. Il n'est pas circoncis, ni rasé. Dans une épaissse touffe de poils frisés se dresse une longue bite, épaisse, bien droite, dont le prépuce légèrement ouvert fait apparaître un gland plus pâle. De grosses couilles, dans un sac souple pendent dessous. Sacré appareil génital ! je m'exclame, admiratif :
- " Oufff ! T'es super bien membré ! J'en ai jamais vu des grosses comme ça, sauf dans des films porno. Mais j'ai jamais pu en toucher une... en vrai !"
- " Elle te plaît ? "
- " Il faudrait être difficile pour ne pas la trouver belle !! Comment ça se fait que vous avez tous des sexes aussi gros, vous les Blacks ?"
- " Pas tous, ça c'est pas vrai... C'est la Nature qui nous fait comme ça. Je sais pas..."

Je vais alors câliner son organe comme un petit chat, léchant sa verge de haut en bas, mordillant son gland, gobant ses testicules, masturbant lentement sa tige pour la rendre encore plus dure. Moussa se laisse faire pendant un long moment, puis, comme un professeur désireux de transmettre à son élève tout son savoir, il me chuchote de précieux conseils : comment je dois saliver sur sa bite pour qu'elle coulisse mieux, comment je dois titiller son frein, du bout de la langue, comment je dois prendre en bouche, un par un, les gros pruneaux de ses couilles, en imaginant que je veux les faire fondre sur ma langue, etc. etc. Chaque conseil est suivi de deux ou trois mises en application... Les gloussements de plaisir de Moussa m'indiquent que je suis bien ses recommandations.

Je fais ainsi mon apprentissage avec une volupté jamais éprouvée jusqu'ici. Ma satisfaction est double : celle de déguster un organe masculin exceptionnel, et celle de procurer à son propriétaire une jouissance évidente. Je veux maintenant le branler, mourant du désir de voir son sexe exploser, m'inondant de sperme. Mais Moussa encore une fois me retient.
- " Tu es toujours trop pressé ! Si tu veux, puisque je dors ici... on fera ça plus tard... au lit... Rassure-toi : j'ai envie de ton petit cul... Même si je ne suis pas gay, j'adore baiser les mecs... ils sont souvent plus étroits que les chattes... Cette nuit, tu vas voir, je vais t'apprendre à jouir dans toutes les positions... Tu comprends : si tu me branles maintenant, tu vas me faire jouir.. et après une journée de boulot, je serai trop crevé pour te prendre comme j'aime... Sois patient : tu vas comprendre ce que c'est de te faire baiser par un Black !"

Je lui propose de commander des pizzas, et d'avoir comme ça plus de temps devant nous. Il va manger deux pizzas à lui tout seul et finira même la mienne... Quand il s'est approché de moi et caressé mes fesses, j'ai compris que les choses sérieuses allaient commencer... Il m'a pris dans ses bras et m'a porté dans la chambre comme une jeune mariée le soir des noces. Je me suis laissé faire, et lui ai offert aussitôt mon cul... Il l'a bouffé comme un affamé. Puis, ayant enfilé une capote, il m'a pénétré avec une délicatesse extrême, me faisant oublier qu'il avait un instrument exceptionnellement long et épais. Les mouvements de ses reins, la chaleur de sa peau, l'étau de ses bras, la raideur de son membre, tout a contribué à me faire éprouver cette sensation inédite que nos corps ne faisaient qu'un, que le liquide chaud qu'il introduisait en moi, était un fluide de vie, le plus extraordinaire philtre magique qu'un amant pouvait m'offrir !

Nous nous sommes endormis l'un contre l'autre, épuisés et heureux. Le lendemain matin, avant de quitter discrètement ma maison, Moussa m'a promis de revenir un samedi soir et de me faire découvrir d'autres merveilles... Je suis certain que ce garçon aime les femmes; mais je suis certain aussi qu'il aime avant tout faire l'amour, et qu'il est d'une générosité rare

Rafael

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